Les statines soignent les labos, pas le cholestérol !
Jusqu’à présent tout était simple: contre le cholestérol, il y avait les statines, efficaces, sûres et sans danger. Mais voilà que de gros soupçons pèsent désormais sur cette panacée... L’affaire du cholestérol prend alors les allures d’un « thriller reality » avec blouses blanches, gros sous et macchabées.
Mais à qui profite le crime?
Le pitch pour le client à la statine est le suivant: le mauvais cholestérol (nom de code LDL-C), on en a toujours trop: il encrasse les artères et à force (et plus on en a), ça les bouche. Alors on risque l’infarctus ou l’AVC, un jour ou l’autre. On ne le sent pas venir car la « maladie » évolue silencieusement pendant des années, mais elle tue vite (quasi sur le coup) dans 50 % des cas ou laisse des séquelles irréversibles.
Heureusement on a les statines : Un médicament miraculeux qui désincruste le LDL-C.
Le mieux? Commencer dès à présent son traitement. En prévention. C’est plus sûr !
Les maladies cardio-vasculaires pèsent lourd. Première cause de mortalité dans le monde; en France les affections cardio-vasculaires représentent 180 000 décès par an (soit 32 % des décès totaux). Le marché hexagonal des hypocholestérolémiants (99 % de statines) touche entre 5,5 et 7 millions de personnes. Soit 1 personne sur 4 au-dessus de 40 ans. Une manne pour l’industrie pharmaceutique.
Au top 10 du classement prévisionnel des dix médicaments les plus vendus dans le monde en 2010’, on trouve deux statines: Lipitor/Tahor® (atorvastatine) des laboratoires Pfizer, et Crestor’ (rosuvastatine) des laboratoires AstraZeneca. Lipitor’/Tahor®, qui occupe la première place du classement mondial, est une statine « incontournable » qui devrait réaliser un chiffre d’affaires mondial de 11,7 milliards de dollars en 2010, mais il perdra son brevet en novembre 2011 aux Etats-Unis. Crestor arrive en dixième position avec un chiffre d’affaires prévisionnel pour 2010 de 5,8 milliards de dollars. Mais grâce à l’obtention d’un élargissement de ses indications approuvées par la FDA (Food and Drug Administration) en février 2010, il est fort probable de retrouver cette statine mieux placée dans le top 10 du classement prévisionnel des médicaments les plus vendus dans le monde. La tendance du marché de la statine vise à l’élargissement des indications. Traiter plus de personnes. De préférence celles en bonne santé et au long cours.
De la statine au McDo?
Pour que la manne ne se tarisse pas en même temps que les brevets tombent dans le domaine public, « on » œuvre pour la libéralisation de la statine. La Grande-Bretagne est le premier pays à avoir sauté le pas de la vente libre avec la simvastatine à 10 mg depuis juillet 2004; les États-Unis ont refusé cette demande pour deux statines en 2000.
En France, statu quo: le rapport remis par l’ancien directeur général de la santé, le Professeur Joël Ménard, à Philippe Douste-Blazy alors ministre de la Santé est toujours en haut de la pile.
Et si pour contrecarrer les effets de la malbouffe, on distribuait un comprimé de statine avec le Big-Cheese-Burger-mayo-milkshake? Une idée anglaise, toute fraîche d’août 2010. Une étude en double aveugle (hamburger + statine versus hamburger) réalisée par des «chercheurs » britanniques montre que « avec » c’est mieux. Marketing et lobbying, les deux mamelles d’une industrie pharmaceutique en panne d’innovation?
Voix dissidentes
Pour faire baisser le cholestérol, c’est la panacée. Selon le dosage et la molécule, on peut tabler sur une diminution du cholestérol de 30 à 60 %. Pour mourir moins, ce n’est pas sûr.
