Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Le blog de l'information alternative et de la santé naturelle

CO² non coupable

30 Novembre 2018 , Rédigé par motarcs Publié dans #Environnement, #Environnement, pollutions, climat, #Géopolitique, #Géopolitique, économie, manipulations, #climat, #manipulations, #Recherches, #pollutions, #économie

Voici un ouvrage (aussi disponible en e-book) qui donne une vision de scientifique totalement différente de celle imposée par les valets du GIEC et reprise en chœur par tous les gouvernements pour leur plus grand profit à tous, via les taxes carbone qui nous assomment et nous étranglent de plus en plus.

Ce livre, écrit par un scientifique à la retraite, ce qui veut dire qu'il est (enfin) libre d'exprimer sa pensée profonde sans risquer de "contrarier" les intérêts de ses employeurs ou de la "pensée unique" bienséante, donne une toute autre vision, solidement argumentée scientifiquement, sur notre éventuelle réelle capacité à influencer positivement notre climat. Sachant que depuis très longtemps de nombreuses tentatives sont faites pour l'influencer, les dernières en date, sont celles proposées par la toute nouvelle Géo-ingénierie, aux aguets derrière ce que j'appelle l'hystérie du business du CO² d'origine humaine. Ces derniers nous proposent toutes sortes de folies, comme disperser des nano-particules de toutes sortes de métalloïdes sensées faire un écran entre les rayons du soleil et le sol, de façon à atténuer le supposé effet de serre dû au dioxyde de carbone. On se retrouve donc en face d'un rouleau compresseur d'énormes intérêts financiers, qui risque bel et bien de nous écraser pour de bon si on le laisse courir librement.

Ce texte remet à sa juste place, à ras des pâquerettes, de toutes les théories de transition énergétique visant à réduire le taux de CO² émis par les humains et qui sont en ce moment-même sur le devant de la scène avec les taxes carbone sensées nous "obliger" à troquer nos véhicules (qu'on nous a imposés) contre d'autres (électriques) sensés être moins polluants... alors qu'ils ne le sont pas....

Etant bien entendu qu'il y a une urgence absolue à arrêter immédiatement toute forme de pollutions chimiques, médicamenteuses, nucléaire, environnementales (plastiques dans les océans) etc., qui elles, polluent vraiment.

N'hésitez pas à laisser vos commentaires

__________________________________________________________

Quelques extraits :

Nos chauffages domestiques chauffent (heureusement !) et réchauffent l'air. Nos voitures ont des moteurs et des pots d'échappement qui chauffent et réchauffent l'air. Nos usines crachent de la fumée bien chaude et réchauffent l'air. Voilà les coupables, c'était tout simple.
Un peu trop simple, quand même… Certains scientifiques se sont demandé ce qu'avaient en commun ces rejets de gaz chauds. Il ne fallait pas sortir de Polytechnique pour penser au résultat d'une combustion : C + O² = CO². Eureka !

On s'est alors opportunément souvenu des théories du 19ème siècle, où John Tyndal attribuait la rétention de chaleur, dans l'atmosphère, à la vapeur d'eau et justement à ce CO². Avant lui, dans les années 1780, Horace de Saussure avait mesuré les effets thermiques du rayonnement solaire sur des boîtes transparentes, analogues à une serre.
Re-“Eureka” se sont dit (un peu vite) certains : le coupable, c'est juré, c'est le CO² et son « effet de serre ».
Quand, à l'époque, on a raconté ça au Commandant Cousteau, il était MDR (mort de rire, comme disent les jeunes).
Il savait bien, lui, que ce qui retient la chaleur, c'est à 90 % la vapeur d'eau et les nuages. Par une nuit d'hiver sans nuages, on a par exemple -5°, et la nuit suivante, grâce à la couverture nuageuse, on se retrouve avec +7°... Là, on a une hausse de 12 degrés en une nuit, et on n'en est plus à ergoter avec des dixièmes de degrés en un siècle... Voyez aussi ce qui se passe au Sahara : malgré le “terrible” CO², la nuit il gèle, parce que, dans ce désert extrêmement sec, il manque précisément la vapeur d'eau…

Vous savez ce qu'est un « gaz rare », par exemple l'argon. Savez-vous quel est le pourcentage de ce gaz rare dans l'air ? Il est de 1%. Et savez-vous quel est le pourcentage du redoutable CO² ? 30 % ? 10 % ? Vous n'y êtes pas du tout : son pourcentage est à peine de 0,03 %, soit 30 fois moins qu'un gaz dit “rare” ; le CO² est donc, mathématiquement, un gaz « ultra rare ». Dans un article d'avant le délire (Theo Loebsack), on parlait de “traces” de CO². On comprend dès lors pourquoi ce gaz plus que rare est incapable de retenir la chaleur diurne du désert et ne peut empêcher la température de chuter de 50 bons degrés en quelques heures…
Ces considérations de simple bon sens n'ont intrigué personne…

Le public, lui, se disait que médias, politiques et scientifiques ne pouvaient pas tous se tromper, et suivait qui criait le plus fort et les culpabilisait le plus.
D'où les dérapages, avec une (hypocrite) taxe carbone, un député qui voulait limiter les naissances car notre respiration produisait du CO², l'incitation à ne plus boire de café ni manger de chocolat à cause de leur transport générant du CO², et la folie des voitures erronément baptisées voitures propres, dont les aberrants véhicules électriques.
Oui, j'ai bien dit « aberrants ». Car si ces véhicules ne produisent pas de CO²,, qu'en est-il des centrales qui fabriquent leur électricité ? Ou bien elles sont thermiques et produisent du CO² à la place des voitures, avec une perte en rendement en prime, ou bien ce sont des centrales nucléaires avec leurs déchets à problèmes.

Gaz et rayonnement.

Les rayons solaires ne réchauffent donc pas l'air composé de ces molécules, mais le sol ou la mer, qui à leur tour réchauffent l'air par convection (et pas l'inverse).
Des molécules triatomiques ou plus (ozone O3, méthane CH4, eau H²O, CO²) agissent différemment. Par exemple, le méthane ressemble à une pyramide à base triangulaire, pleine (carbone au centre), et a une grande capacité d'absorption ou de réflexion.
L'eau, avec des bras écartés de seulement 105° ressemble à un joueur de tennis ayant une raquette dans chaque main, avec lesquelles il renvoie tout ce qu'il peut, ce qui explique que le haut et les côtés des nuages sont blancs (renvoi de la lumière solaire) et le bas est parfois très noir (cumulo-nimbus d'orage, assez épais pour avoir renvoyé 90 % de la lumière solaire).
L'ozone, avec des bras largement écartés à 122° est une véritable passoire, sauf pour quelques UV.
Le CO², avec trois atomes en ligne, c'est mieux que deux, mais ce n’est pas terrible au point de vue action sur les rayons, quoi qu'on en dise… Tout cela explique que la plus grande partie des rayons solaires nous parvient.

