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Le blog de l'information alternative et de la santé naturelle

Coronavirus et tout ce qui tourne autour

18 Mars 2020 , Rédigé par motarcs Publié dans #Cancer, Sida, maladies diverses, #Environnement, pollutions, climat, #Géopolitique, #Géopolitique, économie, manipulations, #Medecines, Recherches, Ethique, #Recherches, #Vaccination, #Vaccinations, #manipulations

Etant donné l'abondance et l'extrême variété d'informations de toutes sortes sur ce sujet, cette page sera republiée et remise à jour avec la date en début de chaque nouveau paragraphe. Merci de reprendre la lecture où vous vous étiez arrêtés.

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29/06/2020

Depuis le dernier billet, on a eu "droit", après le confinement strict aveugle, au déconfinement très partiel d'abord, puisque les déplacements n'étaient autorisés que dans un rayon de 100 kms autour du domicile, puis plus complet, puisque les distances étaient supprimées, mais cet assouplissement était assorti de contraintes, qui au final pouvaient rendre la vie plus difficile au quotidien. 

Le port du masque, bien que non obligatoire, sauf dans certains cas précis (transports publics notamment), est en fait laissé à la discrétion du commerçant par exemple, s'il ne pourra pas garantir les critères de distanciation physique imposés. Ce qui, au non d'une soudaine crise de paranoïa de prudence, permet à tout un chacun de faire n'importe quoi. Ces distanciations sociales martelées 24/24 h et 7/7 j, et imposées nous obligent en fait à nous considérer les uns les autres comme des pestifiérés. 

Alors que les coronavirus circulent depuis la nuit des temps, et qu'ils n'ont jamais posé le moindre problème. Lorsqu'on analyse les "saisons" grippales annuelles de ces dernières décennies, on se rend compte que certaines années, la grippe semble avoir été un peu plus virulente. Et je suis convaincu pour ma part, si on faisait des analyses, que l'on trouverait, en plus des souches A les plus fréquentes, des souches coronariennes, en plus des souches influenza "classiques".

Il existe en gros trois groupes de virus grippaux, A, B et C.

Le groupe A :

Les virus grippaux de type A se subdivisent en sous-types en fonction des différentes sortes et associations de protéines de surface du virus. Parmi les nombreux sous-types des virus grippaux A, les sous-types A(H1N1) et A(H3N2) circulent actuellement chez l’homme.

Le virus grippal circulant A(H1N1) est aussi écrit A(H1N1)pdm09 puisqu’il a été à l’origine de la pandémie de 2009 et a ensuite remplacé le virus A(H1N1) de la grippe saisonnière qui circulait avant 2009. Seuls les virus grippaux de type A ont été à l’origine de pandémies.

Les virus de la grippe B :

Peuvent être divisés en 2 principaux groupes, ou lignées, appelés les lignées B/Yamagata et B/Victoria. Les virus de la grippe B ne sont pas classés en sous-types.

Le virus grippal de type C n’est que très rarement détecté et ne cause généralement que des infections bénignes; ses répercussions sur la santé publique sont par conséquent de moindre importance.

Quelques chiffres permettront de visualiser un peu mieux de quoi on parle.

Bon an mal an, la mortalité gloable toutes causes confondues (donc avec un éventuel coronavirus circulant ou non), il y a en France quelque chose entre 300 000 et 650 000 décès. pour une population actuelle d'environ 70 millions d'habitants, nous sommes donc, en prenant le maxi, à un taux en pourcent de 0.92 %, donc pour mille habitants nous en sommes à quelque chose comme 9.2 pour mille.

Pour faire une comparaison sensée, il faut comparer des durées identiques, donc on va supposer que pour les six premiers mois de l'année (qui incluent donc la saison grippale dans l'hémisphère nord) on aura eu environ 300 000 décès en 2018, ce qui nous donne : 0.43 % soit 4.3 pour mille.

Le coronavirus a fait selon les statistiques officielles environ 30 000 morts sur les six premiers mois de 2020. Rapportés à la population nous arrivons à une mortalité dix fois inférieure de 0.043 %  ou 0.43 pour mille.

Sachant que plus de 99 % des décès attribués au seul Covid-19 sont en fait des décès qui sont dus avant tout à des pathologies préexistantes chez des personnes dont la moyenne d'âge en France (et ailleurs) tourne autour de 80 ans, on peut donc considérer sans se tromper que l'impact du coronavirus est à peine supérieur à celui de la grippe saisonnière, soit très proche de ZERO !

Je suis très régulièrement les statistiques des décès toutes causes confondues, et s'il y a eu effectivement, mais dans certaines régions seulement, des pics de surmortalité, ceux-ci on débuté très exactement au début du confinement généralisé à la mi-mars.

On a ci-après le tableau des mortalités, semaine par semaine pour le département du Haut-Rhin, dont le chef-lieu Mulhouse aurait été, selon les versions officielles le foyer de départ de l'épidémie en France. On voit que la "pointe" commence très exactement à la mi-mars, et que depuis fin avril (depuis DEUX MOIS !!!) nous sommes en-dessous des chiffres des deux années précédentes. POURQUOI donc portons-nous encore des masques, sinon pour nous museler ???

 

Dans le département du Var, nous sommes encore plus sur une autre planète, puisque comme dans la majorité des départements français, il n'y a eu AUCUNE surmortalité globale.

Les chiffres et graphiques sont assez éloquents pour se passer du moindre commentaire.

Un autre constat extrêmement intéressant et important à faire est le taux de mortalité par rapport à la population de ces deux départements.

On constate sur les tableaux ci-dessus que le Var a une mortalité toujours inférieure, malgré qu'il a une population nettement supérieure (plus d'un million d'habitants contre 760 000 dans le Haut-Rhin).

Si l'on reporte la carte des foyers épidémiques français sur celle de l'alimentation trop lourde et du mode de vie inadapté (stress divers, repas sautés, etc...), on est obligé de se rendre compte qu'elles se recouvrent parfaitement, pour les régions du Nord et de l'Est, et la Région parisienne.

Il y a donc indubitablement une fragilisation des organismes due à des modes de vie et d'alimentation inadaptés qu'il faut en prendre en compte. Désolé pour les personnes habitant ces régions. 

