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Le blog de l'information alternative et de la santé naturelle

Chimiothérapies toxiques

26 Novembre 2010 , Rédigé par motarcs Publié dans #Cancer, Sida, maladies diverses

Il fut un temps, pas si éloigné que çà, où les morts se décomposaient lentement dans les cimetières, libérant éventuellement la place à d'autres, au bout de la classique concession de 30 ans.

Aujourd'hui, mes braves gens, on ne se décompose plus, on sèche....comme les momies égyptiennes.

Cela a été mis en évidence en Allemagne dans 40 communes. En France, ce beau pays, à la fois de la liberté (surveillée) et de l'omerta démocratique, on évite soigneusement d'en parler pour ne pas faire d'ombre aux intérêts de l'empoisonnement chimique organisé.

Tout ceux qui consomment "standard industriel et pharmaceutique chimique", sont devenus petit à petit de véritables usines chimiques ambulantes.

Selon le Dr Louis de BROUWER, le Français moyen absorbe environ 4 kg de pesticides, conservateurs et autres édulcorants et molécules chimiques toxiques par an.

Il n'y a aucune illusion a se faire sur la flore intestinale et l'état des parois intestinales... d'où un autre commerce de plus en plus lucratif.... et de ce fait sujet de plus en plus souvent à caution, celui des vitamines, et autres qui auraient dû être synthétisées naturellement par l'organisme si les "bonnes" bactéries de nos intestins étaient en bon état. Ce commerce de "compléments alimentaires" commence d'ailleurs à être lui aussi tellement "juteux" qu'il excite la convoitise de Big-pharma :

voir le Codex alimentarius

Ce qui fait qu'une fois mort, nos boyaux sont "zone interdite" pour les asticots.... la liste des E est trop longue.

Du temps des pharaons la momification était réservée aux riches, maintenant c'est démocratisé et (presque) gratuit....

Ceci pour le ci-devant citoyen "standard". Imaginez ce que cela peut devenir chez les personnes qui sont sous chimiothérapie, trithérapie et autres radiothérapies....

Lorsque l'on remonte à l'origine de la "trouvaille" des chimiothérapies, on se rend compte qu'elles sont issues de la recherche sur les armes chimiques de la seconde guerre mondiale, et a fait son apparition dans les années 1950, lorsqu'on a découvert que le gaz "moutarde" et d'autres produits chimiques du même genre freinaient la croissance des tumeurs. Le gros "hic", c'est que ces produits tuent aussi efficacement les cellules saines que les "malades". Ceci est vrai aussi bien dans le cas du cancer que du sida, l'origine de ces deux traitements étant la même (AZT).

Ces traitements sont donc capables de mettre dans un état lamentable n'emporte qu'elle personne en bonne santé !

Pour ce qui est du coût financier, les rares chiffres articulés plus ou moins discrètement seraient, pour UNE SEANCE de chimiothérapie "DOUCE" de 2600 €uros, et selon le "cocktail", la facture peut atteindre plus de 6000 €uros par séance !!!

Faisons une petite multiplication : une moyenne de 20 séances par patient, multipliées par les plus de 60 000 cancéreux chimiqués par an, cela donne, sur une base moyenne de 4500 €uros par séance, la coquette somme de 90 000 €uros que rapporte chaque cancéreux aux laboratoires, soit 5,4 milliards d'€uros par an en France, somme bien entendu allègrement déboursée par notre si généreuse Sécurité Sociale.

Sachant que le coût de fabrication de ces produits doit être très bas, étant donné leur origine militaire première, on comprend mieux que PERSONNE dans toute cette filière, n'a intérêt à ce que le cancer soit éradiqué, et que l'on en arrive à mettre en prison pour les faire taire des Dr G. HAMER, et tous les autres chercheurs, non inféodés à l'industrie pharmaceutique et qui proposaient des solutions et des thérapies EFFICACES et NON TOXIQUES.

Que se passe-t-il réellement ?

UNE PREMIERE CERTITUDE : LE CANCER RÉSISTE À LA SCIENCE 

« Les espoirs placés dans l'immunothérapie se sont révélés vains, et les perspectives de la thérapie géniques paraissent illusoires ». 

La Recherche de Février 1996 titrant « Le cancer résiste à la science » constatait que les progrès des techniques de détection, de chirurgie, de radiothérapie et des médicaments, qui contrastent avec l'absence de révolution thérapeutique, n'ont pas abouti à faire globalement régresser ce fléau. 