L'effet de serre.
En touchant la terre, le rayonnement peut, après absorption partielle, être renvoyé en infrarouge (chaud) vers le ciel ; si, dans le ciel, cette nouvelle onde rencontre une grosse molécule genre méthane ou vapeur d'eau, elle peut à nouveau être renvoyée vers le sol, encore plus dans l'infrarouge, et le cycle peut recommencer jusqu'au moment où l'onde est trop faible pour “faire monter” même la première marche à un électron.
En plus de la réflexion de l'onde, la molécule dans le ciel peut aussi rediffuser l'onde dans toutes les directions, y compris vers le haut, ce qui nous évite un échauffement exponentiel…
Pour l'effet de serre, qui résulte d’aller-retour d'ondes, il est évident qu'il faut une certaine distance entre le sol, et une couche assez homogène de gaz. Si on met une plaque de verre directement sur le sol, elle reste froide ; de même si la couche de gaz est trop peu dense, c'est comme une serre aux vitres brisées…
Il faut aussi que le gaz soit plus léger que l'air pour pouvoir faire une sorte de couvercle en altitude ;c'est le cas de la vapeur d'eau (nuages), et cela pourrait être le cas du méthane si un accident naturel en projetait un jour une grande quantité dans l'atmosphère (hydrate de méthane des fonds océaniques).
Et le CO² dans tout ça ? Sa complexité (nombre d'électrons, axes de rotation, possibilités de vibrations) en ferait un bon candidat, mais…

Le CO² : non coupable ?
Chacun d'entre nous a essayé, enfant, de gonfler un ballon en soufflant avec la bouche ; l'opération terminée, c'était chaque fois la déception de voir le ballon descendre inexorablement vers le sol, au lieu de s'élever dans les airs. L'explication est pourtant simple : ce que nous avons insufflé dans le ballon est un mélange d'air et de CO² provenant de notre respiration ; or, il faut savoir que le CO² a une densité de 1,52 par rapport à l'air, c'est à dire qu'il est 52 % plus lourd que l'air et qu'il retombe donc logiquement vers le sol.

[Ndlr : lorsqu'on gonfle le même ballon que tout à l'heure avec de l'hélium il va monter très vite et très haut dans l'atmosphère et couvrir parfois de très grandes distances... L'hélium étant beaucoup plus léger que l'azote et l'oxygène les principaux constituants de l'atmosphère]

C'est à cause de cette forte densité que le CO² a tendance à s'accumuler au fond des puits (danger d'asphyxie) ou des grottes en déclivité fermée (en fin de saison touristique, la respiration devient malaisée dans un certain Aven ardéchois...).
Ce gaz peut même être " versé " d'un récipient dans un autre sans aucun risque de le voir "s'envoler".
Le 21 août 1986, une énorme bulle de 1,75 millions de tonnes de CO² s'est dégagée du fond du lac du cratère Nyos au Cameroun. Là aussi, au lieu de s'élever dans les airs pour aller former un couvercle à effet de serre, le gaz s'est logiquement étalé au niveau du sol, prenant la place de l'air dans un rayon de 25 km, et asphyxiant 1.700 humains et des milliers d'animaux.
On voit mal, par quel miracle, un gaz qui tend, de par sa densité, à rester au ras des pâquerettes, se mettrait subitement à prendre de l'altitude (et y rester) pour jouer au couvercle de marmite...

On sait bien que, déjà en haut des gratte-ciel, on est souvent au-dessus des gaz polluants, trop lourds ; exemples de quelques densités : chlore = 2,467, SO² = 2,26, NO² = 1,6) ; quant à NO (produit par les diesels), de même densité que l'air, il se combine avec l'ozone (produit par les voitures à essence) pour faire de l'oxygène et du NO² (d'où l'absurdité, en cas de pollution par l'ozone, de défendre aux diesels de circuler !)
On voit d'ailleurs bien ce qui se passe avec l'ozone (O3) : de densité 1,72 (72 % plus lourd que l'air), l'ozone produit en basse altitude est bien connu pour y rester, et ne va (hélas) pas boucher les trous dans la couche d'ozone située 30 à 50 km plus haut... Il est à noter que cette couche d'ozone d'altitude, bien que plus lourde que l'air, ne descend pas, elle, à cause d'une perpétuelle transformation de l'ozone (instable) en oxygène (plus léger) et re-transformation de l'oxygène en ozone sous l'action des UV: 3 O² ⇔ 2 O3 (sans parler des vents violents de la stratosphère qui font barrage à une descente de cet ozone).

Autre point troublant : les endroits où l'on trouve le plus de CO² sont les villes (ce qui est logique) mais aussi... les forêts ! En effet, dans les forêts, les feuilles mortes et autres matières décomposées par les bactéries produisent du CO² en continu, en plus de la respiration naturelle des plantes ; la nuit, quand la photosynthèse ne se fait pas et ne transforme pas le CO² en oxygène, le taux de CO2 est maximal, émanant des feuilles mais même du tronc et des racines ! Les « puits de carbone » sont donc aussi des "geysers de CO²", et le phénomène s'accentue encore en période de sécheresse...
Le CO², bien trop peu présent en pourcentage, ne peut provoquer un effet de serre que si tout le CO² faisait comme l'ozone : constituer une couche homogène à une certaine distance du sol, ce qui n'est pas le cas, de par la densité trop élevée du CO².
Il faut alors plutôt redescendre (c'est le cas de le dire) au niveau moléculaire : chaque molécule peut absorber de la chaleur à titre individuel.

C'est bien ce qui se passe pour le CO², mais de façon très limitée vu sa rareté : rappelez-vous son influence extrêmement faiblarde dans la préservation de la chaleur des déserts…

Pourquoi pas le méthane ?
Le méthane, CH4, de densité 0,554 (environ moitié moins lourd que l'air), est effectivement un gaz pouvant produire un effet de serre tangible, surtout vu sa structure pyramidale (voir plus haut) et sa possibilité de grimper en altitude jouer au couvercle de marmite.

Mais qui donc produit du méthane et l'envoie en l'air ?
Après avoir beaucoup cherché, on a fini par trouver certains "producteurs" : les ruminants. Lorsqu'une vache émet des gaz (flatulences), ce qui sort est effectivement composé de méthane. Bien sûr, une vache qui pète, ça fait rire. Mais imaginons les deux milliards de bovins que compte la planète, pétant 24 heures sur 24... Il y aurait donc bien une "certaine" production de gaz à effet de serre. Reste à voir si cela peut vraiment être dangereux et s'il va falloir laisser se répandre la maladie de la vache folle ou mettre un pot catalytique au derrière de chaque ruminant...
Vu la teneur actuelle de méthane, d'à peine 0,005%, il vaut mieux couper court à la polémique…

Le méthane n'étant pas, pour l'instant, très concerné, revenons à l'examen des assertions concernant le CO².