On a beau nous dire que la graisse de canard ou d'oie est bonne, oui, mais à condition que la bestiole n'ait pas été gavée, car son foie, gras, sera justement gras car il est malade !!! et si je prends la recette du Cassoulet.... nous avons un plat hyper-protéiné. Pareil pour la choucroute alsacienne, le chou lacto-fermenté de la choucroute est effectivement excellent à la santé, mais SEUL ! car accompagné de patates (glucose) et des tranches de lard, saucisses et autre viandes, ça devient une catastrophe diététique.

Ajoutez les laitages, y compris les fromages dans toutes les régions montagneuses des Savoie de l'Est et du Nord.... et on fabrique le lit de l'obésité entre autres. Sans compter l'alcoolisme....

Voir ici, par exemple.

Quelle sera la suite des évènements, à court, et si l'on peut s'y risquer à moyen terme ?

Dans un premier temps les recherches de vaccin battent leur plein et engloutissent des milliards, tout comme les "aides" au entreprises en difficultés qui se trouvent maintenues pour beaucoup en survie artificielle, aussi longtemps que les banques pourront continuer à imprimer de la fausse monnaie (plus aucune, à commencer par le dollar US n'a la moindre valeur réelle).

Un écroulement économique et financier est donc sur les rails telle une locomotive sans conducteur lancée à fond de train sur un rail qui la conduit droit dans le ravin. Combien de temps mettra ce crash à se déclencher, pour combien de temps, et qu'en sortira-t-il ? Mystère. Personne ne peut répondre à cette question. Une chose est certaine, il risque d'être bien plus violent que tout ce que nous avons connu jusqu'ici, même celui de 1928-29 pourrait ressembler à un jeu de cour de récréation à côté.

Prenez soin de vous. Et n'oubliez pas que le virus est le moins grave de ce qui se trame. Il ne sert que d'alibi.

A suivre

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11.04.2020

Beaucoup de choses se sont passées depuis le dernier billet.

Plusieurs évidences commencent à se faire jour.

Tous les chiffres que l'on vous avance, dans un sens ou l'autre, ne reposent en fait que sur du sable mouvant. En effet, les tests RT-PCR (Western-Blot) utilisés n'ont qu'une faible fiabilité et spécificité pour le Covid-19. Divers chiffres sont avancés ou "avoués", et qui oscillent entre 50 et 70 %. Si l'on prend le bas de la fourchette, on a donc autant de chances d'être déclaré faux positif que faux négatif. A 70%, même si le chiffre semble mathématiquement élevé, on n'est qu'à 20% au-dessus du jeu de pile ou face.

D'autre part, on utilise un écouvillon que l'on introduit dans une narine ou la bouche. Et on a constaté que, en fonction de la date de la contamination, il se passe un temps extrêmement variable selon les individus (la période d'incubation), pour, dans les cas graves induire des complications pulmonaires, et dans ce cas le virus ne sera plus détectable (ou presque plus) dans le prélèvement nasal ou buccal, où alors que l'individu testé était effectivement contaminé, mais son système immunitaire s'est débarrassé tout seul du virus, et n'est plus non plus détectable. Si l'on tient pour valide la théorie selon laquelle le virus pourrait survivre sur des poignées de porte pendant un temps qui relève presque de la magie, on peut donc considérer qu'une personne contaminée, mais sans symptome, sinon peut-être une petite grippette, mais dont le système immunitaire est venu à bout ,pourrait donc en toute impunité, et à son insu, transporter le virus et contaminer les moins chanceux de leur entourage.

Devant la difficulté de savoir qui est contagieux et qui ne l'est pas, il a donc été décidé d'enfermer tout le monde pèle-mêle .... Au risque de contaminer tout le monde, ce qui pourrait finalement se faire tout aussi "bien" en laissant les gens vaquer à leurs occupations, sans mettre l'économie mondiale par terre.  Sauf si l'objectif réel est l'achèvement de l'économie mondiale moribonde depuis plusieurs décennies. Plusieurs pays ont essayé le "laxisme", mais tous ont été remis dans les "rails" et mis à l'arrêt quasi complet. 

Ce qui fait que toutes les deux semaines, nous avons droit à une nouvelle rallonge de prison à domicile. En attendant d'hypothétiques jours meilleurs.

Alors que d'autres pays ont adopté un dépistage massif de la population (toujours avec les incertitudes citées), et donc un confinement "ciblé", la France choisit de rester dans le confinement généralisé.  Les chiffres avancés par les uns et les autres sembleraient donner raison à ceux qui ont choisi un confinement plus souple et le dépistage massif. Mais dans quelle mesure sont-ils réels ??? Sachant que chaque gouvernement cherche à crédibiliser sa gestion de la "crise".

Il semble que la Chine a menti délibéremment (et le mot est faible) autant sur la vraie date de départ de l'épidémie, certainement autour de la mi-novembre, sinon avant, que sur tous les chiffres annoncés. Dans quel but ? Pour une dictature totalitaire, un but de propagande évident, mais encore ? Pour l'instant différentes théories s'affrontent sans preuve vers l'une ou l'autre. N'oublions pas que la Chine est un état ouvertement totalitaire, et que là-bas, les Chinois sont "pistés" 24/24 avec une appli qui leur donne en fonction de leur adhésion aux diktats officiels un certain nombre de "points" qui se matérialisent par un point vert pour les "meilleurs élèves", à un jaune ou un rouge pour les "réfractaires" ou contestataires. Ne perdons pas de vue non plus qu'il y aurait 21 millions d'abonnements de téléphonie mobile qui auraient été annulés depuis le début de l'épidémie chez eux.... Pourquoi ??? Sont-ils tous "morts" ???

J'ai entrevu un internaute qui a cherché dans le registre internet des décès à trouver une augmentation significative des déclarations de décès. Il est resté sur sa faim pour le département de la Moselle, qui est quand même dans la région la plus touchée. Mais il s'était arrêté fin mars.

A mon sens cette démarche est la seule qui permettrait  effectivement de constater une éventuelle surmortalité, qui pourrait apporter un petit crédit à la psychose, complètement folle, véhiculée par les médias. J'ai trouvé très facilement sur le site de l'INSEE les statistiques de décès cumulées et toutes causes confondues pour la France depuis par exemple le 1er mars 2020 et ce jusqu'au 30 mars : La courbe de 2020 se situe toujours entre celle de 2018 et celle de 2019 jusqu'au 14 mars. 

