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Le blog de l'information alternative et de la santé naturelle

Que savons-nous sur les ondes qui nous entourent ?

18 Août 2016 , Rédigé par motarcs Publié dans #Environnement, #pollutions, #climat, #Medecines, #Recherches, #Ethique

J'ai complété et "remanié" cet article que certains d'entre vous avaient du mal de visualiser.

Les images indiquées dans l'article se trouvent dans l'ordre en bas de page.

______________________________

Ces ondes se subdivisent en deux catégories principales :

Les ondes électromagnétiques naturelles qui nous concernent sont de diverses origines et nous n'avons que relativement peu d'influence sur elles.

Il s'agit, pour les plus importantes, du rayonnement cosmique, solaire, et tellurique.

Certaines de ces ondes peuvent être nocives, le fait qu'elles soient naturelles n'est pas, comme pour tout chose une garantie d'innocuité ! Ce sujet sera abordé par la suite séparément.

Les ondes électromagnétiques artificielles, fabriquées par les activités humaines.

Elles sont produites par de plus en plus d'appareils dans notre environnement immédiat ou non, ce qui fait que nous baignons en permanence dans une espèce de bouillie qui se compose pour les plus importantes : toutes les émissions de Télévision et de Radio, les communications radio des avions, bateaux, radars d'aéroports, téléphones fixes et mobiles, tout ce qui tourne autour des ordinateurs, tablettes, à savoir Wi-fi, Bluetooth, les écrans et claviers d'ordinateurs et de télévision, les « fours » à micro-ondes, jusqu'aux installations électriques 220 volts de nos maisons, sans compter les fils à basse, moyenne et haute-tension qui pendent entre les pylônes dans la campagne et les villes. Sans oublier les voitures modernes, qui sont truffées d'électronique, bluetooth, GPS et autres gadgets... A noter que s'il y a 4 passagers dans une voiture qui ont chacun leur téléphone portable en poche, ou pire, dans un autocar avec une cinquantaine de passagers qui ont chacun un téléphone portable en poche ou dans le sac à main.... la « dose » de rayonnements est loin d'être négligeable !

Il existe deux sortes de courants électriques : le courant continu, et le courant alternatif. Le courant continu est généralement à basse tension, comme celui des batteries des voitures qui fait 12 volts. Le courant y circule toujours dans le même sens. A noter que tout courant électrique produit deux champs, un champ électrique et un champ magnétique. Dans le cas du courant continu, les champs magnétiques et électriques sont donc toujours présents.

Dans le cas du courant alternatif, c'est celui du secteur de nos réseaux électriques. Dans ce cas, lorsque l'on établit le courant, en allumant une ampoule par exemple, le courant va partir de zéro volt, monter progressivement à +220 volts, puis au même rythme redescendre vers O volt, puis continuer en dessous de zéro pour devenir négatif, de nouveau jusqu'à -220 volts, puis revenir à zéro, pour immédiatement recommencer le même cycle aussi longtemps que le courant est établi dans le circuit. Ce petit « jeu » se fait 50 fois par secondes. On dit que le courant 220 volts de notre secteur est alternatif à 50 cycles, ou périodes, ou Hertz.

Dans ce cas, si l'on dessine sur un graphique la forme d'onde obtenue on obtient ceci :

IMAGE 1 en fin d'article)

En y et en rouge et verticalement, on a la tension +/- 220 volts, en z et en vert, et horizontalement on a le champ magnétique ; on dit qu'il est déphasé de 90°, et en x (flèche c) on a la fréquence en Hertz (50 Hz), donc la vitesse a laquelle la tension change de sens (de polarité).

Le tracé obtenu lors des variations de tension font un tracé sinusoïdal. C'est sur ce principe que fonctionnait notre télévision analogique. Depuis que nous avons passé à la TNT (numérique), la forme du courant est devenue rectangulaire, et de plus ce sont des « paquets » ou « trains » d'ondes rectangulaires et irréguliers qui sont transmis.

Depuis peu de temps on redécouvre une caractéristique des ondes que Nicolas Tesla connaissait déjà, ce sont les ondes circulaires, dites scalaires : IMAGE 2 en fin d'article

Champ électrique : IMAGE 3

Champ magnétique : IMAGE 4

Avant de passer aux inconvénients, pour ne pas dire aux dangers de notre « bain » d'ondes permanent, il sera intéressant d'expliquer comment on peut influencer les cellules vivantes avec les ondes scalaires.

Cette démonstration est tirée d'une conférence du Professeur Konstantin Meyl donnée dans le cadre d’un congrès de Quantique Planète à Reims.