 « 20 ans après la date fixée pour son éradication, et malgré les quelques 40 milliards de dollars de dotations diverses injectés dans la recherche des deux côtés de l'Atlantique, il faut se rendre à l'évidence : non seulement la bataille n'est pas gagnée, mais d'une manière générale le cancer a plutôt tendance à progresser ». Laurent Schwartz, cancérologue à l'hôpital Tenon à Paris.  

FLAMBEE DE CANCERS CHEZ LES JEUNES 

Au cours de leur existence, 50% des français et 33% des françaises seront confrontés au cancer. 
Chez la population générale, entre 1970 et 1990,

les cancers des poumons ont augmenté de 110 %,

ceux des bronches de 75 %,

des ovaires de 94 %

et du sein de 43 %. 

On nous répète qu’il faut relativiser cette progression par l’allongement de la durée de la vie (autrefois on mourrait avant que le cancer ne se déclare). Or, d’après le Quotidien du médecin (supplément décembre 1983) et l’étude du CREDES (1991) qui mène des enquêtes décennales sur un échantillon de 20 000 personnes pour l'ensemble des cancers, la mortalité a progressé de 137% chez les jeunes, contre +65% chez les personnes âgées.

 L'accroissement de la population âgée n’explique donc pas à lui seul l'effrayant développement des cancers. 
Pour la tranche d’âge 0-24 ans, certains cancers ont augmenté de manière explosive en 20 ans : 
 

leucémie

+16%

lymphomes

+57%

cerveau 

+83%

glandes endocrines

+165%

tissus mous

+536%

foie et voies biliaires

+2200%

 

ON MEURT PLUS, MAIS GUERIT-ON PLUS ? 

Excepté pour 2 sortes de cancers rares chez l'adulte, et des cancers chez l'enfant, de fameux cancérologues français, non inféodés aux laboratoires pharmaceutiques, osent exprimer leur doute quant aux guérisons obtenues par les voies classiques : 

« Le diagnostic précoce n'a souvent pour effet que d'allonger la durée de la maladie avec son cortège d'angoisse [effet nocebo].

Cela contredit bien des affirmations concernant les prétendues avancées thérapeutiques » 
(cf. Dr J-Cl Salomon, dir. de recherche CNRS, cancérologue, et National Center for Health Statistics USA). 


Le Dr Salomon précise qu'on comptabilise sans distinguer vrais cancers et tumeurs qui n'auraient sans doute jamais provoqué de maladie cancéreuse vraie, ce qui augmente artificiellement le pourcentage des cancers "guéris" (et aussi, évidemment, celui des cancers "déclarés"). 

« Il y a de plus en plus de cancers parce que le dépistage est beaucoup plus précoce mais on ne les maîtrise pas aussi bien qu'on le dit, malgré la chimiothérapie qui est surtout prônée par les chimiothérapeutes et par les laboratoires. Et pour cause : ils en vivent.

Si j'avais une tumeur, je n'irais pas dans un centre anti-cancéreux.» 

Pr. G. Mathé, L’Express 4/10/85

« Ce sont des intérêts financiers gigantesques qui permettent d'expliquer que la vérité scientifique soit encore aujourd'hui trop souvent occultée.

85% des chimiothérapies sont contestables, voire inutiles ». 

Pr. Henri Joyeux, cancérologue à Montpellier. 

Pour E. Pommateau et M. d'Argent, la chimiothérapie n'est qu'un procédé de destruction de cellules malignes comme la chirurgie ou la radiothérapie, et que les seuls cas de guérison, sont des cas qui peuvent guérir spontanément, c'est-à-dire dans lesquels l'hôte peut organiser ses propres défenses. (cf. « Leçons de cancérologie pratique ») 

« L'impuissance de la chirurgie à guérir le cancer est illustrée par un fait frappant : 20% des opérés meurent d'une récidive locale, 80% meurent de métastases à distance » Pr. Lucien Israël in « Le Cancer aujourd'hui »

« La chirurgie n'est valable que lorsque la tumeur provoque des hémorragies qui épuisent le malade ou lorsqu'elle comprime dangereusement un organe. Autrement, elle est inutile. » 

Dr Pierre Solignac, médecin psycho-somaticien attaché à l'hôpital Saint-Michel
En outre, personne ne peut affirmer que les cellules enlevées préventivement auraient donné une tumeur et, considérant l'évolution souvent très lente des tumeurs ainsi détectées, la rémission déclarée ne signifie rien. Sauf cas particuliers, enlever ou détruire la tumeur est bien souvent inutile. 