J'ai trouvé pour la région Grand-Est dont j'ai sorti le département du Haut-Rhin puisque Mulhouse est la ville la plus touchée le nombre de décès toutes causes confondues qui reste effectivement pour 2020 entre celles de 2019 et 2018, jusqu'à la fin mars. 

Mais elle commence à augmenter d'abord doucement à partir du 20 mars, puis, lorsqu'on se reporte au tableau suivant, brusquement au début du confinement, très précisémnent à partir de la semaine du 14 au 21 mars, juste au début du confinement !!! Hasard ??? Corrélation ??? Ou relation de cause à effet ??? Difficile à dire si l'on veut rester vraiment objectif. Toujours est-il que voici le tableau tel qu'il se présente pour le département du Haut-Rhin qui inclut donc la ville de Mulhouse :

Quelques commentaires sur ce tableau :

On voit comme indiqué précédemment que la mortalité globale reste pour 2020 entre celle des deux années précédentes. Il faut noter qu'en 2018 il y a eu une deuxième "vague" de grippe en mars, ce justifie les chiffres de 2018 tous supérieurs à 2019. Si l'on prend donc ces chiffres de 2018 comme base de référence, puisqu'ils constituent le reflet d'une année de grippe saisonnière plus sévère qu'habituellement, on voit bien que jusqu'au 14 mars, il n'y a aucune différence notable avec les années précédentes. Ce n'est qu'ensuite que les chiffres grimpent effectivement.

Le département du Haut-Rhin avait en 2016 une population selon l'INSEE de 762 743 habitants resensés. En 2018 le nombre total de décès était de 6986. Ce qui nous donne un taux de mortalité de 0.916 % pour l'année 2018 en supposant que le nombre d'habitants n'ait pas changé de manière trop importante.

Ce qui nous donne pour un mois 6986/12 x 100/762743 = 0.0763 % approximativement.

Pour le mois allant de 7 mars au 11 avril 2020 nous avons donc :

1694 x 100 / 762743 = 0.222 % soit un taux à peu près du triple pour cette période par rapport à 2018.

Toute sur-médiatisation à grand spectacle mise à part, nous voyons donc que la présente grippe, AJOUTEE à la grippe saisonnière et à toutes les autres causes de co-mortalité, à savoir cancers, maladies cardio-vasculaires et pulmonaires hors Covid-19, comme le tabagisme, diabète, cholestérol, obésité, mal-nutrition (sur et sous nutrition), hypertension, etc., qui ne se sont pas évanouies pour autant, nous donne un taux de mortalité plus élevé. que les années précédentes.

Si vous voulez voir ce que cela donne en France dans votre commune ou région, voyez ici

Ceci étant, est-il justifiable pour autant de bloquer la planète entière ? Si l'on ne cherche pas à instaurer des "dessous" que seul un enfermement généralisé de plus de la moitié de la planète et de quasi tous les pays industrialisés, pourrait rendre acceptables pour se "libérer" de cet emprisonnement dictatorial ? La théorie du choc de Noam Chomsky est en train de se jouer sous nos yeux, et à nos dépens.

Il est évident que nous avons ici la preuve que ce virus est bel et bien plus létal que la grippe saisonnière, et ce, très majoritairement, pour ne pas dire exclusivement, et ce, à de très, très rares axceptions, au personnes âgées, survaccinées contre la grippe saisonnière, ayant pour la plupart plusieurs pathologies chroniques, "contre" lesquelles elles prennent bien entendu au long cours les substances toxiques baptisées médicaments, donc certains "au cas où", dans une espèce de prévention qui ne fera que fragiliser encore plus un équilibre dont la moindre goutte au nez en trop viendra à bout.

Pendant ce temps la bataille entre les experts gouvernentaux et le célèbre Professeur Raoult fait rage. Celui-ci est en "délicatesse" avec l'IGAS et l'INSERM dont le dernier cité lui a retiré l'accréditation. Selon l'IGAS le financement de l'institut de Raoult serait assuré jusqu'en 2020 .... Ensuite incertitude. Tiens, tiens, Monsieur le Professeur serait-il obligé de "recruter" des "clients".... pardon des patients ??? Au point que le Président de la République est venu s'entretenir avec Astérix pendant parait-il 3 bonnes heures.

Et pendant ce temps aussi, le paravent des recherches (faites depuis les années 1980 quand même !! que les corona virus sont étudiés !!) avance et il sortira bientôt du chapeau magique à pigeons la mixture à tester sur des cobayes volontaires avant d'être inéluctablement imposée à toute la population. Sinon, prison à vie, ou au moins interdiction de quitter le territoire.

Ce qui nous amène fatalement à l'aspect géopolitique de toute cette mascarade (sans mauvais jeu de mots), car il est quand même époustouflant de constater à quel point ce virus arrive à pic, pour arranger les affaires de la finance mondiale, en train de s'écrouler dans sa version actuelle, puisque totalement à bout de souffle.

Qu'en sortira-t-il ?

Rendez-vous dans les prochaines semaines et mois.

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21.03.2020

Voici les statistiques officielles de ce jour sur le nombre de cas d'infections dans les pays concernés. Ces chiffres appellent de nombreux commentaires.

Du fait de l'extrême diversité de "gestion" épidémique différente dans chaque pays, il est quasi impossible se donner un quelconque chiffre concret, tout ce qui est diffusé dans les médias ne repose sur aucune base sérieuse.

Du fait de la période d'incubation, donc de contagiosité relativement longue (l'est-elle vraiment ?), et très variable chez chaque personne, en fonction de sont état de santé personnel, il est quasi impossible de donner à une date précise, le nombre de personnes réellement infectées, puisqu'on ne sait pas qui a contaminé qui, avant que les personnes malades soient effectivement recensées dans les hôpitaux. Les chiffres ci-dessus ne sont donc qu'une très vague approximation, le nombre réel étant beaucoup plus élevé.

Dans la mesure où l'on admet pouvoir au moins dégager une tendance, faute d'avoir de chiffres précis, il y a des points qui interpellent. Par exemple, l'Allemagne à presque 20 000 cas, avec une progression de 4500, mais seulement 59 décès, alors que la France avec un nombre de cas largement inférieur, 12612, une progression nettement plus faible, 1677, déplore 450 morts. Soit il y a quelque chose qui ne colle pas dans les statistiques, ou alors il y a quelque chose de grave qui ne colle pas dans la "qualité" de notre système de soins. 