Le Professeur Meyl travaille en collaboration avec le Professeur Luc Montagnier. Ce dernier s'était associé avec Bruno ROBERT, ancien collaborateur et successeur des travaux de Jacques Benveniste, en vue de faire des recherches sur la détection d'agents infectieux grâce aux signaux électromagnétiques qu'ils émettent.

Ces deux chercheurs ont constaté dans leurs travaux que l'ADN entre en résonance avec une onde électromagnétique scalaire (onde à propagation longitudinale).

Dans la figure suivante, il y a dans la sphère émettrice des cellules cancéreuses mortes, et dans les deux sphères réceptrices, des cellules cancéreuses encore vivantes.

Il y a eu une émission de 9 minutes depuis l'émetteur vers les récepteurs

Après 12 heures, toutes les cellules étaient mortes.

Image 5 In the German Cancer Research Center

Une autre expérience effectuée au Centre anti-cancer de Madrid :

Au départ, 3 millions de cellules cancéreuses cancéreuses dans le récepteur, et dans l'éprouvette de référence non traitée. Des cellules cancéreuses mourantes dans l'émetteur.

Émission avec une puissance de 50 milliwatts, après 10 minutes il ne reste plus que 0,7 millions de cellules cancéreuses, après 24 heures, zéro. Les cellules mourantes ont tuée toutes les cellules cancéreuses. Dans l'éprouvette de contrôle il restait encore 1,3 millions après 24 heures.

Image 6 Spain : Cancer Center Madrid

Dans la chimie organique, on trouve toujours ce genre de structure hexagonale.

Par exemple dans l'anneau de benzène avec 6 atomes, les électrons se déplacent autour de l'anneau, ce qui produit un champ magnétique.

Image 7 Ring Antennas

Dans le cas de l'ADN, les protéines des bases de l'ADN ont aussi cette structure hexagonale.

Image 8 DNA Double helix

Les champs électrique et magnétique dans la structure en double hélice de l'ADN vus en 3 dimensions.

Les structures hexagonales des protéines des bases se trouvent tout le long de la double hélice.

Le champ électrique est modulé par tous les électrons en mouvement. Le champ magnétique B se déplace à la vitesse v = 140 000 km/s.

Image 9 Field distribution in the double helix

Les protéines de la chaîne d'ADN s'enroulent alternativement à gauche, puis à droite et ainsi de suite.Ce qui permet de calculer la longueur d'onde chez l'humain qui correspond à celle de l'ultra-violet.

Image 10 Wavelength of the DNA Wave

Image 11 Frequency of the DNA Wave

La fréquence de résonance de l'ADN est très proche de celle des micro-ondes, du wi-fi et des téléphones portables ...

La longueur d'onde de résonance de « l'antenne » formée par chaque brin d'ADN est située dans la bande de fréquence de l'infra-rouge …. origine de la chaleur corporelle !

Image 12 Wave Length of the DNA Wave

Image 13 Schematic drawing of the orders

Voici sur une échelle de fréquence / Longueurs d'ondes associées les emplacements des :

  • Biophotons dans la bande des UV
  • La fréquence de résonance de l'eau (qui constitue environ 70% de notre organisme et baigne tous nos organes!)
  • La « fenêtre biologique » fréquence de résonance de l'ADN

Image 14 : Frequency Diagram of transverse and longitudinal waves

En résumé :

  1. Les orbites d'électrons délocalisés sont émis par l'antenne d'émission
  2. Les antennes de réception dans nos cellules reçoivent, mémorisent et émettent
  3. Ces orbites d'électrons en rotation génèrent un champ magnétique
  4. Les champs magnétiques produisent de l'énergie et transportent des informations modulées
  5. Cette communication biologique se fait sans fil par champ magnétique
  6. Le vecteur du champ magnétique est perpendiculaire à celui du champ électrique
  7. Le vecteur du champ électrique oscille au rythme de l'information
  8. La modulation capturée est transportée sur une onde porteuse à haute fréquence
  9. Le transport de l'oscillation est possible sur de longues distances.

Image 15 : Consequences

Toute cette démonstration nous fait prendre conscience que l'ensemble de notre organisme, composé, faut-il le rappeler, au départ par des cellules souches, qui par différentiation, se sont finalement assemblées pour former les différents tissus qui sont les « briques » de nos divers organes. Ces cellules qui composent tous nos organes sont sans exception composées d'atomes. Or, qui dit atome dit énergie. Et quand on parle d'énergie, au niveau de l'atome on passe forcément par l'électron …. et ses caractéristiques …. électr...iques !

