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Le blog de l'information alternative et de la santé naturelle

Les prémisses de l'histoire de la médecine

1 Novembre 2010 , Rédigé par motarcs Publié dans #Medecines, Recherches, Ethique

Les prémices de l'histoire de la médecine

Le concept de "thérapie d'information, biophysique" (dorénavant TIB) est une nouvelle création et part du principe que tous les processus vitaux de l'organisme sont de nature biophysique et qu'ils sont contrôlés à travers la diffusion permanente d'information. Derrière cela se trouve l'idée que la matière ne représente qu'un (petit) aspect partiel de la réalité (selon une constante naturelle il ne s'agit en fait que d'un milliardième). Pour pouvoir effectuer une description complète il faut donc nécessairement tenir en compte l'aspect énergétique qui d'après C. Rubia (Prix Nobel en 1984) est supérieur à la Matière et détermine sa structure.

Étant donné que la lumière peut être perçue comme une onde ou comme un corpuscule (quantum), la réalité peut être vue aussi bien du point de vue matériel (mesures, poids, etc...) que du point de vue énergétique (sous forme de modèle holographique d'interférence d'ondes).

A l'échelle atomique il y a déjà un champ (électrique) qui appartient à chaque particule élémentaire chargée. Lors de réactions chimiques ce sont ces champs qui réagissent en premier lieu entre eux, et non les particules. Cela signifie que la formation ou la décomposition de structures matérielles est un processus purement biophysique qui est par conséquent nommé accouplement de champs. Les déplacements d'énergie qui sont ici nécessaires proviennent de l'absorption (ou émission) de photons ou quanta d'énergie. C'est-à-dire que ce sont eux qui déclenchent les processus chimiques. Ils sont également dotés de la grande vitesse qui est nécessaire (le taux d'impulsion est de 109 Hz).

Chaque structure matérielle, de même le corps humain, peut être considérée comme un système oscillatoire de composition complexe qui est né de l'interférence avec les innombrables fréquences individuelles des atomes et des molécules et qui est absolument spécifique au type et à la composition de la structure en question.

Il est à noter que, même dans le cas de la matière inerte (par ex. les métaux), ces champs complexes peuvent présenter un important degré d'ordre, ce qui se traduit au niveau des structures correspondantes par des absorptions électro-microscopiques. L'organisme vivant modifie cet ordre selon ses besoins. Dans le cas d'une inflammation aigüe, on parlera d'un chaos déterministe (vu qu'il s'agit d'une réaction thérapeutique ponctuelle), et dans le cas d'un tissus sain, d'un ordre dynamique. Le degré d'ordre détermine simultanément la faculté d'adaptation aux stimuli de l'environnement; la capacité d'une régulation métabolique rapide étant ici décisive.

A ce stade il faut cependant procéder à une claire mise au point. Avant tout existe le champ et non la matière! La matière doit être considérée comme une fonction du champ. Elle ne cesse de se désagréger (en énergie, à savoir en photons) et de se reformer de la même manière sur la base d'un champ stable. Les quanta énergétiques à action réciproque (bosons W et Z) sont supérieurs à la matière (voir C. Rubia). Le champ oscillatoire est spécifique, tout à fait

individuel et ne peut donc faire l'objet d'aucune équivoque quant à la structure matérielle correspondante.

Déjà dans les années 20, les premiers chercheurs -probablement inspirés par les nouvelles connaissances d'Einstein eurent l'idée d'étudier de plus près l'aspect énergétique de l'être humain. Outre des noms tels que Abrams, Rife et W. Reich, qui doivent ici être mentionnés, les travaux les plus connus sont ceux de Lakhovsky et du russe A. Gurwitsch qui découvrit vers 1930 que certaines propriétés des organismes vivants pouvaient être transmises par voie électromagnétique. Il réalisait ses expériences au moyen de cultures bactériennes, dont les caractéristiques virulentes pouvaient être transmises à travers le verre quartzeux, le verre servant toutefois d'écran antiparasite.

Ces premières expériences réussies ont motivé une intense activité d'investigation et ont servi de base pour les travaux ultérieurs de F.A. Popp portant sur les biophotons. La photographie de Kirlian démontre également de façon indirecte que l'organisme irradie des champs qui peuvent modifier certains états fonctionnels lorsqu'ils font eux-mêmes l'objet d'une modification. Cela peut être le résultat d'influences ambiantes ou encore la conséquence d'une thérapie.

La compréhension de ces phénomènes n'a cependant eu lieu qu'avec les calculs du physicien allemand B. Heim et de l'autrichien W. Dröscher (Théorie Générale Approfondie des Champs Quantiques), ainsi que les travaux expérimentaux du physicien suisse J. Muheim (+1997).

C'est au biophysicien W. Ludwig que l'on doit la simplification de ces résultats, difficilement compréhensibles pour le profane (entre autres dans diverses publications et dans son livre "TIS - Thérapie d'Information Systématique", Editions Spitta 1994), qu'il a par ailleurs complétés dans le cadre de ses propres recherches (mesures spectroscopiques).