Au-delà de la controverse en matière de réchauffement climatique, toutes les parties sont au moins d'accord sur trois données : le taux total de CO² (0,035 %), la quantité de CO² libéré par les humains (17 milliards de tonnes) et le poids de l'atmosphère (5,29 x 1015 tonnes, soit 5,29 x 106 milliards de tonnes).

Faisons, si vous le permettez, un calcul ultra-simple…
A partir du taux de CO², calculons son poids total : 5,29 x 106 x (0,035 / 100) = 1.851 milliards de tonnes. On constate alors que la part humaine (17 milliards de tonnes) n'est même pas de 1% : 17 x 100 / 1.851 = 0,92 %…

Donc, mathématiquement, 99,08 % du CO² n'est pas d'origine humaine ; par conséquent, si toute l'humanité disparaissait avec son malheureux 0,92 %, cela n'aurait aucune influence sensible, et il faut savoir l'accepter : les mathématiques ne font pas de politique !

Il faut cesser de se focaliser sur des voitures, avec leurs quelques grammes de CO² (et qui sont plus souvent à l'arrêt qu'en circulation…). Il est bien vrai que le taux de CO² dû aux humains s'est accru de 40 % en 150 ans, c'est à dire que nous sommes passés de 0,7 % à 0,9 %… La belle affaire ! Ce peu d'influence des activités humaines par rapport aux sources naturelles constitue d'ailleurs un handicap majeur lorsqu'il y aura une pénurie de CO² dans quelques dizaines ou centaines d'années (voir plus loin).
Il faut aussi savoir en tirer les conséquences : mettre toute notre économie à terre pour réduire nos 0,92 % à 0,91 %, alors que nous ne pouvons rien faire contre les 99,08 % naturels, n'est-ce pas d'une aberration absolue ?
Mais il y a mieux… En fait, l'être humain ne créé aucun CO², il ne fait que restituer ce qu'il a pris.

Le CO² de l'air sert à fabriquer les plantes, qui servent à nourrir les animaux herbivores. Les carnivores mangent ces herbivores. Les humains, eux se servent de tout cela, ils mangent du matériel végétal et animal. Puis, par combustion interne de ce matériel, ils rejettent par la respiration une partie du CO² de départ, par les matières fécales et, après leur décès, lors de la crémation ou de la décomposition. L'homme ne fait donc qu'emprunter du CO², et c'est parfaitement inutile de lui interdire de “trop” procréer, comme l'avait imaginé un député…
En brûlant du bois, nous restituons à l'air le CO² qui a fabriqué les arbres.
Il en est de même pour les énergies dites fossiles, (charbon, pétrole, gaz) résultant de l'enfouissement de forêts constituées à partir de CO² : “A l'ère primaire, la matière végétale, sans doute piégée dans de gigantesques fosses nées de mouvements subsidiants, n'a pas été entièrement recyclée : c'est le phénomène de fossilisation à l'origine du charbon et du pétrole. En consommant ces réserves, l'homme remet en circulation l'élément carbone détourné jusqu'à présent des cycles naturels” (article scientifique de 1978, avant le délire actuel).
Ce “détournement” de carbone explique, paradoxalement, que nous vivons, mathématiquement, une pénurie de CO² : “La teneur de l'air en anhydride carbonique se situe normalement entre 0,01 et 0,1 %” (Dessart et Jodogne, Cours de chimie, 1960, aussi avant le délire actuel). La moyenne entre 0,01 et 0,1 % est 0,055 % (0,11/2), et avec nos 0,035 %, nous sommes 57 % en dessous de la moyenne (0,035 + 57 % = 0,055). C'est mathématique et imparable, bien loin d'états d'âme très peu cartésiens…
Avec moins de 1 % d'influence, l'homme est absolument incapable de combler ce trou, et c'est heureux que l'accroissement actuel du volcanisme vienne quelque peu à notre aide.
Quant aux apprentis sorciers qui rêvent d'enfouir le CO², j'espère qu'ils comprendront qu'ils font fausse route ; heureusement, leur capacité de nuisance ne concerne qu'une partie ridicule du pauvre 0,9 % rejeté par les activités humaines.

Il faut aussi se rappeler que le CO², c'est la vie ! La végétation, base de la chaîne alimentaire, est incapable de tirer du sol le carbone dont elle a besoin, et ne peut vivre que grâce au CO² de l'air. Si le CO² diminuait, il n'y aurait plus que des plantes rabougries et des récoltes squelettiques. Imaginons que le CO² disparaisse totalement : plus de plantes, plus d'herbivores, plus de carnivores, plus de phytoplancton (produisant 80 % de notre oxygène), presque plus de poissons, et donc une famine terminale, éliminant l'humanité. Or, comme dit plus haut, avec ses petits 0,035 % dans l'atmosphère, le taux de CO² est à peine à 1/3 de ce qu'il pourrait être et nous sommes donc en déficit chronique.

Les problèmes…
A votre avis, peut-il y avoir un point commun entre :
• le réchauffement climatique,
• la recrudescence du volcanisme,
• les tremblements de terre en hausse,
• les fleuves européens qui débordent,
• les cyclones et tornades en augmentation,
• le niveau de la mer qui s'élève,
• l'augmentation des cancers de la peau,
• la cataracte des astronautes,
• la baisse de la fertilité masculine,
• la mortalité des abeilles et des fourmis,
• la déformation du bec des oiseaux ?

Contrairement à ce qu'on nous fait croire, certains de ces problèmes n'ont pas commencé récemment, mais il y a 300 ans et plus, donc bien avant les voitures, bien avant même qu'on ne découvre le pétrole :
~ Le recul des glaciers dans l'Himalaya a été observé dès 1780 (!)
~ dans un exemplaire de l'hebdomadaire l'Illustration du 29 décembre 1934, le célèbre océanographe Helland Hanssen (décrit dans l'article comme “le plus grand océanographe du temps présent”, excusez du peu) y relate un phénomène de recul des glaciers au Spitzberg… depuis 1928 (!) et le paquebot La Fayette faisait des croisières à 81° Nord.
~ réveil des volcans : Sinabung (17e siècle) et Tembora (1815) à Sumatra, Krakatoa (1883).
D'autres phénomènes sont plus récents : cancers de la peau (20 à 30 ans), cataracte des astronautes (25 à 30 ans), infertilité masculine (40 ans), inondations en Europe (10 ans), ou très récents : mortalité des abeilles (2009), des fourmis (2010), oiseaux aux becs fourchus (2010).
Des phénomènes anciens se poursuivent avec plus d'intensité ou de fréquence : ~ volcanisme : le Kilauea à Hawaï qui s'est réveillé en 1984, les Philippines (1986 et 2010), Montserat, le mont St-Helens aux USA, les grands tremblements de terre (Algérie, Turquie, Japon, Haïti, Chili, etc.) sans compter les raz de marée associés ; on vient même de découvrir que les lacs volcaniques de l'Eifel allemand libèrent de plus en plus d'hélium, signe très inquiétant, surtout dans cette région fortement peuplée.