À l’encontre de la pensée scientifique dominante qui accorde un rôle central au cholestérol dans la maladie cardio-vasculaire, des chercheurs dissidents pensent différemment. Pour faire court, ils arguent que le cholestérol n’est pour rien dans l’affaire des artères qui se bouchent. Que le faire baisser artificiellement ne sert à rien, que les statines n’ont donc aucune ou peu d’utilité pour lutter contre le risque d’infarctus. Mais que surtout, elles comportent des effets secondaires qui n’ont pas été évalués correctement.
Des farfelus? Non, des scientifiques, des cardiologues, des biochimistes, des chirurgiens... Un certain nombre d’entre eux font partie de THINCS (The International Network of Cholesterol Skeptics)²
Bases fumeuses
Comment expliquer des positions radicalement opposées sur un phénomène qui semble a priori simple? Sur quoi les sceptiques de THINCS se basent-ils pour dénoncer la théorie bien installée du cholestérol? D’abord, il faut dire que la physiopathologie de l’athérosclérose et les mécanismes de la thrombose sont extrêmement complexes, et plurifactoriels. Là-dessus, il y a consensus. Aussi, lorsque les maladies cardio-vasculaires ont été décrétées fléau national aux États-Unis après la guerre, nombre de scientifiques ont travaillé sur des hypothèses différentes. La théorie du cholestérol était loin d’être prépondérante car on ne parvenait pas à démontrer qu’en diminuant le cholestérol on sauvait des vies. Elle ne l’est devenue qu’à partir de 1996- 1998, avec l’arrivée des statines sur le marché. Pas sur la base de son argumentaire scientifique, mais bien parce qu’elle présentait des avantages économiques considérables. On avait des agro-industriels de l’oléagineux avec des margarines à vendre, une innovation technologique simple pour doser le cholestérol sanguin (LDL et HDL), des nouveaux médicaments hypocholestérolémiants dont les essais disent qu’ils sont formidables, et une corrélation statistique entre un taux de cholestérol élevé chez les hommes américains de moins de 50 ans et une mortalité cardiovasculaire augmentée.
Études opaques
La mise sur le marché des statines révolutionne l’approche de la recherche sur la maladie cardiovasculaire. Normal, les labos subodorent la poule aux œufs d’or. Pour asseoir la théorie du cholestérol, on s’appuie sur des études d’envergure probante. Ces magnifiques essais cliniques posent toutefois un problème: le manque de transparence. Michel de Lorgeril et d’autres scientifiques ont décortiqué les données accessibles de plusieurs dizaines de ces études, et ils se sont aperçus que beaucoup étaient biaisées, tronquées, voire manipulées. Ils posent très clairement le problème de la validité scientifique de ces études qui évaluent des médicaments dont le bénéfice n’est pas démontré, et dont les effets secondaires n’ont pas été évalués (ou ont été minimisés).
L’affaire Vioxx® (un anti-inflammatoire) en 2004 et celle de l’Advendia’ (un antidiabétique) en août 2010 montrent que la ligne rouge est largement franchie. Avec le Vioxx, les sponsors et les investigateurs ont volontairement caché l’ampleur des complications, une mortalité cardiovasculaire multipliée par 4 — excusez du peu! — pour obtenir la mise sur le marché. La confiance n’est plus de mise: il serait temps de vérifier les données confidentielles des essais sur les statines. Et plus particulièrement ceux menés avant 2005, date à partir de laquelle les règles sur les essais se sont durcies (plus de groupes non déclarés, plus d’arrêt prématuré, publication des résultats obligatoire...). On note d’ailleurs qu’à partir de cette date, les résultats sont nettement moins concluants. Par exemple début 2008, sur l’étude ENHANCE qui tentait de prouver l’efficacité des statines dans le traitement de l’hypercholestérolémie familiale (HF), la FDA a obligé les deux laboratoires cosponsors à publier les données en leur possession. Ils tardaient à les faire paraître, et pour cause: le Vytorin (une association de deux molécules) ne montrait pas de diminution des lésions dans les artères, malgré une importante diminution du cholestérol.
