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Le blog de l'information alternative et de la santé naturelle

Trois fausses vérités sur les vaccins … parmi beaucoup d’autres.

1 Décembre 2017 , Rédigé par motarcs Publié dans #Cancer, Sida, maladies diverses, #Medecines, Recherches, Ethique, #Géopolitique, économie, manipulations, #Vaccinations, #Ethique, #Medecines, #autisme, #maladies diverses

Dans maintenant très peu de temps, l'obligation vaccinale à 11 vaccins entrera en vigueur, décrétée par un gouvernement qui n'a cure des protestations qui se sont manifestées.

Le verrouillage idéologique et sectaire du lobby vaccinaliste finira par passer en force, dans un pays qui se prétend pourtant démocratique. A tous les arguments avancés, et qui posaient des questions scientifiquement parfaitement justifiées, on trouve toujours les mêmes réponses qui ne sont au mieux que l'expression d'une doctrine sectaire, pour ne pas dire de vulgaires mensonges.

Pourtant, ce sont les affirmations que l’on entend continuellement, et qui, à force d’être martelées sans cesse par les médias, finissent par passer pour des vérités, autant dans l’esprit de nombreux médecins que dans le public.

 

1. Les Vaccins sont "sûrs".

Tout médicament doit, pour obtenir l’autorisation de mise sur le marché (AMM), se soumettre à des études spécifiques : évaluation de l’absorption, de la diffusion, du métabolisme et de l’élimination. Or les vaccins échappent à ce type d’exigence, ce qui fait qu’on ignore ce que deviennent les ingrédients utilisés une fois administrés dans l’organisme, autant d’une personne saine qu’une personne présentant une ou plusieurs pathologies.

On peut lire sur le site du Vidal (base de données en ligne des prescripteurs médicaux), dans la rubrique pharmacocinétique, que l’évaluation des propriétés pharmacocinétiques n’est pas requise pour les vaccins ¹. On ne peut donc pas affirmer une quelconque absence de toxicité d’un produit si on n’en connaît pas le devenir dans l’organisme. Comment peut-on donc injecter dans le muscle profond d’un bébé des produits, et pas seulement l’aluminium, dont le devenir est totalement inconnu ?

Le rapport de mars 2017 du conseil scientifique de l’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des produits de santé) sur l’aluminium vaccinal,² montre que même à faible dose, les adjuvants aluminiques des vaccins peuvent induire une accumulation d’aluminium à long terme et des effets neurotoxiques. La toxicité de l’aluminium ne serait pas dépendante de la dose.

Même problème s’agissant de la cancérogenèse, de la tératogenèse (aptitude à créer des malformations in utero) à un moment où on envisage d’étendre largement les vaccinations grippe et coqueluche aux femmes enceintes, alors que leur état constituait une contre-indication depuis le décret du 28 février 1952. Pour l’année 2014, l’agence italienne du médicament a d’ailleurs classé les vaccins comme deuxième source d’effets secondaires derrière les médicaments anticancéreux³.

 

  1. Les vaccins sont efficaces

Qu’est ce qu’on entend par "efficacité des vaccins" ? Pour qu’on puisse prétendre qu’un vaccin est efficace, il faut qu’il permette de prévenir la maladie. Or, la capacité de prévention d’un vaccin n’est pas évaluée avant sa mise sur le marché. La seule présence d’anticorps est-elle suffisante pour espérer une efficacité clinique ? Sur le site du Vidal, concernant le vaccin contre la rougeole, les oreillons et la rubéole, on peut lire⁵ : "Bien qu’aucune donnée ne soit disponible concernant l’efficacité protectrice de Priorix®, l’immunogénicité est considérée comme une indication de l’efficacité protectrice".

Rappelons-nous le BCG : aucune donnée ne peut démontrer que la suspension de l’obligation vaccinale en France (comme dans les autres pays qui l’on abandonné) ait entraîné une augmentation de la tuberculose. Avec ou sans obligation, le nombre de cas de tuberculose n’a cessé de diminuer en France comme en Europe.

La Suède a interrompu l’usage du BCG dès 1975 de manière systématique à cause du nombre d’ostéomyélites constatés en 1973-74n soit 29 cas annuels/100 000 nourrissons.

La France en a suspendu l’obligation en juillet 2007, et l’incidence de la tuberculose continue de diminuer pour se chiffrer aujourd’hui à environ 4 500 cas annuels.

Les Pays-Bas et les Etats-Unis n’ont jamais pratiqué le BCG et ces derniers affichent les mêmes taux d’incidence que l’Europe.