Encore à Hawaï, un volcan, inactif depuis plus de cent ans, vient de se remettre en éruption. Puis cela a été le fameux volcan en Islande, et son funeste nuage de cendres.
~ le recul des glaciers, commencé au 18ème siècle et devenant davantage visible depuis 70 ans.
~ la fonte de la banquise arctique, depuis 1910.

Aussi incroyable que cela paraisse, tous ces événements, anciens ou récents, ont une seule et unique cause, dont les effets vont s'accroître et se multiplier de façon dramatique dans les décennies et les siècles prochains…

L'inquiétant phénomène.
En préalable à l'explication qui va suivre, il faut d'abord rappeler la différence entre « rayons solaires » et « vent solaire ».
Les rayons solaires sont des ondes électromagnétiques (photons), sans masse ; quoi qu'il se passe au niveau du soleil, ce rayonnement est constant (3,83 x 1026 W).
Le vent solaire, lui, est composé de particules (électrons, noyaux d'hydrogène et d'hélium), éjectées par le Soleil, à très haute énergie.
Chacun sait, lorsqu'on s'élève dans l'atmosphère, que la température décroît : 6 degrés en moyenne tous les 1.000 m ; ainsi, lorsqu'il fait 30° à Bédoin, au pied du mont Ventoux, on n'en retrouve plus que 15° au sommet, à 1.909 m.
Très logiquement, plus on monte, plus il fait froid, jusqu'à -90° à 80 km de haut.
Puis, la température augmente, et de façon tout bonnement ahurissante, puisque entre 200 et 1000 km de haut, on peut trouver jusqu'à 1700° !

C'est la « thermosphère », dont tout le monde semble avoir oublié l'existence ; en fait, nous sommes entourés d'un gigantesque radiateur brûlant, dont les fluctuations de températures nous affectent profondément, à notre insu..
La thermosphère a une température très variable, mais aussi une altitude variable, selon qu'on est le jour ou la nuit, et au cours des ans. La différence nuit-jour révèle que le Soleil y est pour quelque chose. Effectivement...
La haute atmosphère est essentiellement composée d'hydrogène, de moins en moins dense avec l'altitude et par conséquent assez difficile à chauffer par rayonnement pur ; rappelons que même à notre niveau les rayons solaires chauffent la mer, le sol et les objets, qui à leur tour, par convection, réchauffent l'air (et non l'inverse). Comme la puissance rayonnée par le soleil est constante (3,83 1026 W), cela n'explique pas les variations dans la thermosphère au cours des ans.
En fait, le Soleil nous envoie bien autre chose que des rayons : des myriades de particules à haute énergie, le " vent solaire ", composé principalement de noyaux d'hydrogène et d'hélium, et d'électrons, comme révélé en 1995 par la sonde-laboratoire Soho.
Les photons de lumière n'ayant pas de masse, ce n'est pas la lumière solaire qui dévie les queues des comètes, mais bien les particules du vent solaire. Ce n'est pas bien difficile pour des fragiles queues de comètes, mais le vent solaire est d'une force telle qu'il a complètement soufflé l'atmosphère de Mercure et privé Mars de la plus grande partie de la sienne.
Ce vent se fait sentir jusqu'au delà du système solaire, jusqu'à ce qu'on appelle l'héliopause, confirmée par Voyager.
Depuis Neptune, le Soleil, à 4,5 milliards de km, ressemble à une tête d'épingle et est bien incapable de réchauffer quoi que ce soit ; là encore, c'est le vent solaire qui réchauffe le mélange de méthane, hydrogène et hélium qui constitue l'épaisse atmosphère de Neptune, en la comprimant, comme dans une pompe de vélo.

On a aussi le triste exemple de Vénus, planète comparable à la Terre (dimensions, densité), mais située 30 % plus près du Soleil : l'impact du vent solaire y est tel que l'atmosphère face au Soleil est écrasée, avec une pression de 90:1 et par conséquent une température de 470°, c'est à dire plus que sur Mercure qui est moitié plus proche du Soleil que Vénus, mais qui n'a plus d'atmosphère subissant le vent solaire. Cet écrasement provoque des vents rapides tout autour de la planète, ce qui fait que même la face opposée au Soleil est à haute température.
Et la Terre ? La Terre, contrairement à Vénus et Mars, est en partie protégée par son magnétisme (200 fois celui de Vénus) et les ceintures de Van Allen, qui dévient ou piègent les particules telles que noyaux et électrons.
Mais c'est sans effet sur les particules neutres. Or, après leur expulsion du Soleil, dès les premiers millions de km franchis, beaucoup de noyaux n'ont plus qu'une idée : récupérer au plus vite leurs électrons, surtout l'hélium qui a hâte de retrouver sa légendaire stabilité ; il en est de même pour l'hydrogène dans une moindre mesure.

Ces particules, redevenues électriquement neutres, ne sont plus déviées et frappent de plein fouet la haute atmosphère, à des vitesses jusqu'à 800 km/seconde (2.800.000 km/h), et par dizaines de milliers par seconde au cm². Et toute cette énergie cinétique se retrouve instantanément convertie en chaleur, d'où l'existence de la thermosphère.
On comprend aisément que plus le vent solaire est intense, plus la thermosphère est chaude et plus elle est aussi comprimée et poussée vers nos têtes.
Or, un autre phénomène, que l'humanité n'a jamais connu depuis 780.000 ans, a fait son apparition depuis 300 ans, coïncidant avec le début de la liste des phénomènes cités plus haut.