DES DOUTES SUR LES MAMMOGRAPHIES 

Le 18/10/95, à l’occasion de la journée nationale de mammographie organisée aux Etats-Unis, le Dr Samuel Epstein, président de la Cancer Prevention Coalition, expose des craintes : 

  • sur sa fiabilité : chez les pré-ménopausées, 25% des cancers détectés n'était pas de vrais
  • sur son utilité : par mammographie, un cancer du sein n’est détectable que s’il existe déjà depuis au moins 8 ans et a déjà touché les ganglions lymphatiques ou d'autres organes, particulièrement chez les femmes jeunes. 

De plus, il constate qu’on pouvait associer à une grande fréquence de mammographies : 

  • un risque accru de cancer, que l’on peut expliquer par les angoisses, la grande sensibilité des seins en période de pré-ménopause, les interactions avec les oestrogènes, l’effet carcinogène des radiations, la forte toxicité cancérigène et mutagène - ou susceptibles de « provoquer des leucémies à distance du traitement » de nombreux médicaments donnés aux cancéreux. 

Il ajoute à cela qu’on estime qu’aux Etats-Unis, 10 000 cancers par an sont dus au mammographies chez les femmes porteuses du gène A-T (1,5% de la population). 

Voir aussi : http://infoalternative.over-blog.fr/article-vous-reprendez-bien-un-petit-depistage-mesdames-61008024.html


SORTIR DES PISTES BALISEES DE LA RECHERCHE 

« Si dans la lutte contre le cancer, on n'a pas avancé aussi vite que dans d'autres domaines, c'est probablement parce qu'on s'est trop attaché aux théories de Pasteur ». 

Pr. Jean Bernard, conférence sur la leucémie, 1975 


Si les centres de cancérologie continuent à ne jurer que par les substances toxiques « tueuses » de cellules, pour de plus en plus de chercheurs -mêmes les plus conformistes-, les théories de Pasteur se révèlent être une impasse. En marge de la recherche classique, et en dehors de l’hexagone, bien que des thérapeutiques alternatives se soient révélées prometteuses et efficaces, elles ont été systématiquement marginalisées et exclues par ceux que le Dr Henri Pradal appelait il y a 25 ans déjà : les « dictateurs du scalpel et du radium ». 

MOIROT: L’ORIGINE PSYCHOSOMATIQUE DU CANCER 

En 1971, au Congrès international de Rome, cinq chercheurs de l'université de l'Ohio (Etats-Unis), présentent une étiologie psychosomatique du cancéreux. Ils avaient constaté une baisse des cellules NK (Normal Killers), tueuses des cellules cancéreuses, chez les étudiants stressés en période d'examens. 

A ce même congrès, le Dr Michel Moirot, ancien chef de clinique à l'Hôtel-Dieu de Paris, membre du collège des chirurgiens français et membre de la Société française de médecine psychosomatique, décide d’étayer ces théories en démontrant l’importance du terrain par rapport aux « agents » favorisant le cancer

Il oriente alors ses recherches uniquement dans des communautés religieuses car ce sont des milieux dont les règles de vie mettent à l'abri des pollutions extérieures, tabac, alcool, goudrons, mercure, amiante, etc. A l’issue de son enquête, portant sur 4000 cancéreux dans toutes les régions de France, en Espagne, en Israël et au Luxembourg, il constate que le cancer n'est pas nécessairement un élément étranger au malade mais au contraire est développé par l'individu, particulièrement lorsque le terrain affectif des malades a été sérieusement perturbé (décès familiaux ou de proches, conflits familiaux, enfance malheureuse). Selon Moirot, le « cancérisable » est plutôt un sujet qui a mal réagi au stress de son enfance et qui a acquis une tendance à l'autodestruction. 

Pour Moirot, le mécanisme de la cancérisation est clair: un stress conditionne le sujet en le rendant assez fragile, un stress final aliénateur arrive sans crier gare et conduit à un état dépressif. Une somatisation plus ou moins rapide se développe entre 6 et 7 mois, mais un seul stress grave peut aussi être cancérigène. 