Résultats d’autopsies
Dès 1950, un expert de renommée internationale dans le domaine des lipoprotéines, le Dr John Gofman de l’université de Californie, écrivait dans le journal de référence Science: « Certains assurent que le cholestérol sanguin est significativement élevé chez une majorité de patients atteints d’athérosclérose, alors que d’autres le contestent avec vigueur. On peut dire avec certitude qu’un nombre considérable de personnes souffrant des conséquences de l’athérosclérose ont des taux de cholestérol sanguin normaux. » Les études d’autopsies vont dans le même sens: les personnes dont le cholestérol est élevé ne présentent pas des artères plus bouchées que celles dont le taux est bas ou « normal ». De nombreux pathologistes ont fait cette constatation, mais l’un d’entre eux mérite une attention particulière, il s’agit du chirurgien cardiaque Michael De Bakey, l’un des premiers à avoir pratiqué le pontage aorto-coronarien aux États-Unis. Ce grand chirurgien déclarait lors d’une conférence de presse en 1987 que le cholestérol n’est pas la cause centrale de l’athérosclérose, et que les personnes dont le taux de cholestérol est bas ont autant de risque que les autres d’être victimes d’athérosclérose. Des observations d’autant plus crédibles qu’elles sont le fruit d’une observation clinique portant sur 15000 patients et sur 1400 opérations.
« Pro » contre « anti »
Depuis plus de 15 ans, les « pro » statines ont la mainmise sur le discours officiel et les règles de bonnes pratiques édictées par les sociétés savantes. À tel point que le taux de cholestérol déclaré comme « normal » descend toujours plus bas et qu’un médecin convaincu par sa pratique de l’inefficacité des statines est presque obligé de les prescrire pour dégager sa responsabilité médicale, Il devient urgent que le débat s’engage pour rétablir une liberté de soins.
Notes
1. Classement prévisionnel établi par Thomson Reuters.
http://www.pharmactua.com/2010/classement-2010-de-la-dynamique-mondiale-des-15-premieres-classes-therapeutiques-en-valeur-sur-5-ans/
2. www.thincs.org
Vin rouge avec modération et thé vert sans compter
Pour ceux qui apprécient le vin, il est couramment admis qu’un à deux verres par jour pour les femmes et deux à trois pour les hommes sont bénéfiques pour le système cardio-vasculaire. Pour le cancer, il y o débat (certains cancérologues avancent qu’au-dessus de zéro, c’est déjà trop) !
En tout cas pour le cœur, ce sont surtout les "rouges" qu’il faudrait privilégier. Riches en polyphénols issus de la macération du « jus » avec la peau, ils sont semble-t-il plus efficaces. Le vin est un produit complexe qui mêle alcool et des centaines de composants qui agissent en synergie sur l’agrégation des plaquettes, sur la neutralisation des radicaux libres... Sur la brèche du french paradoxe, quelques équipes cherchent le meilleur cépage, les composants les plus protecteurs du breuvage. Cependant, attention, le vin c’est aussi de l’alcool et il faut compter avec des disparités individuelles quant à sa tolérance. Un équipement peu performant en enzymes hépatiques dégradant l’alcool (comme c’est le cas pour 10 % de la population asiatique), risque de ne pas produire les bénéfices escomptés.
En revanche, pour les déjà adeptes des sushis parties, pas de contre-indication concernant le thé vert, Il existe même une très forte présomption quant à la protection sur les artères. il semblerait que le thé vert aide les cellules de la paroi des vaisseaux sanguins à sécréter une substance nécessaire pour détendre les vaisseaux et permettre une meilleure circulation du sang(1). Au Japon, on consomme traditionnellement le thé vert matcha (une poudre de thé vert) dont la richesse en ECGC (épigallocatéchine galiote, principal polyphénol du thé vert cent fois plus présent que dans d’autres thés) est une des composantes alimentaires de la bonne santé cardiaque (2).
1 Éiude du Dr Nikoloos Alexopoulos et ses cdlègues du premier département de cardiologie de l’École de médecine d’Athènes publiée dans la revue European Journal of Cardiovascular Prevention and Readaptation.