Rappelons aussi que pour pouvoir prétendre qu'un vaccin a protégé quelqu'un, il faudrait pouvoir "revenir en arrière", c'est à dire prendre la même personne avant l'injection de ce vaccin et la suivre non vaccinée pendant un temps identique à celui de la période considérée dans le cas "vacciné", et voir si elle aurait été malade voire pis décédée de la maladie en question. De même, et dans l'autre sens, il faudrait pouvoir aussi revenir en arrière chez une personne ayant développé des troubles plus ou moins graves et jusqu'au décès, lorsqu'on soupçonne une vaccination d'en être au moins le déclencheur, et voir si sans vaccin elle aurait aussi développé ces mêmes troubles, ou non.

Or, ceci est RIGOUREUSEMENT IMPOSSIBLE.

Mais cette façon (purement théorique) de faire serait la seule qui permettrait de connaître réellement l'efficacité ou au contraire la toxicité éventuelle d'un vaccin. Comme l'organisme humain est ainsi fait qu'en fonction de sa capacité de résistance, les troubles n'apparaissent que tout à fait exceptionnellement tout de suite après une injection, les tenants de la vaccination ont beau jeu de réfuter "tout lien" entre le vaccin et les problèmes éventuels..... Peut-on être plus de mauvaise foi ?

 

  1. Les maladies ont été éradiquées grâce aux vaccins

C’est toujours ce refrain que l’on entend lorsqu’on émet le moindre doute sur la vaccination. C’est aussi ce credo, martelé par 200 "grands médecins" qui se sont positionnés en faveur de l’obligation vaccinale durant l’été 2017. L’exemple le plus fréquemment cité est celui de la variole. Il existe pourtant un rapport complet édité par l’OMS en 1980 dont le titre est l’Éradication mondiale de la variole. Rapport final de la commission mondiale pour la certification de l’éradication de la variole (Genève, décembe 1979). Ce rapport précise que malgré 90% de couverture vaccinale dans certains pays, la transmission de la variole se poursuivait, et mentionne qu’il a fallu changer de stratégie. Cette nouvelle stratégie, appelée surveillance-endiguement, permit de stopper la transmission.

Autres exemples d’inefficacité dramatique : dans les années 1930, la population de Manille a été vaccinée à 98%, résultat : 54% de décès. La deuxième plus grande île des Philippines (en surface et population), Mindanao, n’a pas été vaccinée et n’a dû déplorer que 11% de décès.

En Inde, l’OMS a lancé une vaccination de masse en 1962. A l’époque, on y comptait 55 000 cas de variole. Cette campagne fut arrêtée en 1967 à cause de ses conséquences catastrophiques : 85 000 cas de variole...

La "science" aujourd'hui est devenue un énorme business, qui ne recule devant aucune supercherie pour assurer et augmenter à l'infini ses profits. Rendre la population malade dès la naissance en détruisant son système immunitaire, puis en les maintenant malades avec des médications toxiques qui vont engendrer d'autres pathologies, le cercle vicieux est lancé dès le berceau.

Ce sera avec un recul de plusieurs décennies que l'on pourra assister à l'augmentation fulgurante de l'incidence des maladies neuro-dégénératives et autres induites par cette folie vaccinale.

Pour tenter d'y échapper, il faudra donc que chacun résiste activement à sa façon à cet empoisonnement de masse que constitue cette dictature.

Mise à jour du 06.12.2017

Quelques précisions indispensables sur les conditions dictatoriales qui ont permis le vote qui va rendre obligatoires ces 11 vaccins.

Le passage en force de cette loi, qui n’est justifiée par aucune menace sérieuse sur la santé publique, a été votée à 63 voix pour et 3 contre (sur 577 députés…), à l’encontre des conclusions de la concertation citoyenne (11), sans aucun débat de fond, le tout dans un silence médiatique absolu.

OU étaient les absents, soit 511 DEPUTES ABSENTS sur 577

et POURQUOI étaient-ils absents???

Ont-ils été "invités" à se porter aux abonnés absents, car "on" avait peur de ne pas pouvoir passer en force, ou préféraient-ils éviter de prendre position, connaissant les risques pour leur carrière ???

Les professions médicales parmi les députés ne se comptent qu’environ à 8%... Dans la mesure ou aucun de ceux-ci n’oserait très certainement contredire ouvertement Agnès Buzin et ses employeurs, cela ne serait pas suffisant pour obtenir une majorité...Mais n’oublions pas que la même Agnès Buzin, Ministre actuelle de la "Santé", prétend ouvertement qu’un expert en matière médicale et de vaccination, ne peut être compétant que s’il travaille pour les laboratoires pharmaceutiques. Difficile de faire pire comme sectarisme, lobbyisme et conspirationnisme, tares qu’elle attribue justement aux opposants....