HAMER ET LA LOI D’AIRAIN DU CANCER

« J'avais cherché le cancer dans la cellule, et je l'ai trouvé dans une erreur du codage du cerveau » 

dit le Dr Geerd Hamer, cancérologue de Cologne en Allemagne, qui a lui-même développé un cancer après la mort tragique de son fils. Après de longues recherches effectuées sur lui-même et sur des centaines de patients dont il s'est occupé en tant que chef de service interne dans plusieurs cliniques universitaires, il a pu établir que tout cancer débute par un choc psychique brutal, un conflit dramatique vécu dans l'isolement. Les milliers de cas qu'il a examinés l'ont amené à formuler ce qu'il a appelé La Loi d'Airain du cancer. 

« La teneur objective du conflit, c'est-à-dire la manière dont le patient le ressent, détermine à la fois la localisation du cancer dans l'organisme et celle de la rupture de champ, du court-circuit qui se produit au niveau du cerveau ».

Selon lui, il y a donc corrélation exacte entre l'évolution du conflit et celle du cancer dans l'organisme. Cette théorie a déclenché en Allemagne de violentes polémiques de la part de la médecine classique, mais nombre de médecins ont pu vérifier l'exactitude de ces observations sur des scanners du cerveau. 

voir "Hamer avait raison" ?


LABORIT, GRODDECK, GUILLE 

Henri Laborit a démontré, à la fois sur l'homme et sur l'animal, que la somatisation en maladie est le produit d'un conflit psychologique, comme l'avait déjà fait le Dr W-G Groddeck dès 1917. 

En 1993, des chercheurs de l'Université de Yale ont recensé un nombre considérable de travaux mettant en évidence les interactions entre l'état de l'esprit et celui du corps et qui confirment les thèses de Hamer sur les « métastases » du cancer qui ne seraient qu'un deuxième cancer provoqué par le stress d'un intense conflit de dévalorisation, dans le cas du cancer des os, par exemple. Ainsi, indiscutablement, le stress affecte le fonctionnement du système immunitaire

Etienne Guillé va jusqu’à comparer cette maladie de notre civilisation, comme toute maladie grave, à une « œuvre au noir » alchimique et, pour lui, on ne peut en guérir que par un changement de niveau de conscience, en cessant de s'identifier au corps physique. 

Toutefois, on sait qu’un stress « bien géré » n'est pas destructeur. Une étude, publiée, en 1993, par le British Médical Journal montre qu'il n'y a pas de corrélation entre stress et espérance de vie lorsque l’on a une existence sociale satisfaisante, des amis, une vie de famille riche, etc. .. Les contacts sociaux atténuent les effets du stress sur l'organisme, et l'isolement social est nettement corrélé à des taux élevés de mortalité. 

DU DOGMATISME DES CANCEROLOGUES 

En juin 1986, au cours d'une conférence de presse, le Dr Pierre Solignac avouait qu'il s'était souvent heurté aux critiques de ses confrères, certains étant allés jusqu'à déposer des plaintes contre lui auprès de l'Ordre des médecins. Il participa un jour à une émission en direct à la radio avec l'un des plus éminents cancérologues français qui ne croyait ni à l'immunothérapie, ni à la psychologie et encore moins aux capacités d'autodéfense de l'organisme en matière de cancer. Un de ceux qui, sûrs de leur savoir (qu'ils font tout pour se réserver), sont décidés «usque ad cadaver» à ne pas changer d'avis (et perdre la face).   

« Ce débat a été dramatique. A tel point que ce cancérologue a refusé de me répondre et que cette émission en direct a dû être interrompue. Il ne pouvait pas supporter la contradiction en public. Il y a donc bien une opposition farouche des cancérologues en France, je l'ai moi-même vécue ».

Dr Pierre Solignac

LA PREUVE PAR L’AFFAIRE BELJANSKI

Le fait que ceux qui soutenaient Jacques Crozemarie (scandale de L’ARC) n'ont jamais été rayés du conseil de l'Ordre ni mis en examen, est symptomatique de ce que la communauté scientifique française défend avant tout des positions en accord avec le « système ».

Dans ces conditions, le rapport de force entre malade et médecine officielle, de bonne foi ou pas, n’a rien d’une vue de l’esprit. L’intérêt du malade face à la dictature des experts inféodés aux lobbies pharmaco-industriels (l’IGAS : inspection générale des affaires sociales, a épinglé l’Institut Gustave-Roussy sur ses pratiques qualifiées « d’usine »), s'efface derrière les plaintes d'un conseil de l'ordre qui poursuit et fait condamner tous ceux qui osent utiliser des thérapeutiques non agréées par lui. L’Affaire Beljanski illustre, oh combien, ces abus. 