C'est - paradoxalement - Mars qui nous a donné l'explication de ce qui se passe sur la Terre.
Les sondes de la Nasa ont permis d'apprendre que Mars avait perdu la totalité de son magnétisme, pourtant 30 fois plus élevé que celui de la Terre, il y a quatre milliards d'années.
Les roches mises en fusion par suite de l'impact de météorites, conservent, en refroidissant, le sens et l'intensité du champ magnétique du moment, enregistré dans les particules de magnétite de ces roches.
On a constaté, sur Mars, dans les roches de plus de quatre milliards d'années, un magnétisme très fort, mais curieusement orienté dans tous les sens.
Dans les cratères de moins de quatre milliards d'années, il n'y a plus du tout de magnétisme : Mars avait donc bien perdu tout son champ magnétique.
Le résultat fut catastrophique : à cause de l'absence de bouclier magnétique, le vent solaire a pu frapper Mars de plein fouet. En quelques millions d'années, aussi bien l'atmosphère que l'eau liquide de Mars ont été purement et simplement expulsés dans l'espace, et le phénomène se poursuit encore actuellement avec ce qui reste d'atmosphère. C'est d'ailleurs assez illusoire de rêver de "reconstituer" une atmosphère plus dense sur Mars, sans la protection d'un magnétisme disparu à jamais…

Mais d'où vient donc le magnétisme des planètes et pourquoi disparaît-il ? Les professeurs Daniel Lathrop et Woodrow Shew, de l'université du Maryland ont fait des expériences et simulations sur une reconstitution (grâce au sodium liquide) du centre liquide (fer et nickel) des planètes, entourant un noyau de fer solide.
A cause de la différence de fluidité, le noyau et son environnement en fusion ne tournent pas à la même vitesse, ce qui engendre de telles frictions qu'il se crée un champ électrique. Et du fer en mouvement dans un champ électrique crée le champ magnétique. Une théorie parallèle pensait que le mouvement du fer liquide du noyau, dans un faible champ magnétique (dû aux roches solides) engendrait en son sein un courant électrique, générateur à son tour d'un champ électromagnétique renforçant le champ primitif.
Dans une planète comme Mars, plus petite et plus éloignée du Soleil que la Terre, le noyau s'est refroidi et solidifié il y a 4 milliards d'années, anéantissant le champ magnétique protecteur.

La Terre, grâce à une masse plus importante, ne voit son noyau refroidir que de 25° C par milliard d'années, ce qui nous conservera notre magnétisme jusqu'au moment où la Terre sera absorbée par le Soleil devenu géante rouge, dans 5 milliards d'années.
En fait, la source de tous nos problèmes ne réside pas dans la perte définitive de notre champ magnétique, mais une perte temporaire, un "passage par 0", qui peut durer de mille à trois mille ans…
Le professeur John Shaw, de l'université de Liverpool, en examinant des céramiques de quelques siècles, a observé que le champ magnétique dont elles ont conservé le souvenir en refroidissant après la cuisson, est préoccupant : la force du magnétisme a décru de 10 % ces 300 dernières années, et cela va en s'accentuant ; à ce rythme, on sera à 0 % dans moins de 300 ans.
Le professeur Mike Fuller, de l'université d'Hawaï, en a eu l'explication, en analysant les coulées de lave du volcan Kilauea, dont certaines sont vieilles de cinq millions d'années.
Il a constaté que, tous les 200.000 ans (20.000 fois depuis le début de la Terre !), le magnétisme de ces roches était inversé, c'est à dire que tous les deux cent mille ans, la boussole, au lieu de pointer vers le Nord, pointe vers le Sud, et deux cent mille ans plus tard (environ), la boussole pointe à nouveau vers le Nord.
La dernière inversion datant de 780.000 ans, nous avons accumulé un retard considérable, et une inversion était inévitable.
Le problème, c'est qu'aucun humain moderne n'a jamais été confronté à ce phénomène…

L'inversion périodique du sens du magnétisme terrestre (avec un inévitable passage par zéro) a été reproduite en 1990 dans une simulation informatique par le professeur Gary Glatzmaier de l'université de Santa Cruz en Californie, sur un super ordinateur de la NASA pendant… 4 ans. Il a découvert que, périodiquement, la circulation du fer en fusion sous nos pieds change de direction, comme le flux et reflux d'une vague, entraînant l'inévitable inversion du magnétisme.
Le professeur Jeremy Bloxham de Harvard, en étudiant les variations du Nord magnétique depuis 1770, a constaté que de vastes zones de l'Atlantique Sud sont déjà inversées : “l'anomalie de l'Atlantique Sud“, ou SAA (South Atlantic Anomaly), amoindrissant ainsi le magnétisme global de la planète.
Mais il y un aspect plus préoccupant encore…

Le professeur Rob Coe, de l'université de Santa Cruz, a étudié les inversions magnétiques enregistrées dans 914 m de hauteur de coulées de lave dans les Sting Mountains (Orégon), précisément lors d'une période d'inversion.
Il a constaté une complète instabilité du sens et de la force du champ : pendant 300 ans le champ hésitait entre un sens ou l'autre, avec des périodes de champ nul (ou réduit à 1%), une variation de 60° en dix jours, une inversion totale dans l'espace d'une seule coulée de lave et son refroidissement !

Il y avait 4 à 8 pôles qui se déplaçaient sur la surface de la Terre, concentrant le dangereux vent solaire comme des loupes (sur des régions actuellement très habitées).
Puis, le champ s'est remis en place, un court laps de temps, et est reparti ensuite dans une nouvelle période d'instabilité de 3.000 ans, oscillant autour du 0, avant de se décider pour l'inversion totale.

Le Pr. Jochen Zschau, du Helmholtz-Centre, de Potsdam, en Allemagne, plus optimiste, parle de “seulement“ 1000 ans de magnétisme 0…

On a vu ce qui s'était passé avec l'atmosphère de Mars ; or, la Terre est plus près du soleil que Mars, et la force du vent solaire, que plus rien n'arrêtera, va être telle qu'on a calculé qu'un tiers de notre atmosphère va être expulsé dans l'espace ! Et nous ne pourrons rien y faire. Sauf nous préparer au pire pendant le peu de temps qu'il nous reste… et en profiter un maximum.

 

~ L'impact des rayons cosmiques.
Là, c'est le VRAI problème.

Actuellement, à cause de la baisse, encore assez réduite, du magnétisme, les rayons cosmiques n'arrivent pas au sol en quantités suffisantes pour mettre les existences humaines en péril.
Ils sont toutefois déjà assez nocifs pour provoquer mélanomes et cancers en quantité accrue. Il va donc falloir prévoir des structures en proportion.
Par contre, en altitude, il y a deux vrais problèmes.
Le premier concerne les satellites, qui sont amenés à subir pannes sur pannes. Le télescope Hubble est d'ailleurs en partie désactivé chaque fois qu'il passe à proximité de l'Anomalie de l'Atlantique Sud (SAA), par précaution.
Le deuxième concerne les hommes. Les astronautes Armstrong et Aldrin, en 1969, lors de leur retour avec Apollo XI, ont été surpris de voir des petits éclats lumineux dans la cabine, même en fermant les yeux. C'était les rayons cosmiques qui attaquaient leur rétine…
Ils ont dû être opérés de la cataracte, tout comme 37 (!) autres cosmonautes.