Lors des débats à l’Assemblée, pourtant qualifiés de houleux selon les journalistes, et malgré le nombre restreint de participants (66 sur 577), la députée LREM Blandine Brocard (Rhône) a notamment défendu mordicus, en vain, un amendement de suppression. Assurant être «pro-vaccination », [Ndlr : il fallait quand même arrondir les angles pour ne pas se faire jeter immédiatement dans le camp des conspirationnistes], elle a jugé que «le calendrier ne permet pas effectivement de poser un débat serein » alors qu'il y a « une véritable défiance des Français ». « Si on veut favoriser, encourager la vaccination, ce n'est pas en passant par la contrainte », a-t-elle insisté, évoquant notamment des études sur « une possibilité de liens entre la vaccination et des pathologies». Cette juriste avait, début octobre, demandé publiquement un «moratoire» sur la mesure, dans le cadre d'une initiative avec des élus d'autres groupes. Cela lui avait valu un ferme rappel aux règles de prise de parole par président de groupe Richard Ferrand.

Le communiste Pierre Dharréville a, lui aussi, défendu un amendement de suppression, arguant du fait que la mesure «  risque de renforcer la défiance des Français » concernant la vaccination. Insistant sur le fait qu'il n'était pas «anti-vaccins », [ndlr : ben voyons] il s'est interrogé sur « la maîtrise de la puissance publique sur la distribution des vaccins face aux laboratoires pharmaceutiques » et a jugé qu'il n'y avait «pas de réponse satisfaisante sur les adjuvants aluminiques » et qu'il faudrait «poursuivre les recherches ». Le rapporteur, Olivier Véran (LREM), leur a notamment répondu que «le temps de la concertation » avait eu lieu, et a mis en avant «  une mesure de prévention de santé publique », alors que la couverture vaccinale s'est «  amoindrie » en France. «Donnons-nous plus de temps [...] et comptons les personnes qui tombent des suites de maladies infectieuses [...] et puis expliquons aux parents des enfants qui ne peuvent pas être vaccinés parce qu'ils ont des troubles immunitaires qu'on veut plus de temps pour réfléchir  », a ironisé ce neurologue hospitalier, appelant aussi à «  sortir du mythe des puissants lobbies qui nous guideraient  ». [ndlr : c’est précisément avec des arguments de ce type on ne peut plus stupides, que les vaccinalistes prétendent vouloir justifier leur point de vue, et que pour avoir un petit droit à la parole on ne peut plus symbolique, il faut d’entrée affirmer haut et fort ne pas être contre la vaccination.... dictature quand tu nous tiens].

En tous cas, QUELLE légitimité peut avoir une loi votée dans ces conditions parfaitement anti-démocratiques et digne de l’ex-URSS et de ses tristement célèbres goulags voire des pires dictatures sanguinaires ?

Il y a là une inquiétante dérive intégriste, car toute personne qui émet des réserves quant à notre façon de vacciner ou sur l’innocuité de certains vaccins par exemple, est très rapidement cataloguée comme antivaccinaliste pure et dure. Or les vaccinalistes, eux, prétendent sans pour autant l’argumenter autrement que par des mensonges (amplement prouvés et démontrés), que les vaccins sont efficaces, sûrs et qu’ils ont à eux seuls éradiqué les anciennes épidémies, ces vaccinalistes donc, ont une attitude qui est précisément celle qu’ils reprochent au "camp" d’en face, celle qui relève de la secte la plus extrémiste. Vous êtes médecin et osez émettre le moindre doute sur la religion vaccinale ? Craignez les foudres des mandarins de l’Ordre des Médecins.... Voyez les cas récents des Pr Luc Montagnier et Joyeux...Que vous soyez Professeur de biologie agrégé ou même prix Nobel de médecine, peu importe, vous serez mis au ban. Et pourtant, même en étant anti-vaccins purs et durs, ne serait-il pas plus scientifique d’écouter leurs arguments, au lieu de faire l’autruche ?

Voici quelques extraits d’un article intitulé "Vaccins, une nouvelle guerre de religion ?" et paru sur le site Energie-Santé, sous la plume de Jacques Dimitri, Psychonutritionniste et qui décrit très bien le mode de fonctionnement actuel de ceux qui sont sensés "nous protéger".... et ce que ce fonctionnement totalitaire engendre.

 

Qu’est-ce que la vérité scientifique ?