De plus, il existe dans le monde entier des résultats d'investigation significatifs qui ont en partie introduit des idées complètement nouvelles quant aux organismes vivants, entre autres celles de W. R. Adey, de Del Giudice et de C. W. Smith. Il a été prouvé qu'en raison de leur rapidité (l'organisme comptabilise près de 1018 réactions chimiques/seconde!) les processus de contrôle de l'organisme ne peuvent être que de nature énergétique, que l'eau de notre corps est capable de stocker des informations, qu'à l'état d'excitation l'ADN entre dans des états dits exciplexiques et qu'il agit au seuil du laser, que notre système nerveux présente un modèle holographique qui se forme par l'interférence de rayons maser (voir "Modèle de Fonctions

Neuronales"), que les modifications tissulaires peuvent uniquement avoir lieu lors de la reprogrammation du champ énergétique conducteur correspondant etc. ... .

Il a fallu fondamentalement réviser le concept de matière. La stabilité apparente de cette dernière est uniquement garantie tant que les champs effectifs ne sont pas soumis à des changements. Les particules sont elles- même éphémères et clairement instables. Selon Sheldrake la matière est uniquement une concentration de faisceaux d'énergie qui se forme au niveau des points d'intersection.

Jusqu'à la définition des fondements de la physique quantique, la stabilité apparente de la matière avait induit les scientifiques à supposer durant plusieurs siècles que tout notre univers était incontestablement régi par des lois mécaniques (d'après I. Newton). Il est regrettable que les lois mécaniques linéaires aient également été appliquées à l'être humain, car les processus fonctionnels, sujets au temps ont ainsi été perdus de vue. Ce n'est qu'avec Einstein que ce dogme a perdu du terrain. Les sciences naturelles et la médecine s'en tiennent malheureusement aujourd'hui encore à des idées dépassées.

Indépendamment de l'esprit du siècle manifestement scientifique, tout au long de l'histoire universelle des médecins et d'autres guérisseurs ont acquis empiriquement des connaissances qui leur ont permis d'effectuer des traitements au moyen de vibrations électromagnétiques.

Cela fut avant tout le cas de la très ancienne thérapie basée sur l'utilisation du magnétisme et des pierres précieuses, grâce à laquelle il était possible de faire disparaître la douleur et de guérir des maladies en appliquant des aimants ou certains cristaux sur les parties du corps à traiter. D'autre part on utilisa également très tôt les couleurs, sous forme de tissus de couleur ou encore de poudres colorées, et plus tard sous forme de radiation de couleur en direction de certains points précis du corps (photothérapie). Les sons ont eux aussi recouvert une certaine importance en médecine. Il en était d'ailleurs déjà question dans la Bible.

 

Idée de base de la thérapie

L'idée de base (contrairement à la médecine traditionnelle) réside dans le fait que les symptômes d'une maladie sont les signes visibles d'une réaction de guérison provoquée par le système immunitaire afin que l'organisme puisse se libérer d'un gros fardeau (par exemple, d'un virus envahissant). Les maladies chroniques apparaissent lorsque le processus de guérison cesse, dû à l'épuisement du système immunitaire. Pour cette raison, les symptômes ne doivent être combattus (arguments à l'encontre de la médecine traditionnelle), l'organisme devant plutôt être aidé tandis qu'il travaille à se défendre.

Le siège de la maladie n'est pas la cellule d'un organe mais bien le tissu conjonctif qui l'entoure et qui exerce une fonction de nourrice, désigné selon A. Pischinger sous le nom de "matrice" ou de "système de régularisation de base". Un fardeau de stress constant produit des interruptions du fonctionnement dus aux blocages des circuits cybernétiques régulateurs.

Le flot d'information s'en trouve perturbé, la charge potentielle est diminuée ou annulée, une déficience de l'ATP survient, les biorythmes deviennent chaotiques, une hyperacidité avec fermentation se produit, en bref, l'homéostasie est sérieusement en déséquilibre.

L'effet de la TIB repose, selon le niveau de connaissances actuel, sur les principes fondamentaux suivants:

Chaque oscillation modulaire représente une information. Que celle-ci soit utile ou non à l'organisme est déterminé par le contenu de l'information, qui entre autre, devrait avoir un effet régulateur sur les tissus. De façon générale, pour que l'information produise un effet sur l'organisme, l'oscillation correspondante doit pénétrer l'organisme. Cependant, ceci est vrai uniquement lorsqu'elle peut passer par la "fenêtre de Adey", qui selon W.R. Adey, ne se produit qu'à une certaine fréquence (le contenu de l'information) et une intensité déterminée (faible). L'organisme comporte plusieurs de ces fenêtres. L'organisme transmet ses informations dans une marge d'énergie extrêmement basses, c'est-à-dire, à très basse amplitude.