Actuellement, tout semble être fait pour tenter d'éviter la faillite du système hospitalier tout particulièrement, déjà complètement débordé en temps normal, lorsqu'on se rappelle les manifestions des chefs de service hospitaliers qui faisaient la grève "administrative", juste avant l'épidémie… Le virus est tombé comme par miracle pour les obliger à se remettre à leur tâche… Hasard ?

Comme c'était prévisible, le premier confinement de 15 jours annoncé ne sera pas suffisant, une première "rallonge" de 15 jours sera nécessaire, et on nous conditionne déjà pour "au moins" six semaines.

Lorsqu'on regarde les statistiques chinoises, où l'épidémie a commencée entre fin novembre et début décembre, il aura fallu, jusqu'à début mars trois bons mois pour arriver en phase descendante. Sachant qu'en Chine le confinement était infiniment plus strict que chez nous, si l'on reporte ces chiffres à la France, nous avons une petite chance de pouvoir ressortir de nos quatre murs, au moins provisoirement, au mieux, d'ici la mi-juin. 

Dans le même ordre d'idées, il est question, selon par exemple le directeur de l'institut Robert Koch en Allemagne (équivalent de notre Institut Pasteur), qu'il y aura plusieurs vagues épidémiques, au moins pendant les deux prochaines années. Espérons qu'il ne voit que le verre à moitié vide … 

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18.03.2020

L'état de guerre annoncé par Emmanuel Macron et répété 6 fois dans son intervention télévisée est entré en application hier, mardi à midi. A compter d'aujourd'hui, si vous vous avisez de sortir, même pour faire faire ses besoins à votre chien, vous risquez une prune de 135 euros si vous la payez dans les 45 jours, sinon elle est portée à 375 euros. De quoi dissuader les plus récalcitrants.

Si vous avez lu la première partie du présent article daté du 10 mars, vous savez qu'il existe au moins de très sérieux doutes quand à l'émergeance "naturelle" ou "accidentelle" de cette chimère virale. 

En effet, les particularités de contagion, de dissémination, de symptomes ou à contrario d'absence de symptomes malgré une infection est tout à fait atypique et "anormale" pour qu'il puisse s'agir d'un banal virus grippal, qui aurait muté, etc... . 

Nous savons de façon documentée que toute la "famille" des coronavirus fait l'objet d'intenses recherches, autant dans les laboratoires privés que militaires disséminés aux quatre coins de la planète et ce, au moins depuis les années 1980.

Nous savons que le coronavirus provoquant le SRAS (Syndrome Respiratoire Aigu Sévère) apparu au début des années 2000, a fait une première épidémie en 2002-2003 en .... Chine. Son "cousin" le MERS (Middle East Respiratory Syndrom) est apparu un peu plus tard en 2013 au Moyen-Orient, où les premiers cas sont apparus au Quatar.

Pour le MERS, la contagiosité a été inférieure à celle crainte au départ, quoique quand même estimée à 38 %. Elle serait transmise par les dromadaires.

Pour le SRAS, sur 8000 cas d'infections resensés, un peu plus de 700 décès, soit un peu moins de 10 % de mortalité.

Depuis, tous les laboratoires du monde entier travaillent sur ces virus. Ce qui veut dire que ces laboratoires abritent des souches de ces virus VIVANTS ! Donc hautement contagieux. D'où l'appellation P4 (Pathégonécité de niveau 4, maximum). Mais il faut bien se rendre compte qu'aucun de ces laboratoires ne sera totalement étanche. Un fuite, naturelle ou accidentelle, due à une erreur ou négligence humaine peut toujours arriver. Quoique nous certifient les autorités qui se prétendent compétantes.

Nous avons vu à Tchernobyl ce qu'une erreur humaine pouvait provoquer comme désastre !

Ceci pour une thèse "accidentelle" de fuite de ce virus.

Lorsque l'on se penche sur la nature de ce virus, à la lumière des symptomes qui se font jour ici et là, on se rend compte que certains sont bien évidemment identiques au SRARS et au MERS, mais il y en a d'autres, totalement inédits.

Il semblerait, qu'un des facteurs principaux de propagation soit le fait qu'une très large part de la population pourra être infectée une première fois, sans le moindre symptome apparent, ou à peine un nez qui coule quelques jours ou une gorge qui gratouille un peu, puis plus rien SPONTANEMENT, sans aucun soin particulier. Tout disparaît. Sauf que .... il y a eu de nombreux cas de "réinfection" et dans ce cas, ce qui était là première fois une atteinte très légère des voies réspiratoires supérieures (nez-gorge) est devenu une atteinte grave des voies respiratoires inférieures (les poumons). 

Il est bien évident que les personnes sujettes à des maladies chroniques plus ou moins graves seront les premières à être touchées par une infection, quelle que soit sa nature, covid ou pas. Ces personnes étant de plus soumises à des médications de longue durée et parfois très lourdes, leur système immunitaire aura d'autant plus de mal d'encaisser une prolifération anormale de ce virus, comme de n'importe quoi d'autre. Toutes les personnes greffées, (dont les médicaments anti-rejet "brident" le système immunitaire de façon à ne pas rejeter le greffon) ou dont le système immunitaire est déficient pour toutes les raisons possibles que l'on décrit sous l'acronyme SIDA, mais dont le rétro-virus ne serait pas la cause, mais le "témoin", tous ces personnes seront bien entendu et hélas pour elles, en première ligne dans le cas du coronavirus.

Autre facteur qui semble avoir une très importante corrélation dans la situation géographique des foyers épidémiques, c'est la nouvelle technologie de téléphonie mobile sans fil 5G, dont les cartes se rejoignent de façon troublante pour le moins.

La ville de Wuhan d'où serait partie l'épidémie de Coronavirus est depuis fin 2019 entièrement couverte par un réseau 5G de plusieurs milliers d'émetteurs.

La Lombardie et tout particulièrement la région milanaise, la plus touchée en Italie est aussi copieusement "arrosée" par des réseaux 5G.

Or c'est dans ces deux foyers que la propagation s'est développée de façon extrêmemnt rapide. Plus rapide que partout ailleurs, ce qui fait dire aux opposants de la 5G, de plus en plus nombreux, que celle-ci favorise la dissémination de virus, en affaiblissant le système immunitaire.