2. Widlansky M. E. et al, Acute EGCG supplementation reverses endothelial dysfunction in patients with coronary artery disease , Journal of ihe American College cf Nutrition, 2007, vol. 26, n° 2, 95-102.
Michel de Lorgeril : Les statines ne servent à rien
Cardiologue, spécialisé depuis trente ans dans la prévention des maladies cardio-vasculaires, Michel de Lorgeril est « anti » sur toute la ligne. Il préconise de ne pas se préoccuper du cholestérol, de jeter sa statine à la poubelle et surtout de changer ses habitudes de vie.
Si ce n’est pas le cholestérol, qu’est-ce qui bouche les artères?
Michel de Lorgeril: Ce qu’on appelle athérosclérose est un mécanisme lent et progressif pratiquement jamais total, et donc jamais responsable de l’infarctus. Il consiste en un rétrécissement de l’artère. II répond à deux mécanismes: pour 70 %, c’est une fibrose chronique (la sclérose) et ressemble de ce point de vue à une sorte de tumeur bénigne (type fibrome de l’utérus) et pour 30 % environ, il s’agit d’une accumulation de lipides variés (acides gras, triglycérides, phospholipides) parmi lesquels le cholestérol ne représente au maximum que 30 % du total. Au final le cholestérol ne pèse que 10 % du total du matériel obstructif. Il faut noter qu’on peut avoir beaucoup de cholestérol dans le sang et pas de plaque, et des plaques à profusion avec un taux de cholestérol bas. Et pour aller plus loin, qu’on peut faire un infarctus en ayant peu d’athérosclérose, et avoir les artères très endommagées et éviter l’infarctus toute sa vie.
Alors on meurt de quoi? Comment survient l’infarctus?
L’infarctus du myocarde, dans 99 % des cas, fait suite à la formation d’un caillot de sang, le thrombus dans l’artère. Ce thrombus est parfois le résultat d’une rupture de plaque d’athérosclérose qui passe d’un état stable à un état instable. On ne comprend pas encore parfaitement les mécanismes de cette phase de déstabilisation qui entraîne la rupture de la plaque, mais il s’agit d’une sorte d’inflammation interne dans laquelle le cholestérol ne joue aucun rôle — le cholestérol n’étant pas un médiateur de l’inflammation. Certains enzymes leucocytaires (on les appelle des métalloprotéinases) seraient également impliqués, mais à nouveau le cholestérol ne joue aucun rôle régulateur sur ces enzymes.
Quid des statines dans tout cela?
Non seulement elles ne servent à rien, mais en plus sont délétères. D’abord parce qu’un taux de cholestérol bas est corrélé à une espérance de vie diminuée par rapport à ceux qui ont un cholestérol dit normal ou modérément élevé, ensuite parce que le médicament est toxique en lui-même. Mais ses effets « indésirables » sont volontairement mal documentés, et ce ne sont pas les labos qui vont le faire! On a remarqué une mortalité par cancer nettement plus élevée dans les groupes traités aux statines. On sait qu’il peut y avoir une atteinte hépatique — avec augmentation des ALAT et des ASAT, des enzymes hépatiques ; il semble exister une majoration modérée du risque de survenue d’un diabète de type 2 : on parle aussi de toxicité pour les neurones et d’accélération du déclin intellectuel lié au vieillissement... Bref un tas de trucs pas très bons si l’on veut vivre longtemps. Mais l’effet le plus courant est la toxicité musculaire, avec douleurs et fatigue. Selon les experts sponsorisés, elle touche moins d’un patient pour 1000, mais dans la vraie vie, en consultation ambulatoire, près d’un patient sur deux s’en plaint. Cette toxicité musculaire a de graves conséquences, car elle dissuade de pratiquer un exercice musculaire significatif qui pourrait être crucial, voire salvateur dans certaines conditions cliniques, notamment dans le diabète, l’insuffisance cardiaque et après un infarctus du myocarde.
Un scoop?