Pourquoi ce système, qui se pare de l’attribut scientifique, est il incapable de s’interroger, de se remettre en cause face à des médications efficaces et moins dangereuses que celles qu’il vante ? 
Il est important de répéter que nombre de médicaments interdits en France sont légalement utilisés à l'étranger sans aucun constat de toxicité et pour le plus grand bien des patients. 
Un malade condamné à brève échéance par la médecine officielle, qui est encore en vie et en bon état, des années plus tard, doit il être considéré comme un délinquant, un élément nuisible à la bonne tenue de la société ? 

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D
<br /> Merci d'avoir pris la peine de me répondre, mon mari a été fumeur, moi également (presque 2 paquets par jour, chacun) mais nous avons arrêté il y a 6 ans maintenant et notre fils a arrêté<br /> immédiatement dès qu'il a su pour lui...<br /> Je voudrais vous laisser mon adresse email mais pas en plein forum<br /> on m'a déjà dit ce que vous m'avez dit au sujet de relations affectives, mais je cherche et je ne trouve pas.<br /> Mon mari et moi sommes mariés depuis 35 ans, et dès le début de notre mariage, les problèmes de santé ont commencé de tous côtés, notre premier fils était constemment malade (maladie d'enfants,<br /> mais c'était continuellement) et puis les maladie de plus en plus importantes sont arrivées à partir du 1er décembre 1994, jour ou mon mari a commencé une terrible dépression nerveuse et s'est<br /> retrouvé plusieurs fois en milieu hospitalier psychiatriques, j'ai tenu jusque 2000 et à partir du 11/09/2000 je n'ose vous dire tout ce qui est arrivé, la liste est longue, très longue.<br /> Nous n'avons pas eu que des cancers, les cancers sont les dernières maladies. j'ai vraiment peur pour la suite<br /> Merci de me lire et de me répondre comment je peux donner mon adresse email<br /> Bonne fin de soirée<br /> <br /> <br />
M
<br /> <br /> Tous ce que vous écrivez sur le blog doit d'abord être validé par moi seul avant d'être publié. Vous pouvez donc tranquillement indiquer votre adresse mail, celle-ci ne sera pas publiée.<br /> <br /> <br /> Vous pouvez aussi me l'envoyer à l'adresse suivante : motarcs@orange.fr<br /> <br /> <br /> Cordialement<br /> <br /> <br /> <br />
D
<br /> Merci pour votre réponse, je l'ai lue très vite, si vous pouviez me donner des précision encore plus claires. Sachez qu'il y a 4 ans c'était moi, cancer au sei, il y a deux ans, mon fils (un<br /> testicule) et deux ans après mon mari (donc en ce moment) les poumons.<br /> Je me demande donc comment cela peut il se faire, nous avons une alimentation très équilibrée, et prenons des compléments alimentaires quand nous en avons besoin, tel la gelée royale, etc....<br /> Je suis désepérée<br /> Cordialement<br /> <br /> <br />
M
<br /> <br /> Madame,<br /> <br /> <br /> Je comprends votre désarroi devant "l'avalanche" de vos problèmes respectifs....<br /> <br /> <br /> Tout d'abord, je ne peux que vous renvoyer dans un premier temps à la lecture plus attentive de ma précédente réponse concernant les facteurs environnementaux affectifs dans le déclanchement des<br /> processus cancéreux et vous reconseiller la lecture du livre de Jacques Martel.<br /> <br /> <br /> Lorsque l'on fait la synthèse des 3 sortes de cancer dont vous me parlez il y a FORCEMENT un problème relationnel/affectif dans votre famille (qu'il soit identifié ou non) :<br /> <br /> <br /> ce n'est pas un hasard que vous ayez développé un cancer du sein et votre fils un cancer du testicule !<br /> <br /> <br /> Pour ce qui est du cancer du poumon de votre mari vous ne me dites pas s'il fume ou a fumé (de façon active ou passive, ou est, ou a été dans un environnement propice) ???<br /> <br /> <br /> Une alimentation a beau être "équilibrée".... si elle est faite à partir d"ingrédients pollués....<br /> <br /> <br /> Vous répondre de façon plus précise serait trop long dans le cadre des commentaires de ce blog. Je vous demanderai donc de bien vouloir m'indiquer une adresse mail que je puisse vous répondre<br /> directement.<br /> <br /> <br /> D'avance merci<br /> <br /> <br /> Très cordialement<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br />
