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Le blog de l'information alternative et de la santé naturelle

Vaccins polio histoire d'un désastre médical -suite 2/3

4 Octobre 2017 , Rédigé par motarcs Publié dans #Cancer, Sida, maladies diverses, #Medecines, Recherches, Ethique, #Géopolitique, #Medecines, #autisme, #Vaccinations

Infanrix hexa : 825 effets secondaires !

De même, les données des fabricants sur le suivi après la mise sur le marché restent secrètes.

Ainsi l'association Initiative citoyenne reçoit en 2012 la copie du rapport confidentiel concernant le vaccin Infanrix hexa, précisément le vaccin multiple que l'on cherche à imposer et qui "remplace le DTP pour satisfaire à l'obligation légale de la vaccination polio". Ce rapport, qui porte sur deux années, ne recense pas moins de 825 effets secondaires différents, parmi lesquels 503 n'avaient pas été listés par le fabricant.

De plus, la majeure partie des effets secondaires se sont produits juste après la vaccination, y compris le nombre de décès, qui s'avère supérieur au nombre de cas attendu (27). Cette volonté de cacher les décès et les effets secondaires graves vient d'être à nouveau mise en évidence dans une communication du Dr Puliyel du 4 juillet dernier, parue dans l'Indian Journal of Medecine. Suite au signalement de plusieurs cas de déces post-vaccinaux, avec le vaccin combiné polio Quinvaxem (DTPHib, HepB), l'OMS a modifié les critères admissibles pour le signalement d'effets secondaires en remplaçant l'ancienne "classification de Brighton" par un système qui permet d'associer les décès au vaccin que si ces cas sont déjà spécifiquement mentionnés dans les études de phase III réalisés par le fabricant.

Ainsi, sur un ensemble de 134 cas d'enfants hospitalisés d'urgence dans les heures suivant une vaccination, seuls les 78 enfants ayant survécu ont été signalés …. Les 58 cas de décès furent tous, sans exception, assimilés à des "coïncidences" et exclus du tableau (28)

"Cerise" sur un "gâteau" déjà bien chargé : Le virus SV40 (SIV), transmis par le singe;

Le SV40 est un virus provenant des reins des singes (rhésus) utilisés pour la production des vaccins. On estime que sa présence a contaminé les vaccins polio dans leur forme orale ou injectable durant une quarantaine d'années. Ce virus a des effets hautement cancérigènes chez l'homme et a été retrouvé dans de nombreux prélèvements de tumeurs, au point d'être qualifié de "véritable machine de guerre" par les chercheurs qui l'on étudié. On l'a détecté dans des tumeurs du cerveau, des os, des les cancers des seins, du côlon et des reins, et dans les lymphomes de Hodgkin (29). Dans les vidéos tutorielles de l'Institut Pasteur de Docteur Saluzzo "s'amuse" en surprenant son auditoire : "Tout ce qui peut servir à cultiver un virus peut être source de danger. Nous avons eu dans les années 1960 un drame qui s'est produit : les cellules provenant de reins de singe étaient contaminées par le SV40… 60 millions d'Américains ont reçu ce vaccin tumorigène. Par chance, il s'est avéré qu'il n'était pas adapté à l'homme. C'est l'obsession permanente pour les industriels, qu'une catastrophe identique puisse arriver. Ça s'est produit, ça se reproduira."  Dans la vidéo, il cite également des contaminations par le rotavirus et le virus de la fièvre jaune qui s'est multiplié chez 400 000 vaccinés, ainsi que l'incident Cutter mentionné précédemment (30).

Le SIV à l'origine du Sida ?