Et dans ces caractéristiques électriques nous ne pouvons pas occulter les champs électriques et magnétiques que la circulation de ces électrons engendre.

Nous avons dans les expériences décrites le plus simplement possible ici par le Pr Konstantin MEYL, la démonstration de ce qui est une évidence absolue : TOUTE CELLULE VIVANTE, placée dans un champ électrique, magnétique ou électromagnétique REAGIT à ce champ ! Les expériences qui sont décrites ici se sont déroulées jusqu'ici IN-VITRO. Le prochain stade ce sera de les valider in-vivo !

L'évidence décrite au paragraphe précédent remet donc en question toute la « civilisation multimédia » actuelle. Comme une substance peut transmettre ses propriétés (nocives ou curatives) avec le SEUL SUPPORT d'ondes modulées en conséquences, il est impérieux (et inévitable) de se poser la question de l'effet cumulé de tout le magma d'ondes dans lequel nous baignons en permanence.

Car à la place de « l'empreinte » d'un médicament ou d'une cellule malade ou saine, nous émettons en permanence des quantités quasi illimitées d'informations numérisées de toute sortes via nos technologies « modernes ». Comment réagissent nos cellules, donc notre organisme, à court, moyen et long terme ?

Pour nous faire une petite idée de ce que sont les « trains » d'ondes numérisés, en voici une description la plus simple possible.

Tout d'abord, un tableau qui nous indique, par plages de fréquences et de longueurs d'ondes, dans quel domaine se situent ces émissions.

Image 16 : Tableau plages de fréquences

Voici un tableau des fréquences utilisées parles diverses normes Wi-fi :

Image 17 : Tableau diverses normes Wi-fi

Diverses formes de signaux peuvent être possibles.

En fait il y en a deux groupes principaux, les signaux analogiques et les signaux numériques.

Les premiers qui étaient utilisés depuis les tous débuts de la radio-diffusion, puis de la télévision analogique, ont atteint leurs limites en terme de quantité d'informations à transmettre simultanément, ce qui limitait le nombre d'émetteurs possibles dans les bandes de fréquences disponibles (et non « extensibles »!).

Il a donc fallu trouver un autre système « d'encodage », de façon à ce que sur la place occupée par un ancien canal de télévision analogique on en transmet facilement plusieurs à la fois avec une qualité d'image quasi parfaite.

Ceci a été obtenu par la numérisation des signaux analogiques. Petite ironie les sons transmis depuis un microphone même via une émission de radio ou de télévision numérique, sont toujours analogiques à la source (le microphone), et à l'écoute (le haut-parleur) pour permettre à s'adapter aux sens humains....

Pour mieux préciser les choses aux personnes non spécialistes, voici la forme (très simplifiée) du signal que l'on recueille aux bornes d'un microphone, ou à l'autre extrémité, celui qui va actionner un haut-parleur.

On voit que la forme du signal varie de façon constante dans le temps et trace une courbe globalement sinusoïdale.

Image 18 : signal analogique

Ce signal a servi d'abord à moduler en amplitude un signal d'une fréquence dite « porteuse » beaucoup plus élevée (c'était le temps des grandes ondes, petites ondes et ondes courtes de la radiodiffusion.

Puis on s'est avisé que l'on pouvait conserver une amplitude de l'onde porteuse constante, mais que l'on modulait la fréquence de cette porteuse avec le signal de notre microphone. Ce qui faisait que la fréquence variait au rythme de notre signal du micro. C'était l'avènement de la modulation de fréquence (bande FM), toujours utilisée actuellement par nos émetteurs radio locaux ou nationaux.

Puis vint la numérisation ou l'on transforme notre signal analogique en une suite de 0 et de 1. Autrement dit, notre signal ne peut plus prendre que deux valeurs 0 volts ou le maximum de la tension permise par le système utilisé, dans l'exemple ci-dessus 1,5 volts. Pour pouvoir « reconstituer » la forme première de notre signal analogique (il le faudra pour actionner le haut-parleur), il faudra procéder à un échantillonnage très rapide et continu de ce signal.

Image 19 : La TNT signal numérique

On voit donc déjà de suite que la forme « lisse » de la courbe du signal analogique (celui qui est généré par un simple microphone par exemple, ou qui était produit par l'aiguille d'une tête de lecture de nos anciens disques 78, 45 et 33 tours vynil) du fait du « découpage » de la numérisation devient un signal en forme « d'escalier ».

Ensuite, il y a une masse énorme de valeurs de 0 et de 1 à transmettre en continu. Plus précisément et sans trop aller trop loin dans les détails, on les transmet par « paquets » selon un certain code de façon à pouvoir reconstituer à l'arrivée ce qui avait été envoyé par l'émetteur.