Cette thèse est bien entendu vivement décriée, on hurle au complotisme dès que l'on s'avise de faire ce genre de lien.

Quelques précisions sur les mesures de confinement et leur efficacité supposée :

650 000 décès associés aux affections respiratoires dues à la grippe saisonnière Pour l’OMS, les affections respiratoires dues à la grippe saisonnière provoquent jusqu’à 650 000 décès par an dans le monde.

Précisons que si nous voulions enrayer chaque hiver les centaines de milliers de décès dus aux syndromes grippaux, il faudrait séparer les populations en trois groupes isolés les uns des autres : personnes malades, personnes fragiles et personnes bien portantes.

Ce confinement sélectif serait le seul moyen d’éviter, non pas directement le nombre de morts, mais la dissémination des virus par contacts humains.

Cette dernière phrase mérite deux éclaircissements : - On peut par exemple être victime d’un syndrome grippal et porteur du virus influenza A - H3N2 et mourir d’une insuffisance cardiaque et rénale pour lesquelles ce virus n’est en rien impliqué. - Penser qu’empêcher la dissémination d’un virus par contact humain supprime effectivement sa dissémination humaine nous semble très simpliste, ou alors il faut renoncer à la théorie du patient 0, celui qui aurait été le premier infecté.

En réalité, les virologues sont loin de tout savoir sur les modes de disséminations des virus dans l’espèce humaine.

9 900 décès en 8 semaines ont été associés à la grippe en France lors de l’hiver 2018-2019

Selon Santé publique France, en huit semaines, lors de l’hiver 2018-2019, il y aurait eu « 13 100 décès toutes causes et tous âges confondus en excès, dont 9 900 attribuables à la grippe durant la période de surveillance »

Les décès dus à la grippe saisonnière selon l’OMS, cliquez sur « 650 000 morts »

Ces chiffres appellent quelques commentaires :

Un virus peut-il être responsable du décès d’une personne à lui tout seul ?

Si c’était le cas, nous aurions du mal à expliquer que la majorité des gens infectés par l’un des centaines de virus associés aux syndromes grippaux, ne tombent pas malades. Ou encore, nous aurions du mal à expliquer pourquoi et comment la majorité d’entre eux guérissent rapidement de quelques désagréments mineurs, comme lorsque nous sommes enrhumés pendant quelques heures.

En fait, si un virus tueur d’humains avait existé, l’espèce humaine n’aurait sans doute pas pu apparaître et, en tous les cas, elle ne prospérerait pas comme elle le fait. Mais pourquoi attribuent-ils tous les ans des morts aux virus de la grippe et cette année au seul coronavirus que les médias dénomment « Covid-19 » ?

Il y a quelque chose d’étrange et d’anti-scientifique à attribuer la mort de quelqu’un à un virus précis.

Rappelons-le, nous hébergeons en permanence dans notre corps des milliards de milliards de virus qui appartiennent à dix « familles » différentes, pour celles qui sont actuellement référencées. Nous pouvons mourir en souffrant d’une pneumopathie associée à un virus appartenant à l’une des 270 espèces de virus, dont plus d’une centaine de variétés d’adénovirus, à peu près autant de rhinovirus, 67 virus picornaviridés et, à ce jour, 7 coronavirus, sans que ce ou ces virus soient le responsable de notre mort, ou son seul responsable.

Prenons le cas des personnes âgées qui fument des dizaines de cigarettes par jour depuis des décennies et qui ont les alvéoles pulmonaires totalement « goudronnées », pensez-vous sérieusement que c’est un virus qui est responsable, ou le seul responsable, de leur pneumopathie hivernale ?

Il en est de même avec les individus affaiblis à cause de leur alimentation, d’une maladie chronique comme un cancer, l’obésité, le diabète de type 2, une insuffisance rénale, une insuffisance respiratoire, une insuffisance cardiaque et, ou, leur mode de vie. Au final, ils meurent tous d’un arrêt du cœur, mais quelle est la part de cet arrêt qui est due aux pathologies préexistantes, au mode de vie et au virus que l’on trouve dans leurs tissus corporels, car on le cherche, lui et pas un autre ?

C’est incroyablement anti-scientifique Les tests qui sont actuellement pratiqués sur les malades, et dont on aimerait avoir un contrôle contradictoire sur leur efficacité, ne vise qu’à repérer une partie du génome du « Covid-19 » pour associer ce virus aux décès.

C’est incroyablement anti-scientifique, cela relève de l’idiotie ou de l’escroquerie dont les motivations ont sans doute à voir avec les programmes vaccinaux des laboratoires pharmaceutiques et des de l’OMS, dont la corruption en son sein a été mainte et mainte fois dénoncée, sans aucun effet. Qui nous dit qu’avec le « Covid-19 » ne cohabitent pas dans le corps des malades d’autres virus comme l’un des virus influenza ?

Qui ne nous dit que les décès associés au coronavirus ne seraient pas dus à la conjugaison de plusieurs facteurs pathogènes qui s’ajoutent « Covid-19 », comme le sont le froid hivernal, le tabac, l’alcool, le sucre, les maladies chroniques ?

Dans quel état physiopathologique préexistant se trouvaient les malades avant d’être diagnostiqués contaminés « Covid-19 » et de mourir ? Qu’une personne en détresse respiratoire décède en étant porteuse du « Covid-19 », pourquoi pas, c’est tout à fait possible, mais quid des autres virus dans son organisme ? Était-elle également porteuse d’un ou de plusieurs des centaines de virus qui sont associés aux syndromes grippaux hivernaux ? Avait-elle une faiblesse respiratoire chronique ? Fumait-elle ? Était-elle atteinte d’une grave pathologie qui l’affaiblissait ? Était-elle immunodéprimée à cause d’une chimiothérapie par exemple, ou par la prise de de stupéfiants ? A-t-elle été vaccinée dans les jours ou les semaines qui ont précédé la survenue de sa détresse respiratoire ? La surconsommation de « médicaments » chimiques et la vaccination antigrippe en causes !

L’excellente et très sérieuse rédaction française de l’association internationale pour une médecine scientifique indépendante et bienveillante (AIMSIB), souligne à ce sujet que les statines, dont on a du mal à comprendre qu’elles soient encore prescrites à la pelle dans les hôpitaux par les cardiologues (sans doute par les mêmes qui prescrivaient du Médiator® pendant des décennies), empêchent la captation des virus circulants par les lipoprotéines sériques des patients qui voient ainsi leurs défenses immunitaires affaiblies.