On veut nous faire croire que les scientifiques, hormis quelques brebis égarées, parlent d’une même voix des vaccins. Or, nous avons jusqu’ici très peu entendu les scientifiques s’exprimer à ce sujet. Je ne parle pas des porte-paroles des sociétés savantes, au discours convenu, ni de quelques médecins-journalistes dont l’omniprésence devient caricaturale. Je veux parler des chercheurs, des cliniciens chevronnés, de ceux qui font la science et qui la vivent, et qu’aucun des grands médias n’a invité à débattre. Dommage, car les scientifiques sont loin d’être unanimes sur la question vaccinale. La vérité, toujours relative en sciences du vivant, est très éloignée du conflit bipolaire imposé dans les médias. Par ailleurs, si le manifeste de 200 médecins en faveur de l’obligation vaccinale a été largement relayé, silence radio sur la pétition de 120 médecins qui refusent cette même obligation.(12)

Récemment, le président de l’Ordre des médecins menaçait de poursuites les praticiens qui relaieront des arguments contraires aux données acquises de la science. Rien que la formule fait frémir. N’est-il pas dans la nature de la science d’évoluer ? Toute découverte, toute innovation est par définition une remise en question de l’ordre établi. Par ailleurs, les consensus de soins varient d’un pays à l’autre, sans forcément de différence sur la santé des habitants. Ce sont les sociétés savantes, dont la frontière avec l’industrie pharmaceutique relève de l’illusion, qui décident ce qui est bien et ce qui ne l’est pas. Hors de l’église, point de salut. Il est facile de parler d’unanimité chez des professionnels de santé managés par la terreur. Pourtant, ça commence doucement à ruer dans les brancards.(13)(14)

Quand vous voyez des enfants en bonne santé devenir gravement malades juste après une vaccination, ou bien des nourrissons qui meurent, qu’il y a une explosion de ce genre de cas ces dernières années et qu’on vous répond qu’aucune étude ne démontre le lien, il n’y a bien que les experts pour ne pas s’interroger. Certes, corrélation n’est pas causalité. Sauf que certaines substances contenues dans certains vaccins sont reconnues, souvent depuis longtemps, pour leur toxicité. Tout bon clinicien saura faire le rapprochement. Curieusement, la notice du vaccin DTP commercialisé par Sanofi-Pasteur aux États-Unis mentionne la possibilité de mort subite du nourrisson ! Il existe aussi un énorme problème de pharmacovigilance, une majorité des accidents vaccinaux n’étant pas comptabilisés pour être englobés dans les études. Probablement pour ne pas fragiliser le mythe. Pendant ce temps, les familles ne sont pas écoutées, c’est une double peine que de voir son malheur non reconnu. Ce n’est pas au réel de s’adapter à notre façon de le percevoir, c’est plutôt l’inverse il me semble.

Au fond, en vertu de quoi les publications scientifiques constitueraient la seule source valable de vérité ? La science elle-même n’est qu’une vision du monde possible parmi d’autres. Les propos du sinologue Cyrille Javary résonnent encore en moi : « Pour un occidental, est vrai ce qui est prouvé. Pour un chinois, est vrai ce qui fonctionne. » Je suis persuadé que nous pouvons concilier les deux. Encore faudrait-il que la science respecte pleinement ses propres préceptes : la rigueur méthodologique, des expériences vérifiables et reproductibles, et surtout l’ouverture permanente à la révision, à l’opposé de tout dogmatisme. C’est le rédacteur en chef du Lancet, une des plus prestigieuses revues scientifiques internationales, qui le dit : « Une grande partie de la littérature scientifique, sans doute la moitié, pourrait être tout simplement fausse. Affligée d’études avec des échantillons réduits, d’effets infimes, d’analyses préliminaires invalides et de conflits d’intérêts flagrants, avec l’obsession de suivre les tendances d’importance douteuse à la mode, la science a pris un mauvais tournant. » Car si la science nous a sorti de l’obscurantisme, veillons à ce qu’elle ne nous y replonge pas.

Notre cerveau et nos certitudes

Alors que je m’attendais à rencontrer une rigueur scientifique implacable, j’ai été surpris par la pauvreté de l’argumentation des pro-vaccins les plus actifs. Vraisemblablement parce qu’ils sont persuadés détenir une vérité évidente, définitivement inscrite dans le patrimoine de l’humanité et que par conséquent, il est indécent d’oser leur demander des preuves. C’est exactement le principe de l’intégrisme religieux. A partir du moment où vous êtes réellement persuadé que les vaccins ont sauvé l’humanité, toute remise en question devient intolérable et doit être réprimée. Autrement dit, la liberté de chacun s’arrête là où commencent leurs certitudes. A l’opposé, j’ai recensé pas moins d’une quarantaine d’ouvrages critiques sur la vaccination, pour la seule langue française, écrits par des médecins, des chercheurs, des journalistes, des parents, lourdement documentés. A ce jour, je les ai quasiment tous lus. La plupart ne cherchent pas à imposer leur vision du monde, ils font part de leur réserve, de leurs doutes.