On se trouve donc en présence d'ondes qui ont des flancs raides (passages quasi instantanées, donc extrêmement rapides de 0 à 1 et inversement). Et ceci des milliards de fois par seconde !!! Que peuvent ressentir nos cellules, et plus loin notre ADN devant cette masse ininterrompue « d'informations » qui ne correspondent à rien d'utilisable pour notre organisme ?! Mais dont certaines composantes de ces paquets à très haute fréquences, seront modulées à des fréquences qui elles se retrouveront dans les « fenêtres » biologiques, soit autour des 2,3 à 2,8 Ghz, puis autour de l'infra-rouge et de l'ultra-violet ! Comment va-t-il réagir ?

Juste au-dessus des fréquences utilisées pour la télévision terrestre (la gamme UHF s'arrête au canal 69, soit environ 900 MHz (Mégahertz) on trouve ensuite la gamme de fréquences qui a été utilisée par les premiers téléphones mobiles (norme GSM) autour des 900 Mhz. Les téléphones mobiles ont ensuite accaparé la bande des 1800 Mhz, puis avec la 4G on va utiliser les bandes des 800 Mhz (il y a d'ailleurs des interférences avec la TNT qui émergent …), mais aussi les 2,6 Ghz, et là on est pile au milieu de la fenêtre biologique …. !!! (voir le début de l'article).

La grande diversité des fréquences (ou longueurs d'onde) utilisées par les applications « modernes » recouvrent forcément des fréquences propres à notre organisme. Les interférences qui se produisent lorsque les fréquences sont proches (un exemple que les plus anciens ont connu : les stations de radiodiffusion qui se recouvraient et se brouillaient mutuellement dans les émissions en ondes longues, moyennes ou courtes), ou lorsque la fréquence d'un émetteur est un multiple ou un sous-multiple de celui d'un autre émetteur voisin dans les zones géographiques qu'ils couvrent (dans ce cas on parle de fréquences harmoniques). Le même « parasitage » peut se produire entre un (voire plusieurs) émetteurs et nos organismes, sans que personne à ce jour, n'ait songé sérieusement à en étudier les conséquences. Les pouvoirs publics, en s'appuyant sur des « experts » dont l'impartialité peut très souvent être mise en doute (conflits d'intérêts), nous laissent entendre que : « en dessous d'un certain seuil -qu'ils fixent – il n'y a pas de danger avéré ». Problème : les dangers de ces radiations (même si elles ne sont pas à proprement parler ionisantes comme les rayons X et gamma par exemple) peuvent laisser des traces dans nos organismes qui ne montrent pas forcément tout de suite des symptômes, mais que des symptômes n'apparaissent que bien plus tard. Il est d'autres domaines où la même attitude engendre les mêmes effets (pollutions de toutes sortes, additifs alimentaires, médicaments, vaccinations).

Puisque nous sommes dans le domaine de la médecine, voyons ce qu'il en est des examens médicaux qui nous sont proposés soit en « prévention », soit en examen complémentaire ou d'urgence.

Tout le monde sait que les radiations ionisantes de substances radioactives (rayons X, gamma) des radiographies sont cancérigènes. Là aussi, la dose immédiatement « létale » (mortelle) ou simplement « dommageable » est éminemment variable d'un individu à l'autre. La aussi des « seuils » sont plus ou moins fixés par les autorités dites compétentes. Du fait de la diversité de réaction des sujets soumis à ces radiations il est déjà à mon point de vue difficilement concevable que le même seuil soit valable pour tout le monde. On prend là un risque bien mal calculé ! D'autre part, dans le cadre de ce que les autorités appellent « prévention », on invite les femmes à procéder régulièrement à des dépistages systématiques du cancer du sein via les mammographies. Là aussi, il y a beaucoup à dire sur le sujet qui ne plaide pas forcément en faveur de cette « prévention ». Un article spécifique de ce blog est consacré à ce sujet.

En complément de l'appareil de radiographie issu de la découverte d'un physicien allemand Wilhelm Röntgen, on utilise de plus en plus fréquemment un autre « engin », l'IRM et aussi le Scanner.

Le cas du scanner entre dans la même catégorie que la radiographie classique, puisqu'il utilise aussi les rayons X.

Le cas de l'IRM est un peu plus particulier et fait l'objet de nombreuses mauvaises interprétations quand à son mode de fonctionnement, donc soit à sa nocivité où soit à son éventuelle innocuité.