Par ailleurs, la rédaction précise que « Tous les traitements anti-inflammatoires, stéroïdiens ou non, aspirine comprise doivent dans la mesure du possible être interrompus, idem s’agissant des prises en charge par antihypertenseurs de la classe des IEC ou des sartans (…).

La vaccination antigrippale pourrait entraîner un sur risque majeur d’infection sévère à coronavirus, cette pratique extrêmement répandue demeurant sans effet sur la mortalité tous âges confondus demande donc à être abandonnée au plus vite. » Pour lire l’article en entier, cliquez sur « Les recommandations de l’aimsib »

Confiner ensemble malades, personnes fragiles et bien-portants, c’est favoriser l’épidémie et la dissémination des virus

S’il existe une vérité scientifique au sujet des épidémies, c’est bien celle qui consiste à séparer les malades des bien-portants et des personnes fragiles. D’ailleurs Hippocrate (460-377 AEC), disait à leur sujet et en son temps : « le meilleur moyen de s’en protéger est de partir vite, loin, longtemps ». Décider du confinement de toute une population sans en séparer les personnes malades des personnes fragiles et des personnes bien portantes, c’est tout simplement favoriser la transmission des virus des personnes contaminées vers les personnes fragiles non contaminées. Ce qui explique sans aucun doute le nombre élevé de malades et de décès en Italie, et ce qui expliquera le nombre de malades et de morts qui vont survenir en France.

La Corée du Sud a démontré qu’aucun confinement général de la population ne se justifie pour éviter un nombre important de morts et éviter que l’épidémie prenne de l’ampleur

Au 10 mars 2020, en Corée du Sud, avec 200 000 tests de dépistages réalisés, 7979 personnes ont été détectées porteuses du coronavirus, soit 3,99 %, pour seulement 67 morts, soit 0,84 % des porteurs du virus et 0,033 % de la population testée.

La Corée du Sud a refusé la politique dictatoriale du confinement général de la population, car elle est jugée dans ce pays comme sanitairement et médicalement inappropriée en plus d’être non conforme au respect des libertés fondamentales qui doit guider l’action des responsables politiques et administratifs de ce pays.

Elle a préféré isoler et soigner rapidement les malades avec des remèdes qui convenaient à leur situation individuelle, y compris, selon nos informations, avec de la chloroquine pour les cas les plus graves.

À l’inverse, en Italie, à la même date et avec un confinement général de la population, il a été recensé 15 113 malades soit quasiment deux fois plus qu’en Corée du Sud, avec un taux de décès de plus de six fois supérieur (514 décès, soit 6,72 % des malades recensés en Italie).

Il faut être particulièrement de mauvaise foi pour ne pas faire le moindre rapprochement entre le nombre important de malades et de décès en Italie, et cette scandaleuse mesure de confinement général de la population.

La chloroquine a eu des effets spectaculaires en Chine, en Corée du Sud et à Marseille

Comparés aux virus influenza et aux centaines de milliers de morts auxquels ils sont associés tous les ans, les coronavirus sont manifestement fragiles et peu agressifs, si l’on en croit la bénignité des affections habituelles auxquelles ils sont associés avec 98 ou 99 % de guérison rapides et sans traitement.

Ajoutons à cela que si la pharmacopée occidentale est assez démunie pour traiter les syndromes grippaux associés aux virus influenza, ce qui explique le nombre élevé de décès annuels, ce n’est pas le cas avec ce coronavirus contre lequel elle possède un vieux remède très efficace, un antipaludéen appelé « chloroquine ».

Fin février 2020, le directeur de l'Institut des maladies respiratoires de Guangzhou, le docteur Zhong Nanshan, déclara que l’usage de chloroquine, , avait réduit de 14 à 4 jours le portage naturel du virus chez les personnes détectées porteuses du virus, ce qui limite considérablement les risques d’aggravation des pneumos pathologies qui frappent les personnes physiologiquement les plus faibles.

Le constat du docteur Zhong Nanshan de Guangzhou est aujourd’hui confirmé par le professeur Didier Raoult qui dirige l'IHU Méditerranée Infection et qui a pu tester la prescription de chloroquine sur 24 malades contaminés par le SARS-Cov-2 (ex « 2019-nCoV »).

Sur 24 patients qui ont accepté de prendre de la chloroquine, seuls 25 % étaient encore porteurs du virus six jours plus tard, alors que 90 % de ceux qui n'ont pas reçu ce traitement en étaient toujours porteurs, les 10 % restant étant des individus en parfaite santé et dont les systèmes immunitaires ont naturellement éliminé les virus. Pour regarder les explications du professeur Raoult cliquez sur « La chloroquine est efficace »

Des milliers de personnes vont-elles mourir comme vient de le déclarer Agnès Buzyn, ancienne ministre de la Santé qui vient d’échouer dans sa tentative de prendre la mairie de Paris ?

Tout dépend des morts que l’on va associer au coronavirus. Il est quand même surprenant que l’on ne parle absolument pas de la grippe c’est hiver, comme si elle avait disparu, ce qui n’est naturellement pas le cas.

Il faudrait déjà savoir si les personnes infectées par le coronavirus ne le sont pas également par l’un, ou plusieurs, des centaines de virus qui sont associés aux syndromes grippaux et que l’on associe aux milliers de décès annuels en France (pour rappel, cela a concerné 9 900 décès en 8 semaines lors de l’hiver 2018-2019). Le confinement généralisé est-il criminel ?

La déclaration de l’ex-ministre de la Santé préférée des laboratoires pharmaceutiques est tout simplement scandaleuse et totalement infondée.

À moins qu’elle sache, et le gouvernement avec, d’après des projections statistiques fiables issues de la situation italienne, que le confinement général de la population débouchera sur une augmentation considérable des personnes infectées et de décès.

Auquel cas, cette décision est tout simplement criminelle et les morts qui s’en suivront devront être considérés comme des assassinats. C’est-à-dire des meurtres avec préméditation et dont les coupables sont ceux qui ont pris cette décision de confinement général en toute connaissance de cause.

Pourquoi l’exemple de la Corée du Sud n’est-il pas suivi par les autorités françaises ?