J’ai observé beaucoup plus de réactions de la part de la population pour le scandale du Levothyrox que pour l’obligation vaccinale qui est pourtant d’une toute autre ampleur. Le propagandiste Goebbels disait : « un mensonge répété dix fois reste un mensonge, répété dix mille fois il devient une vérité. » Nous sommes au pays de Pasteur et les vaccins nous ont sauvé. Même si les archives statistiques et les livres d’histoire de la santé nous livrent une version nettement plus nuancée. A un certain niveau de saturation de l’esprit, nous admettons une information comme vraie, il est inutile d’aller la vérifier ni de la remettre en question puisque toute le monde sait que c’est vrai. Elle fait partie du paysage sans que nous y prêtions attention.

Vous connaissez peut-être la célèbre expérience de Milgram : la soumission à une figure d’autorité associée à l’effet de groupe, conduit des individus à obéir aveuglément et à participer à des actes qu’ils réprouveraient en temps normal. Le génocide nazi n’aurait jamais pu être accompli sans la participation de nombreux citoyens, réduits à l’état de simples rouages dociles. C’est seulement bien après que le peuple allemand a pris conscience de ce à quoi il a participé. A l’inverse, nous portons tous en nous un très haut potentiel d’intelligence coopérative. Tout dépend des programmations qu’on va stimuler chez les individus.

La vaccination pratiquée actuellement joue à la roulette russe avec nos gènes.(15) On accepte implicitement d’en perdre quelques-uns au prétexte de protéger la majorité.(16) Une protection sujette à caution qui plus est. Éliminer les plus faibles, sélectionner les plus forts pour optimiser le patrimoine génétique d’un peuple, ça porte un nom, ça s’appelle l’eugénisme et c’était très pratiqué sous le IIIe Reich. La ministre Buzyn a dit que les français ont la mémoire courte. J’espère qu’elle se trompe.

Le mensonge et l’émotion comme base des choix de santé

La Ministre de la Santé a annoncé une explosion du nombre d’enfants morts par rougeole. Or, les statistiques de l’INVS, que tout le monde peut consulter, comptabilisent dix morts par rougeole ces dix dernières années, soit un mort par an. Parmi eux, huit étaient de jeunes adultes dont sept avec des pathologies lourdes qui constituent une contre-indication à la vaccination. On nous a passé en boucle l’histoire d’une adolescente décédée de la rougeole et non vaccinée. On en profite pour exiger la vaccination des nourrissons, alors que l’immunisation n’est que de quelques années et que la maladie se déplace vers l’enfance voire l’adolescence où elle est plus grave. Les chiffres montrent clairement le déplacement de l’âge des cas de rougeole en parallèle de l’augmentation de sa gravité. En revanche, peu de temps avant, un jeune homme est décédé dans des conditions similaires, il était vacciné, les médias n’ont pas relayé.

Voici le titre d’un de ces articles dont on nous bombarde actuellement : « Les anti-vaccins gagnent du terrain, la rougeole aussi. » Or, les Etats-Unis ont connu une épidémie de rougeole en dépit d’une très large couverture vaccinale, car jusqu’à la moitié des cas survenant chez des sujets vaccinés. Une étude de 2015, publiée dans la revue Pediatrics, conclut à une augmentation de l’incidence de la coqueluche en dépit d’une couverture vaccinale élevée et croissante, la plupart des cas apparaissant là aussi chez des enfants vaccinés.

Une légende tenace est l’éradication de la variole par les campagnes de vaccination, qui justifie historiquement la notion d’obligation vaccinale. Il y a eu une première campagne en Angleterre dans les années 1860, puis une seconde un siècle plus tard au niveau mondial pour s’attaquer aux derniers foyers. Les documents officiels de l’OMS, accessibles à tous, indiquent clairement que la disparition de la maladie est due pour l’essentiel aux mesures de dépistage-isolement et non à la vaccination. Mais personne n’en tient compte, pas même l’OMS ! A partir du moment où nous acceptons que la base d’un comportement collectif, faisant grief sur nos libertés, soit un événement fictif ou pour le moins fortement romancé, nous ne sommes plus en sciences mais en religion.

La recherche n’est pas libre

La mésaventure du Professeur Romain Gherardi (17) est tout à fait révélatrice de l’ambiance qui règne dans la communauté médicale et scientifique. Vous voyez un professeur sérieux et respecté de tous, découvrir une nouvelle maladie, la myofasciite à macrophages, en respectant toutes les étapes de la démarche scientifique. C’est une équipe de recherche entière qui a bossé sur ces travaux. Vous voyez ses confrères animés d’une grande curiosité, chacun essayant d’apporter sa pierre à l’édifice qui semble prometteur. Et puis c’est le drame : l’origine vaccinale de l’aluminium se confirme, on a beau refaire les expériences dans tous les sens, la vérité est têtue. Le verdict est sans appel : on lui ferme toutes les portes, il perd ses financements, on lui refuse l’accès aux revues scientifiques, il se fait lyncher dans plusieurs colloques médicaux, il perd ses amis les uns après les autres. En somme, quand le thermomètre ne donne pas la température escomptée, on casse le thermomètre, au nom de la science évidemment.