D
<br /> je viens de lire tous vos articles sur chimiothérapie, mon mari est en pleine chimio (cancer du poumon)<br /> Il est vrai que tout est détruit au niveau des cellules, mon mari a des maux partout,<br /> Personnellement j'ai très peur.......<br /> <br /> Mais y a t-il un autre moyen de traiter le cancer, vous dénigrez, mais vous ne proposez rien....<br /> <br /> J'aimerais savoir s'il existe autre chose<br /> Merci de me répondre<br /> Cordialement<br /> <br /> <br />
M
<br /> <br /> Bonjour,<br /> <br /> <br /> Tout d'abord, ce blog est en pleine construction et de nombreux articles sont en cours de rédaction. Vous soulignez à juste titre que je dénigre plus que je ne propose. Je me permettrai de<br /> rajouter : pour l'instant !<br /> <br /> <br /> Je publierai prochainement des pages consacrées aux pathologies les plus courantes, y compris le cancer.<br /> <br /> <br /> Il faut savoir, que sauf pour quelques maladies "bénignes", il n'existe pas vraiment de remèdes "standard" applicables par tous ceux qui sont susceptibles de lire ce blog.<br /> <br /> <br /> Lorsque l'on recherche des remèdes NATURELS pour des pathologies graves, il est incontournable de COMMENCER par s'intéresser au mode de vie et d'alimentation de la personne en question, ainsi que<br /> de son environnement affectif et s'il y a lieu professionnel.<br /> <br /> <br /> Dans tous phénomène de cancérisation, lorsque l'on retrace "l'historique de vie" du malade on se rend compte qu'à un moment donné ou un autre, on trouvera un stress profond (soit brutal comme<br /> perte d'un être cher ou d'un emploi), soit plus léger et continu (anvironnemental : mésentente -avouée ou non- avec le/la conjoint(e), ou harcèlement professionnel, par ex.)<br /> <br /> <br /> Un livre extrêmement intéressant sur l'aspect affectif des maladies : "Le Grand dictionnaire des malaises et des maladies" de Jacques Martel<br /> <br /> <br /> Pour ce qui est des causes physiques et environnementales, votre mari fume-t-il ?<br /> <br /> <br /> Un cancer n'a jamais une seule et unique cause, mais c'est un ensemble de facteurs qui se seront additionnés.<br /> <br /> <br /> Sachez que la première consultation chez un naturopathe dure en moyenne 2 heures voire plus. Les remèdes proposés ensuite seront donc parfaitement adaptés à tous points de vue, surtout aux<br /> possibilités assimilatoires et éliminatoires de la personne.<br /> <br /> <br /> Il existe des remèdes relativement simples, sous réserve DANS TOUS LES CAS, de respecter la procédure décrite brièvement ci-dessus, qui consiste A RECHERCHER LES CAUSES ET LES ELIMINER en<br /> modifiant son hygiène de vie et alimentaire. Ceci est absolument indispensable pour éviter "une rechute" !<br /> <br /> <br /> La prise de bromélaïne à haute dose, et différentes "cures", la plus connue étant celle du Docteur GERSON : voyez par exemple ici :<br /> <br /> <br /> http://www.editions-tredaniel.com/cure-anti-cancer-gerson-kelley-p-3744.html<br /> <br /> <br /> Voir aussi ici :<br /> <br /> <br /> http://www.arsitra.org/yacs/articles/view.php/959/a-propos-du-docteur-hamer-long-mais-tres-edifiant-.-programme-de-jean-jacques-crevecoeur<br /> <br /> <br /> Voyez aussi les articles du Docteur HAMER (qui a été incarcéré pour exercice illégal de la médicne, car il GUERISSAIT plus de 85% de ses patients avec des moyens "non conventionnels")<br /> <br /> <br /> Sachez d'autre part, que je n'ai LEGALEMENT AUCUN DROIT, sous peine de risquer prison et amende de vous "conseiller" de ne pas faire la thérapie (chimio ou autre) proposée par vos médecins<br /> allopathiques. Et de remplacer celle-ci par "autre chose".... même (et surtout)  si cette "autre chose" sera efficace<br /> <br /> <br /> Ceci relève du libre arbitre de chacun.<br /> <br /> <br /> Ceci dit, pour entendre "un autre son de cloche", je peux par contre vous conseiller de rendre visite à un naturopathe qui pourra vous fournir tous les renseignements sur les thérapies dites<br /> "alternatives" que vous pouvez souhaiter et qui dans ce cas seront parfaitement adaptés à votre cas.<br /> <br /> <br /> Très cordialement<br /> <br /> <br /> <br />