C’est certainement la publication fin juin 2010, dans Archives of international medecine, d’un article’ critique concernant Jupiter, le plus grand essai clinique jamais réalisé pour justifier la prescription de médicaments anti cholestérol. Il est important de retenir que nous sommes neuf coauteurs², que nos arguments ont été lus, relus et examinés par un comité éditorial composé de médecins et de scientifiques américains avant que ne soit donné l’accord pour la publication. Le « JAMA » est LA référence scientifique en médecine, l’organe officiel d’une sorte de Conseil de l’Ordre des médecins américains, et donc indépendant (en principe) financièrement du lobby pharmaceutique. Normalement, un vrai débat devrait s’ouvrir... À suivre.
Inutile, même dans les cas extrêmes
C‘est un euphémisme de souligner que la position totalement antistatines du cardiologue Michel de Lorgeril ne fait pas l’unanimité dans le monde de la cardiologie intoxiqué (1) par le discours des labos.
Mais parmi les scientifiques spécialisés en nutrition, beaucoup ont des vues plus nuancées sur le cholestérol : ils sont de plus en plus nombreux en France à reconnaître que la statine n’est pas utile dans bon nombre de cas, et que le « régime » est largement supérieur.
En revanche, sur les cas dits d’hypercholestérolémie familiale (HF), ceux où le cholestérol peut monter au-dessus de 3, 4, 5 g/l, aucun ne lâchera la prescription de la statine.
Pour le Dr Michel de Lorgeril, même dans ces cas extrêmes, la statine n’est pas utile. Il se fonde, entre autres, sur l’étude ENHANCE (la plus grande étude sur HF, intima-média et statines à ce jour) qui n’a montré aucun effet sur la mortalité cardio- vasculaire significative malgré une diminution de 50 % du cholestérol.
Explication de Michel de Lorgeril: « Il s’agit d’une anomalie du métabolisme des lipides, pas forcément du cholestérol. L’organisme produit des lipides, mais n'est pas capable de les recycler par manque de récepteurs. Les lipides se déposent partout (tendons, oreillettes, tissus sous-cutanés...). Dans les artères aussi, mais les dépôts ne sont pas des plaques typiques d’athérome, il n ‘y a pas de fibrose. La statine bloque la production endogène de cholestérol, mais ne permet pas pour autant d’éliminer les lipides qui vont s’accumuler de toute façon. La solution, elle existe: il s’agit de la plasmaphérèse (2). »
1. Plusieurs sources indiquent qu’il est constaté un taux de décès inquiétant parmi les cardiologues, à mettre en relation avec la pratique généralisée de prise de statine à titre préventif dans cette corporation.
2. La plasmaphérèse est une méthode de purification sanguine extracorporelle qui permet de soustraire des macromolécules nocives. Elle dure environ deux heures et consiste à retirer le sang du malade puis à lui restituer ses propres globules rouges dans un autre produit appelé produit de substitution d’origine humaine, constitué par un plasma de donneur. Généralement, le traitement nécessite plusieurs séances.
Article paru dans la revue Nexus 72 de janvier 2011
Il convient donc, ici dans le domaine du cholestérol, mais aussi dans toutes les autres "pathologies" chroniques fabriquées sur mesure par big-pharma, ex. : hypertension et diablte) et dont les "remèdes" sont sensés nous protéger "sans problèmes" (au moins pour la plupart d'entre nous : c'est bien connu les problèmes c'est pour les autres ....) si les effets indésirables sont vraimant aussi rare que les notices le laissent entendre.....
Car enfin, n'est-il pas plus simple, et surtout infiniment moins dangeureux de modifier dans le bon sens les comportements qui ont contribués à fabriquer notre cholestérol (ou autre) ??? Car dans ce cas la liste des effets secondaires est tout simplement vide .....
Le choix devrait être vite fait ... Encore faut-il en être informé. Et là ne comptez par sur la majorité des médecins, ils ne le sont pas eux-mêmes, et de plus ils n'ont rien à gagner à ce que vous soyez en bonne santé .... sans leur "aide" ......!