Tout récemment, les Professeurs Henri Joyeux et Luc Montagnier (ce dernier prix Nobel) ont "osé" émettre des doutes quant à l'utilité et l'innocuité des vaccins. Immédiatement, l'ordre des médecins, relayé par la meute médiatique à fustigé les "vieillards séniles" qui se permettent de "dériver" ainsi de la pensée unique bienséante. H.Joyeux est, depuis qu'il a demandé la réintroduction de l'ancien DTP (qu'il juge sûr et efficace ce qui est un autre problème), visé par une menace d'exclusion de l'Ordre, menace dont il aurait fait appel. Il faut bien se rendre compte que cette attitude des instances médicales et politiques de notre pays sont très exactement celles des pires pays totalitaires et dictatoriaux.

En 2014, il y a eu le scandale sanitaire du vaccin Meningitec, dont des lots défectueux ont été retirés du marché. Plus de 500 familles demeurent en procès dans cette affaire. Or, récemment, un laboratoire italien indépendant, spécialisé dans les nanotechnologies, a analysé un lot a priori sain du même Meningitect.(18) L’échantillon contenait des particules des métaux lourds en quantités importantes, ainsi que de nombreuses molécules toxiques non déclarées dans la composition, n’ayant vraisemblablement rien à faire dans un produit injectable. Partout ailleurs et pour beaucoup moins que ça, on aurait appliqué le principe de précaution, c’est à dire qu’en attendant d’en savoir davantage, on suspend la circulation du produit. Nous savons ce que ces substances provoquent dans l’organisme, nous constatons une explosion des cas de maladies liés à ces substances et au lieu d’augmenter lourdement la pharmacovigilance, nous étendons l’obligation vaccinale.

Des travaux scientifiques dont l’indépendance n’est pas assurée ne sauraient constituer la seule référence pour légiférer sur des sujets aussi sérieux que la santé publique. On va me dire que je fais du complotisme. C’est l’anathème à la mode pour discréditer ceux qui ont encore l’intelligence de relier A avec B. Ce n’est pourtant pas nouveau puisque la théorie du complot (Conspiracy Theory) fête ses 50 ans. Elle a été inventée par la CIA en 1967 pour couper court à tout débat lorsque des questions dérangeantes sont posées.

Aujourd’hui, les gens ont un accès direct à la connaissance

« Les vaccins, ça marche, ça fonctionne, ça a sauvé des centaines de millions de vie. Je regrette que la défiance envers les vaccins soit à ce point ancrée dans la population. » a martelé la ministre aux rencontres économiques d’Aix-en-Provence. J’ai l’impression qu’au contraire ce sont les dirigeants – et leurs cautions scientifiques – qui s’installent dans la défiance vis-à-vis du peuple au service duquel ils sont censés être. C’est évidemment très inquiétant pour notre démocratie sanitaire, pour notre démocratie tout court. Il y a de plus en plus de gens qui s’en rendent compte et qui sont en train de s’organiser.

Les gens ne sont pas mal informés, au contraire, nous sommes à l’ère des réseaux d’information qui permettent de rendre accessibles au plus grand nombre des travaux scientifiques de tous horizons et de toute la planète, qui en temps normal seraient restés dans la confidence. Il existe plusieurs bases de données scientifiques qui référencent des milliers d’études, il y a des chercheurs indépendants qui ont leur blog, il y a des groupes de réflexion. Ça devient du coup plus difficile de faire avaler n’importe quoi à la population, il ne suffit plus d’inviter à la télévision un type en blouse blanche qui va vous célébrer la messe, en vous disant en quoi il faut croire, en quoi il ne faut pas croire.

Dimitri Jacques Site web : www.dimitri-jacques.com

L'article intégral est ici : https://www.prevention-sante.eu/actus/vaccins-nouvelle-guerre-de-religion

Troisième mise à jour le 07/12/2017

Depuis plus d'une décennie, sous l'impulsion et la direction des Etats-Unis, de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et de l'Alliance GAVI, (GAVI pour «Global Alliance for Vaccines and Immunization» ou, en français, « l'Alliance Globale pour les Vaccins et l'Immunisation ») en partenariat avec l'industrie et la fondation Bill et Melinda Gates, la création d'un "ordre mondial sanitaire" se met en place. Le projet français d'extension des obligations vaccinales obéit donc aux étapes du plan "Global Health Security Agenda" que l'on voit s'actualiser au niveau mondial.