La politique sanitaire sud-coréenne a consisté à détecter les porteurs du coronavirus en testant toutes personnes qui présentaient des signes grippaux, d’isoler et de soigner les malades individuellement afin qu’ils ne se surcontaminent pas et qu’ils ne contaminent pas leur entourage. Dans leur sagesse et sans doute parce qu’ils connaissent pour beaucoup les grands principes fondamentaux de la médecine chinoise, les Sud-Coréens n’ont pas oublié que le rôle du médecin est de diagnostiquer et de soigner, pas de confiner une population en mélangeant les gens malades aux gens affaiblis.

C’est tout le contraire en fait de ce qui se fait en Italie, avec les tristes résultats, et les morts, que l’on sait. Et c’est pourtant l’exemple italien qui est suivi par le président de la République et son gouvernement.

Après le confinement et la suppression de notre liberté d’aller et de venir, une nouvelle vaccination obligatoire ?

La Corée du Sud a refusé le criminel confinement général de sa population, car il ne peut que favoriser la dissémination du virus chez les plus fragiles, chez ceux dont les défenses naturelles ne sont plus capables de faire face et qui risquent de mourir à la moindre infection. C’est en dépistant et en isolant les personnes infectées pour protéger les autres et, surtout, afin de les soigner rapidement avec des soins et des médicaments adaptés à leur situation individuelle, qu’elle a réussi à stopper l’épidémie et à limiter drastiquement le nombre de décès.

Soigner les malades et limiter drastiquement le nombre de décès en isolant les personnes infectées et en protégeant les personnes fragiles, ce n'est pas la voie choisie par Emmanuel Macron et son gouvernement

Dans les semaines et les mois à venir nous aurons une comparaison de possible entre la France et l'Italie d'un côté qui ont choisi le confinement généralisé, et de l'autre la Grande-Bretagne et les Pays-Bas qui misent sur une circulation naturelle du virus....

D'autres informations suivront bientôt sur le contexte géopolitique et économique de cette "crise", pour  tenter d'en comprendre les tenants et les aboutissants.

A suivre

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10.03.2020

Devant l'hystérie généralisée que cette, semble-t-il, petite grippette asiatique suscite dans le monde entier, il convient de remettre un tant soit peu les choses de leur contexte, et surtout de réfléchir sérieusement dans quelle impasse sanitaire "on" nous précipite, tels les moutons de Panurge dans le ravin.

Il n'est pas question ici de noircir le tableau, mais simplement de rappeler des faits, et sur certains sujets des éléments que la plupart ignorent.

Petit retour en arrière, plus précisément lors de l'épidémie de grippe porcine, faussement rebaptisée pandémie en 2009, qui a rendue célèbre cette chère Roselyne Bachelot, reconvertie aujourd'hui dans les grossièretés de Ruquier et de ses grosses têtes. Mais laissons-la à ses turpitudes, ce n'est pas le sujet.

Toujours est-il que le départ de cette "épidémie" dont le premier cas a avait été identifié dans un petit village mexicain La Gardia, a eu lieu très exactement à 5 kilomètres du laboratoire de type P4 (pathégénocité 4 = maximale) flambant neuf construit en partenariat avec la France, Sanofi Aventis en l'occurence, et qui a été inauguré en grande pompe par Nicolas Sarkozy, accompagné duPDG de Sanifi de l'époque. Ce dernier dans son discours disait textuellement : " Nous sommes fiers que le Mexique soit doté d'une unité de fabrication de vaccins ultra-moderne qui pourra produire rapidement des vaccins contre la pandémie à venir".... C'est soit de la divination, soit un énorme aveu. Ce discours qui était publié sur le site de Sanof-Aventis a été ensuite rapidement supprimé....

On connaît la suite, je ne m'atterderai pas plus sur ce lamentable fiasco, dans tous les sens du terme.

Entre-temps, d'abord l'Italie, puis derrière elle la France ont passé à l'obligation légale de vacciner nos bambins avec 12 cocktails Molotov pour l'Italie et 11 pour nous. Si nos chères petites têtes (blondes ou pas) ne peuvent pas justifier de leur statut vaccinal en règle, ils risquent de se faire exclure de toute la vie publique (école, crèches, etc.). On a donc transformé un acte qui se devrait d'être uniquement un acte médical en chantage administratif. Au pays des droits de l'homme et dont la devise est Liberté, Egalité et Fraternité. L'Allemagne est en train de suivre le même chemin dictatorial. Le vote de l'obligation de la vaccination contre la rougeole vient d'entrer en application, juste deux ans après qu'Angela Mekel déclarait "qu'il  n'y  aurait  pas  de  vaccinations  obligatoires en  Allemagne,  parce  qu'en Allemagne,  le  consentement  éclairé  a  "de  solides  racines historiques". Fermez le ban.

Le sujet de la vaccination étant traité largement par ailleurs dans ce même blog, j'invite le lecteur à s'y reporter.

Nous arrivons donc au mois de février 2017, lorsque Bernard Cazeneuve inaugure un autre labo flambant neuf P4, construit lui aussi en partenariat avec la France. Ces laboratoires P4 sont "habilités" à héberger les virus les plus "dangereux" de la planète : Ebola, Coronavirus, Sras, etc. Le premier du genre et le plus important au niveau mondial se trouve près de Lyon, ou un certain Mr Bruno Lina officie... 

On trouve donc dans les deux cas, la même configuration.... Ceci dit, rien n'empêche de croire à des coïncidences.... A chacun de se faire son opinion.

Une chose est quand même surprenante, POURQUOI certains pays se sentent obligés de s'équiper de tels laboratoires ??? Simplement pour faire faire joujou à des Dr Folamour en puissance ??? Ou pour être "armés" en vue d'une guerre bactériologique ?

Un deuxième élément important se trouve dans le contexte géopolitque de ces derniers mois notemment, à savoir le bras de fer économico-financier entre TRUMP et la Chine. 

Ce bras de fer est loin d'être clos, car fin décembre 2019 les "sanctions" étasuniennes se sont accentuées. Or c'est précisément début décembre que le virus aurait fait son apparition à Wuhan. Encore une coincidence.... A noter aussi que la Chine est un des principaux initiateurs des BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud), ces pays cherchant à créer un "contrepoids" à l'hégémonie du dollar US, et donc de s'en affranchir à terme, donc de la Banque Mondiale et du FMI. Situation que le billet vert serait incapable de supporter et signerait son écroulement immédiat... et tout ce qui tourne autour. Difficile donc à Trump de laisser l'initiative à la Chine.... Ce qui ferait, je dis bien ferait, de cette épidémie de Coronavirus un "excellent" moyen de pression sur la Chine, pour la faire rentrer dans le rang.