D'après le Pr. Zschau, les voyages en avion, à 12.000 m d'altitude, présentent des risques certains, malgré la cabine métallique (tout comme la cabine des cosmonautes ne les a pas protégés).
J'en ai été personnellement le témoin stupéfait lors de mon dernier voyage à New York. Le voyage aller s'est fait en pleine journée : départ de Paris à 10 h, arrivée à 13 h 30 (heures locales). Petit à petit, j'ai senti comme une lourdeur qui envahissait le haut de ma tête, comme une chape.
Au retour, avec un départ à 19 h et une arrivée à 8 h, le trajet était de nuit, et je n'ai pas éprouvé le même phénomène puisque le vent solaire frappait l'autre côté de la Terre…

Mais il y a plus inquiétant.
Ces rayons cosmiques pénètrent au cœur des cellules, endommageant même l'ADN.
C'est ce qui explique pourquoi, en deux générations à peine, la fertilité masculine a diminué de moitié.
On assiste à un phénomène de surmortalité chez les abeilles. Les virus et les parasites ne sont pas plus dangereux qu'avant, et cette mortalité se produit même en plein Sahara où ces éléments sont inexistants. Là aussi, l'effet des rayons cosmiques, de plus en plus dangereux, est sans doute le responsable.
C'est aussi l'explication, depuis 2010, à l'incroyable mortalité chez les fourmis. A leur tour, les papillons voient aussi leur population en forte baisse.
Enfin, il y a ces oiseaux « mutants », au bec présentant une double courbure inversée, comme des ciseaux, ce qui les handicape fortement pour se nourrir. On n'a trouvé chez eux ni virus ni parasite ni pesticide. En fait, ce sont encore les rayons cosmiques du vent solaire qui ont endommagé leur ADN.

Les conséquences à long terme.
Si vous voulez dormir la nuit prochaine, vous feriez bien de passer ce chapitre…
~ La couche d'ozone ayant été expulsée dans l'espace avec un tiers de notre atmosphère, plus rien ne nous protégera des UV et des mélanomes, d'où la multiplication dramatique des cancers de la peau, à moins de ne plus vivre que la nuit.
~ La thermosphère, devenue à la fois plus proche d'un bon tiers, et extrêmement chaude, va encore davantage réchauffer les terres, mais surtout les mers, provoquant une hausse spectaculaire des températures. La banquise arctique disparaîtra, ce qui réduira l'albédo de la Terre, c'est à dire son aptitude à renvoyer la chaleur dans l'espace grâce à la réflexion sur les glaces.
~ L'évaporation accrue des mers provoquera des successions continues de graves cyclones, avec leur cortège d'inondations permanentes vu que tous les fleuves retrouveront leur lit historique, voire préhistorique. Des populations seront forcément à déplacer…
~ Les cultures, partout dans le monde, devront s'adapter, soit à un excès de pluie (Europe), soit à un excès de sécheresse. Nous serons contraints de réviser nos habitudes alimentaires en nous tournant vers des ressources supportant l'humidité ou la sécheresse, suivant les cas.
~ La vie sur la Terre, c'est aussi les volcans. Ce sont les seuls réels producteurs de CO², indispensable à la croissance des végétaux, source de notre alimentation. Si leur activité cesse, leur énorme apport en CO² disparaît ; bien sûr, les océans vont dégazer pour combler le déficit ; le bicarbonate de calcium va se décomposer pour rendre à l'océan et au phytoplancton le CO² qu'ils réclament, mais il n'est pas inépuisable ! Après quelques siècles de ce processus, le bicarbonate sera effectivement épuisé, et comment nourrir 7 milliards d'habitants (déjà maintenant…!) ? Or, l'activité des volcans, en augmentation actuellement, risque de se réduire dramatiquement, nous privant d'une bonne partie du CO² nécessaire à la vie.

Tout comme entre la marée haute et la marée basse il y a “l'étale“, période où le mouvement se fige, il se passera la même chose durant les 1.000 à 3.000 ans du zéro du magnétisme : la surpression du noyau terrestre sera annulée, le volcanisme se réduira fortement, voire cessera, ce qui nous privera du précieux CO² grâce auquel nous vivons : ce sera le début de la pénurie alimentaire.
Quand ce moment arrivera, nous aurons beau brûler en catastrophe tout le pétrole de la terre (s'il en reste) et déterrer le CO² très imprudemment soustrait à l'atmosphère, avec les petits 0,9 % d'incidence des activités humaines, cela n'arrivera jamais à compenser le déficit des volcans…
Le seul espoir restera le dégazage des mers, mais à cause de l'inertie de ce phénomène, cela ne se produira qu'avec un certain retard, de plusieurs dizaines d'années, et, comme dit plus haut, ce ne sera pas durable.
Cela ira cependant mieux (si on peut dire), plus tard, lorsque la population humaine se verra sévèrement réduite (voir plus loin).
~ Notre technologie ne pourra survivre que quelques dizaines d'années, seulement. Les premières destructions affecteront les satellites, foudroyés par le vent solaire que plus rien ne déviera : d'habitants (déjà maintenant…!) ? Or, l'activité des volcans, en augmentation actuellement, risque de se réduire dramatiquement, nous privant d'une bonne partie du CO² nécessaire à la vie.

Tout comme entre la marée haute et la marée basse il y a “l'étale“, période où le mouvement se fige, il se passera la même chose durant les 1.000 à 3.000 ans du zéro du magnétisme : la surpression du noyau terrestre sera annulée, le volcanisme se réduira fortement, voire cessera, ce qui nous privera du précieux CO² grâce auquel nous vivons : ce sera le début de la pénurie alimentaire.
Quand ce moment arrivera, nous aurons beau brûler en catastrophe tout le pétrole de la terre (s'il en reste) et déterrer le CO² très imprudemment soustrait à l'atmosphère, avec les petits 0,9 % d'incidence des activités humaines, cela n'arrivera jamais à compenser le déficit des volcans…
Le seul espoir restera le dégazage des mers, mais à cause de l'inertie de ce phénomène, cela ne se produira qu'avec un certain retard, de plusieurs dizaines d'années, et, comme dit plus haut, ce ne sera pas durable.
Cela ira cependant mieux (si on peut dire), plus tard, lorsque la population humaine se verra sévèrement réduite (voir plus loin).
~ Notre technologie ne pourra survivre que quelques dizaines d'années, seulement. Les premières destructions affecteront les satellites, foudroyés par le vent solaire que plus rien ne déviera.