 

La course aux obligations vaccinales déclenchée par le scandale du ROR

En 2014, alors que l'OMS décide d'accélérer la mise en place du plan d'action mondial pour les vaccins (vaccination unverselle, priorité ROR et développement de nouveaux vaccins), William Thompson, un expert de l'agence de santé américaine (CDC : Centers for Disease Control and Prevention), confesse avoir été contraint de falsifier l'étude principale rejetant le lien entre l'autisme et le vaccin ROR - rougeole, oreillons, rubéole - (sujet du film Vaxxed, du Dr Andrew Wakefield). Le potentiel dévastateur de ces révélations déclenche alors une course effrénée entre les victimes qui tentent de dénoncer les dommages vaccinaux (près de 10 000 témoignages recueillis par l'avocat Robert Kennedy, neveu de l'ancien Président) et l'industrie qui cherche à sauver et imposer ses vaccins à tout prix.

La campagne "Alerte à la rougeole" démarre avec une épidémie qui débute à Disneyland en Californie en janvier 2015 et touche près de 600 cas. Bien que la vaccination ne se soit pas montrée bien efficace, puisque 86% des malades avaient reçu deux doses de vaccin, l'entière responsabilité fut quand même rejetée sur les non-vaccinés, conduisant finalement à la suppression des exemptions vaccinales.

Les vaccins se sont ensuite trouvés au coeur de la campagne présidentielle, puisque Hillary Clinton voulait étendre les obligations à tout le pays, mais Donald Trump exige une commission d'enquête sur les dommages vaccinaux, dont l'un de ses fils a été vctime. Trois jours avant les élections, Barack Obama se hâte de signer et financer avec Bill Gates l'avancement du GHSA, l'Agenda Global pour la sécurité sanitaire, dont l'objectif principal est la vaccination de toute la population mondiale, avec une priorité sur le vaccin ROR.

 

Roumanie : faux décès dus à la rougeole, pour lancer l'alerte européenne

C'est à la Roumanie que l'on attribue la responsabilité du retour de la rougeole en Europe en début d'année. Elle y aurait fait 34 morts. Apparemment il y avait urgence à trouver des cas pour activer le plan du GHSA. En réalité, parmi ces 34 décès, seuls 8 ont présenté des symptômes de la rougeole. Les autres sont morts de pneumonie, septicémie, leucémie ou malnutrition mais ont été rajoutés au tableau grâce à des sérologies systématiques pour la détection d'anticorps ou de "traces" du virus de la rougeole effectués dans les hôpitaux. (19).

Une campagne de vaccination massive a eu lieu cet été, allant jusqu'à payer des gitans pour faire vacciner leurs enfants en plein soleil au milieu des champs. On y a vu des vaccins dans un panier à pique-nique par une température de 40°C dans une zone de grande pauvreté où beaucoup n'ont pas accès à l'eau potable. Sachant qu'une interruption de la chaîne du froid peut réactiver le virus vaccinal, et le manque d'hygiène favoriser sa propagation, cela pose la question sur l'éventualité de nouvelles épidémies ou de nouveaux décès.

Le "retour de la rougeole", qualifiée aujourd'hui de "grande tueuse" comme le titre une vidéo de l'Institut Pasteur, est l'argument clé pour tenter de justifier des mesures qui dépassent le bon sens et imposer des obligations à travers l'UE en bâillonnant des milliers de victimes du ROR.

En Italie, c'est la mafia qui passe en force

Si l'Italie est le précurseur des nouvelles lois d'obligations vaccinales, c'est probablement en raison de la présence de l'industrie pharmaceutique au sein même de son gouvernement. Ainsi, le Dr Ranieri Guerra, chef de cabinet au ministère de la Santé, fait partie du conseil d'administration de l'entreprise Smithkline Beecham (GSK). Avec un investissement de plus d'un milliard d'euros dans ses nouvelles unités de production, la firme encaissant le bénéfice des douze vaccins imposés.

Si en France on essaie de requalifier les conflits d'intérêts en "gage de compétence" et de minimiser les bénéfices colossaux que rapporteront de nouvelles obligations vaccinales comme le fait notre ministre de la Santé, Agnès Buzyn, en Italie il reste difficile de faire avaler ce genre de couleuvre à un peuple qui lutte depuis des années contre un régime gangréné par la corruption.

Malgré que de 15 000 à 50 000 personnes aient manifesté, notamment à Rome et Pesaro, le black-out de la presse représente un signe particulièrement inquiétant pour la démocratie.