Après la découverte du SV40 présent dans les reins de singe asiatique utilisés pour cultiver les poliovirus, certains se tournèrent vers le singe vert d'Afrique, espérant réduire les problèmes de contamination. Malheureusement le singe vert était porteur d'un autre virus contaminant, le SIV (virus de l'immunodéficience simienne). Selon certains chercheurs, ce virus, très proche du VIH (virus du Sida humain), aurait infecté l'homme lors des premières campagnes avec un nouveau vaccin polio oral dénommé CHAT, testé sur les populations du Rwanda, du Burundi et du Congo entre 1957 et 1959.

L'impressionnant ouvrage consacré à cette histoire, The River : A Journey to the Source of HIV and AIDS, n'apporte pas de preuve concluante, mais il soulève de nombreux éléments qui soutiennent cette hypothèse. Le plus frappant reste le fait que ce vaccin CHAT a été administré dans 27 lieux différents, qui ont TOUS été identifiés comme figurant parmi les premiers foyers d'infection du VIH, et qui représentent à eux seuls les trois quarts des endroits où l'on a constaté les premières épidémies de Sida.

Si la question du lien entre vaccin polio et sida n'est pas tranchée, elle mérite au moins d'être posée de manière sérieuse !

60 000 personnes paralysées en Inde

Le désastre actuel de la campagne antipolio en Inde est édifiant et son analyse devrait servir de cas d'école pour revoir en profondeur le concept de la vaccination. Officiellement, la polio est éradiquée en Inde. C'est pourtant une autre histoire que nous livre le Dr Jacob Puliyel, membre senior de la Commission technique nationale de recommandation d'immunisation pour l'Inde.

Alors que l'Inde gérait sa politique de santé et de vaccination de manière autonome, les institutions internationales prirent le contrôle des campagnes de vaccination dans le pays, afin d'œuvrer à l'éradication définitive de la maladie. L'OMS, GAVI et la Fondation Bill-et-Melinda Gates en furent les principaux acteurs. Après avoir recruté et financé un organisme "conseil" pour soutenir le comité de vaccination, leur avoir imposé des clauses de confidentialité draconiennes, organisé l'agenda, les réunions et rédigé les conclusions, la décision fut prise de fermer les unités de production locales "dont les normes ne semblaient pas assez strictes" (actuellement 80% des médicaments génériques sont fabriqués en Inde et en Chine !!!!) – mais qui produisaient des vaccins économiques – et d'utiliser des vaccins beaucoup plus onéreux fournis par l'intermédiaire de ces institutions. A titre d'exemple, le prix d'un vaccin pédiatrique était passé de 5 à 523 roupies (31).

Programme "Pulse"

En 2005 la polio semblait sur le point d'être éradiquée, avec seulement 67 cas répertoriés, mais l'année suivante ces chiffres décuplèrent, alors que 90% des cas rapportés avaient été vaccinés, démontrant par là un échec de la vaccination dans ces régions.

Pour "corriger le tir", l'OMS passa du vaccin OPV trivalent à un nouveau vaccin bivalent, sans la souche de type 2, tout en augmentant la quantité globale des deux autres types. Ce vaccin, à la charge virale 5 fois plus élevée fut ainsi expérimenté selon une nouvelle stratégie de l'OMS : le programme "Pulse", qui recommandait une vaccination intensive adaptée en fonction de l'incidence locale.

Ainsi, là où certains Etats dispensaient une  seule dose de vaccin, d'autres en administraient trois, et même jusqu'à 10 doses annuelles. Plus la situation s'aggravait, plus on vaccinait, mais "contre toute attente", les cas de paralysies se multiplièrent d'année en année.