On pourra faire l'impasse sur les communications non filaires, dont à l'international ; il faudra revenir aux câbles sous-marins, vite saturés (s'ils sont encore en état !). On pourra oublier le positionnement GPS et les boussoles folles, et revenir au sextant… Ce sera aussi la fin de la télévision par satellite…

Quant à la coûteuse station orbitale, il sera devenu mortel d'y séjourner bien avant sa mise hors d'usage, et on ferait bien de l'oublier aussi.
Puis, ce sera le tour de l'alimentation électrique diurne, avec des pannes continuelles comme ce qu'il s'est passé au Canada, voire une panne continue seize heures par jour…
Le bombardement en masse par des particules à très haute énergie va mettre hors d'usage absolument tout ce qui contient de l'électronique basée sur les puces à semi-conducteurs : ordinateurs publics (imaginez la future pagaille administrative), ordinateurs de voitures, ordinateurs personnels et Internet, téléphones portables, télévisions, lecteurs CD et MP3, , caméras, chaînes Hi-Fi, programmateurs de machines à laver et d'autres appareils domestiques, alarmes publiques et privées, réveils, montres, compteurs Linky, radars de gendarmerie (seul point positif), photocopieuses, caisses de supermarché, etc. Des pans entiers de l'industrie seront sur le flanc (notamment, adieu aux robots).
Il faudra revenir aux appareils d'émission et de réception radio et TV à tubes au lieu de circuits intégrés, aux téléphones à cadran d'antan, aux réveils et montres à remonter, aux machines à écrire mécaniques, aux machines à calcul mécaniques genre Olivetti (si on en retrouve), aux tables trigonométriques papier, aux tables de logarithmes, aux caméras 8 mm, aux programmateurs par poussoirs au bon moment, aux voitures à carburateur, à démarrage non codé, sans ABS, sans EPS, sans aide au stationnement, sans essuie-glaces automatiques, bref, sans la moindre électronique (sauf à voyager uniquement de nuit). A la Poste, il faudra revenir aux ventes manuelles de timbres et au carnet d'épargne papier…
Bref, il faudra une adaptation et une reconversion dont nous n'avons pas idée. Les adeptes de la décroissance n'en reviendront pas, car, au fond, ils n'ont pas vraiment tort de se préparer dès maintenant à la façon dont nous allons devoir vivre dans à peine quelques dizaines d'années…
~ Ce sera l'hécatombe dans la nature, surtout chez les insectes qui ne vivent pas exclusivement sous terre. En effet, les rayons cosmiques ont une telle énergie qu'ils traverseront ces insectes de part en part, détruisant leurs cellules et leur ADN. Même les oiseaux seront touchés (des vautours rendus stériles, aux petits oiseaux foudroyés début 2011).
Abeilles et papillons ne seront plus en mesure de fertiliser arbres fruitiers et céréales ; la main de l'homme devra y suppléer, ce qui fera s'envoler le cours de ces matières. Il nous restera le vin, et nous serons à l'abri de guêpes et moustiques…
Les fourmis, dont les nids sont trop superficiels pour les mettre à l'abri des radiations mortelles, n'arriveront plus à remplir leur travail de fossoyeurs de la nature. Il restera heureusement certains insectes à carapace épaisse, ceux qui survivraient même à une explosion nucléaire.
Les céréales, les fruits, les légumes, deviendront de fait des OGM involontaires, sans qu'on puisse y faire quoi que ce soit, et il faudra s'en contenter.
Le bétail sera plus ou moins touché, suivant la protection de leur fourrure (s'ils en ont !). A moins d'enfermer les animaux en abris souterrains, on peut dire adieu au jambon, le steak deviendra un produit de luxe, on devra se contenter de lait et de fromage d'ovins (si on ne les tond pas trop !). Mr Bové peut se rassurer au sujet de son roquefort, ce qui lui évitera de prétendre les Américains responsables de l'inversion magnétique…
Les volailles, aux plumes trop minces pour les protéger, devront être confinées comme au pire moment de la fièvre aviaire.
Nos animaux domestiques, dont l'affection désintéressée nous console de bien des humains, devront recevoir une stricte protection, au moins les races à poils courts. Mais allez expliquer à une petite peste de chat qu'il ne peut sortir que la nuit… Les animaux d'appartement risquent bien de devenir la règle, hélas. Déjà, les cas de cancer des oreilles se multiplient surtout chez les chats blancs.

~ Et les humains ???
Les humains, étant par nature indisciplinés, imbus d'eux-mêmes, se croyant tout-puissants et à l'abri des catastrophes, vont immanquablement payer un tribut gigantesque : 95 %, voire 99 % de l'humanité risque de disparaître, et c'est finalement heureux que nous soyons plus de six milliards…
Les humains s'obstinent à vivre dans des zones inondables, dans des zones à fort risque sismique, à flanc de volcans dangereux, dans des couloirs d'avalanche, etc. Cela me rappelle le vieil imbécile (il n'y a pas d'autre terme) qui s'est obstiné à rester dans sa maison au pied du Mont St Helens prêt à exploser, se croyant plus fort que tout. A présent, sa maison, lui-même et ses pauvres chats sont enfouis sous quinze mètres de matières volcaniques. Des volcanologues réputés (les Kraft…) sont morts pour s'être crus invincibles, et toute une meute de journaliste avec eux. Quand une ville est détruite par un tremblement de terre, on la reconstruit… au même endroit !
On sait que le Vésuve va exploser, mais près d'un million de personnes se croient plus fort que lui et vivent à proximité, oubliant les leçons de Pompéi et l'avertissement de 1944. Istambul est destinée à la dévastation totale lors du prochain tremblement de terre, mais peu de gens la quittent, malgré les aides et incitations des autorités.
Lorsque quelqu'un s'approche d'un précipice, il y a deux attitudes possibles : soit faire demi-tour, soit se bander les yeux ! Si on nous avait averti que le nuage de Tchernobyl avait contaminé nos salades et notre lait, nous aurions pu prendre des mesures pour préserver notre santé, mais on a préféré nous faire croire que le nuage s'était arrêté à la frontière parce que ses papiers n'étaient pas en règle, et nous y avons cru avec empressement…
De tous temps, également, les hommes se sont persuadés qu'ils avaient la faculté de régir les éléments, ce qui est très rassurant en soi : quand un tsunami menace une côte, si on nous dit qu'il suffit d'ouvrir tous les robinets de la maison pour créer un contre-courant, nous allons nous en persuader et foncer vers les robinets au lieu de foncer vers une colline salvatrice.