A l'appui de cette thèse vient le bras de fer que l'Amérique et donc Trump actuellement mène avec l'Iran, dont les Ayatollahs cherchent aussi à s'affranchir du dollar pour se faire payer leurs exportations en Euros.... Difficile à avaler aussi pour l'Oncle Sam.... 

Bien entendu toutes sortes de "spéculations" circulent quant à l'origine réelle de ce virus, d'autant que les premières explications étaient plutôt bafouillantes et loin, même très loin d'être crédibles.

En ce moment (10 mars), l'épidémie semble dans une phase descendante en Chine, puisqu'une grande part des hôpitaux de campagne ouverts à la hâte ont été refermés. Pendant ce temps, l'épidémie se propage dans le reste du monde, et chaque pays sonne le tocsin plus ou moins violemment. L'Italie du Nord semble la plus touchée en Europe, tout particulièrment l'agglomération milanaise et la Vénétie.

Là aussi, diverses versions se sont fait jour, l'une pointant le nombre très élevé de chinois dans ces régions, ce qui expliquerait le "cluster" italien, et pour d'autres on pointe les nouveaux réseaux de téléphonie mobile 5G dont la ville de Milan, ville qui se veut pilote dans ce domaine, est équipée depuis .... fin 2019. A noter qu'en Chine il y aurait une concordance "frappante" entre la carte des réseaux 5G en fonction, et celle des "nids" de coronavirus. D'où "l'explication" que les réseaux 5G participeraient très activement à l'affaiblissement du système immunitaire ce qui ouvrirait en grand les portes à toutes sortes d'infections. Question : pourquoi le coronavirus et pas autre chose ? Sachant qu'on ne trouve jamais que ce que l'on cherche effectivement.

Toujours est-il qu'étant donné la nature des ondes électromagnétiques, et surtout celles utilisées par la 5G, je publierai prochainement un article sur les effets possibles de ces rayonnements, mais aussi et surtout de l'état des dernières recherches dans ce domaine.

Depuis maintenant plus de deux mois, on commence à pouvoir un tant soit peu relativiser et "comparer" la sévérité des infections de grippe saisonnière annuelle avec celle de ce virus "exotique". Comme les chiffres varient énormément selon leur sources, il est bien entendu difficile de se faire une idée exacte sur ce point.

Je dis virus exotique, non pas à cause de son pays d'origine, mais bien a cause de sa "constitution". Il semblerait (notez le conditionnel) que ce virus ne soit pas une mutation d'origine naturelle, mais bel et bien un "évadé" d'un des rares laboratoires P4 à travers le monde. Il y en a actuellement 31 sur toute la planète, où l'on "joue" avec des virus tels que Ebola et Marburg pour les plus dangereux, mais de loin par seulement ceux-ci. Qu'il se soit "échappé" à cause d'une erreur involontaire humaine est une première possibilité qui serait bien plus crédible si cette évasion s'était produite en plein été par exemple, et en dehors du contexte géopolitique actuel. Que cette fuite se produise pile poil au début de l'hiver, alors que la campagne marketing pour la vaccination "contre" la grippe saisonnière bat son plein, bien qu'elle semble avoir de plus en plus de peine à convaincre les populations de se laisser piquer avec des mixtures improbables, qui ne semblent efficace que dans les délires de leurs fabricants, peut paraître à tout esprit critique pour le moins sujet à caution, pour ne pas dire suspect.

Je vous laisse vous faire votre propre opinion dans le cas d'une "évasion organisée" comme certains l'affirment.

Dans un cas comme dans l'autre, la probabilité pour qu'il s'agisse d'un virus "naturel", c'est à dire qui n'a pas encore été "trafiquoté" par nos apprentis sorciers est tout à fait logiquement très, très faible, quoiqu'en disent les autorités.

Ce qui alimente bien entendu les spéculations des complotistes...

A charge aussi pour la thèse la moins plaisante, ce sont deux faits que tout un chacun peut vérifier :

L'Iran est le deuxième pays le plus touché, alors qu'il se refuse de plier aux diktats américains. Il vient d'ailleurs d'accepter de recevoir l'aide de l'OMS.

L'Italie du nord abrite quant à elle le plus fort "nid" de résistance à la vaccination obligatoire.... La Vénétie notemment s'est fermement opposée à cette obligation. Depuis l'OMS semble avoir repris le contrôle de la situation, puisqu'elle a transféré son siège européen à .... Venise, si, si, ce n'est pas une blague, et d'autre part elle a nommé   un  conseiller  spécial le  Dr.  Gualtiero  Ricciardi  (ce  dernier avait  été  contraint  de  démissioner  de  l'Institut  Supérieur  de  la Santé  en  raison  d'une  très longue  liste  de  conflits  d'intérêts  non  déclarés)    pour  piloter  la  crise  du coronavirus.  

D'une part, il y a actuellement en Europe, et tout spécialement en Allemagne et en Pologne un déploiement massif de forces de l'Otan dans le cadre de l'exercice Defender Europe 2020 

Il est quand même curieux que là, on retrouve le même cas de figure qu'à Haïti, lors du tremblement de terre qui avait révagé l'ïle .... le lendemain de l'arrivée des ONG et mlitaires américains qui faisaient un exercice d'aide aux populations en cas de ..... tremblement de terre.  (C’est pourquoi, la Navy avait positionné à l’avance sur l’île le général P. K. Keen, commandant en second du SouthCom (Commandement du Sud), pour superviser les opérations de secours prévisibles. )

Et en France le dénommé Covid19 tombe pour le moins à pic pour reléger le coup de 49.3 d'Edouard Philippe pour faire passer au forceps la réforme des retraites au rang de lointain souvenir...

Tous ces faits ne plaident en aucun cas pour des hasards. Rien n'arrive par hasard en ce bas monde, et surtout pas en politique.

Nous avons trop d'exemples de mensonges étatiques de tous temps pour ne pas prendre pour argent comptant ce que les médias aux ordres nous servent 24/24 heures.

Nous suivrons bien entendu l'évolution de ce soufflé si soigneusement réchauffé....

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