En d'autres mots, pour que se produise l'effet thérapeutique désiré, avant tout une résonance (littéralement: résonner ou "accompagner l'oscillation" dû à une excitation) doit avoir lieu suivant le passage par la fenêtre de Adey. À travers l'interférence (superposition d'oscillations) des phénomènes d'amplification ou de d'affaiblissement peuvent se produire, créant un modèle d'énergie nouveau (supérieur) du tissu correspondant, condition préalable pour qu'aillent lieu les processus de régénération et permettant d'augmenter l'activité anabolique du métabolisme. Cette nouvelle (!) et complexe information peut être vue comme

l'élan de guérison provenant de l'extérieur (TIB exogène) et dont les propriétés régulatrices (ou de réorganisation) peuvent ainsi régénérer des zones affaiblies de l'organisme être ou appuyer les fonctions nécessaires du système immunitaire. Les patients dont le système de défense est affaibli sont, de préférence, traités par la TIB exogène.

Toutefois, ceci n'explique pas encore l'effet thérapeutique causé par les propres oscillations du corps.

Pour mieux comprendre ceci, il est nécessaire de souligner les propriétés énergétiques des tissus. Les cellules des tissus présentent habituellement un potentiel de charge de 70 à 90 mV avec une séquence de dépolarisation et de polarisation (décharge et charge) rapide. En cas de maladie, on assiste premièrement à une diminution de cette charge jusqu'à la dépolarisation de longue durée de sections complètes de tissus, attribuable à des facteurs multiples, ce qui provoque des problèmes de métabolismes sérieux (manque d'énergie, désintoxication des cellules interrompue, transformation des substrats diminuée).

À ces changements précèdent la restructuration du champs supérieur correspondant, lequel, en comparaison avec les tissus normaux, présente une fluctuation moindre au niveau des oscillations (augmentation de la fréquence due à l'absorption d'énergie, diminution due à l'émission d'énergie), mais une augmentation de fréquences rigides. Ceci entraîne une diminution de la capacité d'adaptation aux irritations extérieures (rigidité de régularisation croissante) intensifiant le risque de maladie. L'organisme a la propriété de s'habituer à des changements de longue durée et de les considérer normaux, c'est pourquoi des infections chroniques peuvent demeurer "dormantes" puisque le corps les tolère. Seul un "signal d'alarme" peut réveiller système immunitaire.

La TIB endogène saisit les signaux électromagnétiques à travers les électrodes de la peau directement des tissus atteints, et les conduit vers l'équipement TIB, où le spectrum de fréquence peut être modifié de façon déterminée (selon le type d'équipement). Le signal thérapeutique, dans le cas de maladies chroniques, est guidé vers un endroit sain, le thymus par exemple, où l'homéostasie est perturbée (ordre dynamique dans les tissus produit par les rythmes) de façon persistante selon les principes mentionnés ci-dessus puisqu'il s'agit d'un signal d'alarme. L'organisme se défend immédiatement, en réagissant contre l'irritation (contre-régularisation).

 

Oscillation électromagnétique pathologique (TIB)

Homéostasie

(Tissus sains)

Homéostasie perturbée

Contre-régularisation

(Impulsion curative)

Cette contre-oscillation produite par les tissus sains est diffusée dans tout le corps en moins de millième de secondes, mais la résonance n'est percutée que contre les tissus atteints, à cause de la similitude nécessaire et fonctionne alors comme impulsion curative, le patient ne ressentant qu'une réaction à cet endroit.

Cette impulsion curative est l'information requise par le système de défense qui est appelé à réagir à cet effet en produisant cette réaction curative. Autrement dit, pour que la TIB produise ses effets à même les fréquences du corps, un système immunitaire intact fonctionnant comme partenaire est nécessaire.

Le signal du corps peut, dans certaines indications déterminées (maladies graves, niveau de toxines élevé), être ramené à l'inverse (déphasage de 180.) directement au tissu atteint. Il s'ensuit toutefois, non une extinction des fréquences pathologiques par interférence, mais un éloignement de celles-ci, produisant ainsi un signal d'alarme local qui provoque les mêmes réactions immunitaires décrites ci-dessus en réponse à l'irritation.

Les chinois en développant l'acuponcture, empruntèrent un autre chemin dans l'application pratique de la transmission d'information. Les phénomènes que l'on peut observer sont les mêmes que ceux de la TIB, cependant, ils sont beaucoup plus difficile à expliquer bien que le substrat morphologique de l'acuponcture ait été déchiffré entre temps. La piqûre de l'aiguille libère des biophotons et de toute évidence, divers niveaux d'information qui se relient entre

eux pour produire un signal d'avertissement.

Pendant Voll développait l'électro-acuponcture durant les années cinquante, on put démontrer que les impulsions électriques peuvent influer sur le flot d'information dans les méridiens. De plus, l'électro-acuponcture selon Voll permit pour la première fois de tester des médicaments.

De là prit réellement son essor la recherche empirique car il fut démontré que la valeur déterminée d'un médicament change même lorsqu'on ne fait que le tenir dans la main. Ceci établit clairement qu'un médicament émet des oscillations que le corps peut enregistrer et auxquelles il peut répondre (réaction à l'irritation). C.W. Smith découvrit au cours de ses recherches que l'effet curatif d'un médicament représente une information d'oscillations électromagnétiques pouvant se transmettre par voie électronique, c'est-à-dire non par voir matérielle.

 

http://www.bit-org.de/francais/index.html

Diffusé sur www.arsitra.org - (c) 2002

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