 

Déni de l'OMS

Devant ce constat tragique, certains membres du comité firent le lien entre le nombre de cas de paralysie flasque aiguë et le nombre de doses accumulées entre 0 et 5 ans (pour un enfant du Kerala, cela représentait 5 doses, pour un enfant du Bihar, 50 doses !). Ce calcul confirma que dans les Etats où l'on avait vacciné le plus, on avait aussi le nombre le plus élevé de victimes. Les responsables du programme de l'OMS tentèrent de réfuter ces conclusions, en les attribuant aux unités de pharmacovigilance, mais les médecins indiens en apportèrent une nouvelle preuve par l'opération inverse : en réduisant les doses administrées, ils virent aussi baisser le nombre de victimes. Bien que l'on n'ait pas pu identifier la présence de poliovirus dans les cultures effectuées chez les malades, le lien avec le vaccin oral bivalent était irréfutable. Le Dr Puliyel publia un rapport sur la situation, tandis que les responsables de la Fondation Gates et de l'OMS prirent congé du Comité Indien (32).

Désastre financier pour l'Inde

L'issue de la situation est inédite et pose de sérieuses questions. Quel risque a-t-on pris pour ces enfants par ces "largages massifs" de virus vivants dans la population, sachant aujourd'hui qu'ils sont susceptibles de muter et de retrouver leur force active ?

L'Inde s'apprête actuellement à introduire un vaccin injectable "microdosé" qui sera utilisé en option ou en alternance avec le vaccin polio oral à doses réduites. (Ce pays fait encore un usage massif du DDT ….)

Aucune indemnisation n'a été prévue pour les dommages subis, par les milliers de victimes de cette vaccination expérimentale. Si les institutions et les fondations ont investi un budget initial important, l'Inde a dépensé un budget colossal pour financer la suite, près de 2,5 milliards de dollars, soit cent fois plus que le montant apporté, alors que ce programme lui a été imposé et s'est révélé désastreux. Selon le Dr Puliyel, qui reste convaincu de l'utilité des vaccins, comme ceux contre le tétanos ou la diphtérie, si un budget équivalent avait été investi dans l'assainissement des eaux et le tout-à-l'égout, des infections de tous types seraient évitées et un nombre bien plus important de vies auraient été épargnées.

Une nouvelle forme de polio aux Etats-Unis ?

Depuis quelques années aux Etats-Unis, plusieurs centaines de cs de paralysies soudaines sont apparus chez les enfants, certains entraînant même des décès. Tout comme à l'époque de la polio, ces enfants se sont réveillés un matin dans un état de faiblesse paralytique, avec des douleurs musculaires et un état fiévreux.

Certains ont fini avec une paralysie respiratoire et sont reliés à un ventilateur, qui remplace aujourd'hui le poumon d'acier. Cette fois, la maladie est dénommée "myélite flasque aiguë". Les experts suspectent deux virus de la catégorie polio, l'un appelé entérovirus D68, l'autre entérovirus C105. En 2014, près de 1200 cas graves ont été répertoriés, incluant 120 paralysies permanentes et 14 décès, principalement chez les jeunes enfants.

Curieusement le CDC (Center for Disease Control – Centre épidémiologique) est resté silencieux quant à cette nouvelle épidémie. Parmi les causes avancées, on évoque l'exposition au virus du Nil occidental, la possibilité d'intoxication chimique éventuellement par des pesticides, ou des effets secondaires post-vaccinaux graves.

Le Dr Benjamin Greenberg, qui a traité plusieurs dizaines de ces cas, les qualifie de "polio du XXIème siècle". A nouveau, de manière tout à fait similaire, il semble que des milliers, voire des millions de personnes soient porteuses de ces virus, mais que seulement quelques individus soient touchés par la maladie.

Face à un mur de silence, les familles des malades et des victimes se sont regroupées sur Facebook afin de s'entraider. Plusieurs parents se sont inquiétés de ne pas voir le cas de leur enfant mentionné dans les rapports officiels sur la maladie, alors que le diagnostic avait été confirmé. Curieusement, et bien qu'elle compte plus de victimes que la rougeole, Zika et Ebola réunis, le CDC n'a pas encore exigé de signalement systématique de la maladie. (Source : S.Attkisson, "Mystery virus", émission Full Mesure, 4 juin 2017, www.sharylattkisson.com

La fin ici                                                                                                                Page précédente

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