L'ordre des médecins italien s'est transformé en tribunal d'inquisition pour traquer et radier les praticiens réfractaires, tandis que des parents en colère ont agressé des médecins qui refusaient de reconnaître des effets secondaires graves causés par un vaccin.

Le passage en force radicalise et divise. Angela Merkel s'est prononcée contre les obligations vaccinales, rappelant l'importance du libre consentement du patient.

Le glas sonnera-t-il pour Bigpharma ?

Pendant que les lobbys mettent les bouchées doubles en Europe pour "harmoniser les législations" et mettre un place un système de surveillance via un "carnet de vaccination numérique européen", les initiatives citoyennes se multiplient. Aux USA une requête officielle a été adressée au Conseil national de la santé par 55 associations (représentant 5 millions de personnes) pour obtenir des études scientifiques garantissant la sûreté des vaccins. A défaut, une procédure collective sera engagée contre le responsable de l'institution. Il suffirait peut-être que Donald Trump parvienne à nommer sa commission d'enquête sur la sûreté des vaccins pour que tout bascule....

Des milliers de victimes disposent aujourd'hui d'éléments tangibles leur permettant d'établir la preuve des dommages subis et il existe une pléthore d'études attestant des risques et effets secondaires de la vaccination.

En France, Sanofi a annoncé une investissement de 170 millions d'euros pour fabriquer les nouveaux vaccins "antigrippe" et d'autres, "encore plus performants", soutenu par les médias qui répètent inlassablement les dogmes (voir les 3 plus récurrents en début d'article), et cherchant à culpabiliser les "antivaccins".

Malgré cela la population hésite à se faire vacciner. Les conditions dans lesquelles la loi a été votée (voir la deuxième mise à jour du présent article) trahit la précipitation et la panique des responsables de santé et le malaise de leurs collègues.

Or, la situation italienne en est la preuve, de telles conditions auront pour unique conséquence de renforcer la défiance du public français. A terme, elle pourrait bien être la cause de l'effondrement de la "religion" vaccinale, et dans la foulée des élus qui l'on soutenu...

L'article intégral de Senta Depuydt est dans Biocontact n°285 décembre 2017

www.suretevaccins.com 

sortirdelautisme.com

Références première partie

  1. https://www.vidal.fr/Medicament/infanrix_hexa-18590-pharmacocinetique.htm

  2. http://m.leparisien.fr/societe/aluminium-dans-les-vaccins-le-rapport-qui-derange-21-09-2017-7277037.php#xtor=AD-1481423552

  3. https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000886382&categorieLien=cld

  4. Montanari S., Gatti A., Rader S.,Vaccins, oui ou non ?, Talma Studios, 2017

  5. https://www.vidal.fr/Medicament/priorix-13742-pharmacodynamie.htm

  6. Dr Blanc L, coordinateur de la lutte contre la tuberculose à l’OMS, audition au Sénat du 22 février 2007 : "Aucune donnée au niveau international ne permet de dire que la suppression de la vaccination a entraîné une augmentation de la tuberculose dans le monde. Il y a des pays, je voudrais le souligner, qui n’ont jamais vacciné par le BCG, comme les États-Unis, et qui ont les mêmes taux qu’en Europe. Ceci doit être très clair, et des documents extrêmement bien établis à ce sujet ont été publiés par l’OMS." http://www.assemblee-nationale.fr/12/pdf/rap-off/i3791.pdf

  7. http://www.leparisien.fr/societe/200-grands-medecins-s-engagent-en-faveur-de-la-vaccination-obligatoire-28-06-2017-7095930.php

  8. http://apps.who.int/iris/bitstream/10665/39258/1/a41464_fre.pdf

  9. Georget M. Vaccinations, les vérités indésirables, Dangles, 2007

  10. Voir aussi les autres articles sur le sujet ; http://infoalternative.over-blog.fr/search/vaccinations/

 

Références deuxième partie, mise à jour

    11. L’obligation vaccinale est une fausse bonne idée

    12. 120 professionnels de santé refusent l’extension de l’obligation vaccinale

    13. Lettre ouverte au Dr Bouet, président du CNOM

    14. Lettre ouverte aux députés contre le projet d’extension de l’obligation de vaccination des  nourrissons

   15. Lire mon précédent article : Vaccins et intestin, pour le meilleur ou pour le pire

  16. Le nouveau cocktail vaccinal, vidéo de Patrick Shan

  17. Toxic Story, Pr Romain Ghérardi, 2016, éditions Actes Sud

  18. Vaccins oui ou non ? Dr Stefano Montanari, Dr Serge Rader

  19. Les associations ayant demandé des données plus précises sur les tests pratiqués (non   standardisés) n'ont toujours pas obtenu de réponse.

 

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