On entend dire (et on peut le lire), que l'IRM est sans danger car elle n'émet pas de rayonnements ionisants (cette absence d'émission de rayonnements ionisants est à peu près exacte, en tous cas comparativement aux radiographies qui utilisent les rayons X), parce qu'elle fonctionnerait avec des aimants permanents à courants continus .

Pour bien préciser les choses, toutes les radiations (quelles que soient leur nom et leur fréquence) situées au-dessus de l'Ultra-violet, sont de toutes manières cancérigènes.

Mais, j'en suis désolé, l'IRM, vu ce qui a été développé ci-dessus, est doublement nocive :

Même si l'appareil lui-même n'émet pas directement de rayons ionisants (X, gamma, etc.), on utilise souvent pour améliorer le contraste des images, un produit de contraste comme le Gadolinium, ou d'autres produits nettement moins recommandables en imagerie médicale nucléaire. Sous prétexte que le Gadolinium ne serait pas ionisant, on l'injecte en intraveineux. Inutile de commenter ce point d'avantage !

Pour son fonctionnement, l'IRM utilise des courants TRÈS INTENSES à haute fréquence dans des aimants en ferrite disposés autour du patient, et ces courants sont alternativement établis et coupés brutalement (ce qui fait le fort bruit de « marteau-pilon). Il y a donc là aussi, une onde électromagnétique « porteuse » de haute fréquence, « modulée » au rythme des coupures et rétablissements. Donc à très basse fréquence (LHF), ce qui situe ces derniers champs magnétiques LHF dans les sous-harmoniques de la gamme des basses fréquences de résonance du ….. cerveau (7,8 Hz) et de la plupart de nos organes vitaux......

Étant donné les puissances énormes mises en jeu, il est totalement mensonger et inconscient de prétendre que ce mode opératoire est « inoffensif ».

Il reste encore à parler de l’échographie, qui elle, utilise officiellement des "ultra-sons". Je précise ici que cette appellation est parfaitement fausse et mensongère. Les ultra-sons se situent immédiatement au-dessus de ce que l'oreille humaine est capable d'entendre, soit approximativement 15 à 20 kHz. Or les ondes radio commencent à environ 150 kHz (les anciennes Grandes ondes ou Ondes longues, dont l'émetteur de France Inter se situait à 164 kHz), et que la sonde, appliquée à l'endroit à visualiser est à la fois émetteur et récepteur dans une gamme de fréquences variables en fonction de ce qu'on veut visualiser. A titre d'exemple, pour des examens des seins (mammographie), thyroïde et tout ce qui est Ostéo-articulaire on se trouvera entre 10 et 18 Megaherz (soit dans les bandes dites des ondes radio dites "courtes", alors que pour un examen de l'abdomen, on utilisera une fréquence d'environ 3.75 à 5 MHz. Là aussi, les fréquences envoyées ne le sont pas en continu, mais elles sont envoyées en « salves », donc on retrouve des modulations à des fréquences beaucoup plus basses, qui elles, peuvent « recouvrir » des fréquences physiologiques, et qui pourraient interférer avec notre organisme (ou celui du fœtus, puisque l'échographie est surtout utilisée en gynécologie).

Parler "d'ultra-sons" dans le cas de m'échographie est un abus de langage destiné à rassurer le public, mais est TOTALEMENT MENSONGER puisque ces fréquences n'ont RIEN A VOIR AVEC LES ULTRA-SONS, MAIS SE SITUENT AU NIVEAU DES ONDES RADIO !!!

L'utilisation de tout cet arsenal « sans fil » qui utilise des fréquences alternatives, qu'elles soient à basse fréquence ou à très haute fréquence, est donc très loin d'être aussi anodine que les vendeurs des matériels qui les utilisent, que ce soit du multimédia (en soi, et d'un point de vue « vital », totalement inutile), ou du matériel médical, (dont l'utilisation peut aussi très souvent être sujette à caution....), veulent bien nous laisser croire.

Les vendeurs de ces matériels, que ce soit un téléphone mobile 4G dernier cri ou le dernier appareil IRM que l'hôpital du coin vient de mettre en service en s'endettant pour des années …. dettes que la Sécurité Sociale (c'est à dire nous tous) et nos Mutuelles complémentaires vont éponger directement, puisque l'amortissement de l'appareil est inclus dans le prix de chaque examen remboursé..... tous ces « protagonistes » ne pensent qu'en termes de rentabilité … sans penser une seconde aux conséquences possibles pour l'utilisateur (volontaire ou non) de leurs technologies.....quitte à lui mentir honteusement pour continuer à mieux s'engraisser sur son dos !

Que savons-nous sur les ondes qui nous entourent ?
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