Il faut cesser de nous bercer de l'illusion que nous avons le pouvoir de régir des phénomènes planétaires comme le sens du courant du magma en fusion sous nos pieds.
Mais notre psychologie est ainsi faite que nous voulons nous convaincre de notre maîtrise absolue sur notre environnement ; quand il pleut, on met le maire en examen ; quand il grêle, on s'en prend au Préfet ; en procédant de la sorte, on se persuade que la prochaine fois le maire nous protégera de la pluie, et le Préfet de la grêle. C'est pour cela que nous nous sommes aussi aveuglément accrochés à l'absurde thèse "CO²", tout comme pour le nuage de Tchernobyl : ça nous rassurait.
Il était consternant, aux COP 20 et 21, de voir les représentants des Tuamotu et des Maldives s'imaginer qu'une taxe carbone allait empêcher la dilatation naturelle d'une mer qui se réchauffe sous l'effet du vent solaire accru, que la fonte des banquises était à l'origine du phénomène, en dépit du principe d'Archimède, ou que les calottes glacières continentales allaient fondre en passant de -60° à - 58°…

Voyez ce qui s'est passé avec les CFC : nous sous sommes efforcés de croire qu'il suffisait de les interdire pour préserver la couche d'ozone ; les trous continuent à s'étendre, mais nous sommes persuadés d'avoir fait le nécessaire, et nous estimons le problème réglé, alors que l'origine du mal était ailleurs. Illusion dangereuse car nous ferions mieux de travailler à l'élaboration d'une crème qui soit un véritable écran total et à prix abordable...
Nous avons devant nous un énorme défi à relever car nous allons vivre un bouleversement que l'humanité n'a jamais connu, qu'aucune mesure administrative ne pourra empêcher. Nous ne nous y préparerons guère en nous imaginant naïvement qu'une taxe sur la crème glacée suffira à empêcher les glaciers de fondre ou qu'une décision de l'ONU aura la moindre action sur le courant de fer en fusion sous nos pieds !

Notre premier problème sera celui du cancer. Non seulement celui de la peau à cause des UV libérés de la barrière d'ozone. Comme les particules à haute énergie vont pénétrer profondément dans notre organisme, même à l'intérieur des bâtiments, cela va provoquer des cancers profonds. Et comment soigner ces cancers, avec des hôpitaux privés de tout matériel électronique, y compris la radiothérapie, et n'ayant d'électricité que la nuit ?

La catastrophe terminale ?
Il y a 74.000 ans, le super volcan Toba, à Sumatra, a explosé de façon cataclysmique, avec la puissance de 100.000 bombes atomiques (!).
800 km3 de cendres ont été envoyées à 80 km d'altitude, affectant 2,5 millions de km2, soit cinq fois la surface de la France. Comme si ça ne suffisait pas, cela s'est accompagné d'un dégagement de deux milliards de tonnes de SO², se transformant en acide sulfurique au contact de l'humidité de l'air.
Il en est résulté un « hiver nucléaire » de plusieurs centaines d'années, avec une réduction de 90 % de la lumière solaire, de 90 % des pluies, et une baisse de température de 17 degrés.
La mortalité enfantine a été telle qu'elle a empêché le renouvellement des générations.
La population humaine est ainsi passée d'un million de personnes à moins de 5.000 personnes, réfugiées à l'équateur, dans un coin privilégié de l'Afrique de l'Est.
Cela représente un anéantissement de 99,5 % de l'humanité…
C'est ce que les scientifiques nomment « le goulet d'étranglement génétique ».
Puis, les rares survivants, au cours des millénaires, ont repris peu à peu le repeuplement de la Terre.
Nous sommes tous leurs descendants miraculeux.
Si la race humaine a pu ressusciter ainsi, cela s'est avéré possible grâce au fait que les survivants étaient sains génétiquement, et aptes à la reproduction. Sans ça…!

Mais nous n'aurons pas cette chance…
Les particules à haute énergie du vent solaire, pénétrant profondément dans nos tissus, y compris dans les zones des cellules reproductrices, surtout chez les hommes, modifiant ou détériorant gravement l'ADN, cela provoquera une stérilité croissante. Bien des enfants conçus malgré tout arriveront mort-nés, peu viables ou stériles eux-mêmes. Comme dans le cas du super volcan, le renouvellement des générations ne sera plus assuré.
Si le tableau n'était pas assez noir comme ça, figurez-vous qu'il y a encore pire…
Il s'agit des puissants rayons γ, provenant de désintégrations atomiques, de pulsars ou de trous noirs, du fond de l'univers. Ces rayons sont très pénétrants et bien connus pour provoquer des mutations génétiques. Comme ils ne proviennent pas seulement du soleil, leur nocivité est permanente.

Ces inquiétants visiteurs de l'espace, attirés par la gravitation solaire, étaient finalement déviés par son magnétisme puissant et ensuite par celui de la Terre.
Durant les 3.000 ans où la Terre passera par une période de magnétisme de résultante quasiment nulle, non seulement nous ne serons plus protégés de ce qui nous visait, mais nous recevrons en prime les rayons γ que le magnétisme solaire aura déviés !!
Pour le compte, notre sort ressemblera fort à celui des animaux vivant actuellement dans la zone de Tchernobyl. Ils paraissent en pleine santé et en pleine forme, mais quand on examine leur ADN, on voit toute l'étendue des dégâts, et l'on se doute que ces animaux vont avoir soit bien du mal à se reproduire soit à donner naissance à des petits qui ne soient pas stériles…
Notre ADN va être tellement endommagé par les particules à haute énergie du vent solaire et des rayons γ, que, de plus en plus, les humains vont devenir stériles.

On peut faire un calcul assez affolant…
D'après ce qui s'est passé lors du « goulet d'étranglement » (aussi appelé “la grande restriction“), on a pu établir que, 300 ans après le début du magnétisme 0, la population mondiale totale ne sera plus que de 33.750.000 personnes. La France ne comptera plus que 310.000 personnes…
Après 937 ans, il n'y aura plus aucun être humain…

Mais attention : tout ceci ne repose que sur un calcul théorique, en supposant que les humains restent sans réagir et sans trouver un moyen pour protéger au moins un noyau de personnes.
Il faut aussi comparer ce qui est comparable. L'explosion du super volcan a provoqué chute des températures et restrictions alimentaires ; mais les survivants étaient génétiquement sains et aptes à vite repeupler la Terre.
Dans notre situation, nous aurons une élévation des températures, assez à manger, mais les survivants seront soit stériles, soit des mutants (dans un sens dont on ne peut prédire s'il sera positif ou négatif).
Pour nous protéger des radiations, il n'y aura pas assez de plomb dans le monde pour recouvrir nos immeubles et nous fabriquer des scaphandres.

Faire l'autruche ?
Une réaction prévisible, dans un désir d'autoprotection, serait de se dire que tout ça, c'est du bla-bla, que ce qui ne va pas dans le monde, c'est à cause des voitures, des patrons d'usines, et des Américains ou des Chinois, que tout ça est trop nouveau pour être vrai.
Sans remonter à Galilée, qui a failli finir sur le bûcher pour avoir été le premier à dire que la Terre tournait autour du soleil, on a le navrant exemple, il y a quelques dizaines d'années, du physicien Gérald Wasserburg, de l'Institut Technologique de Californie, quand il a émis l'hypothèse que les cratères de la Lune n'étaient pas d'origine volcanique, mais provenaient de chutes de météorites. Ceux qu'on appelle “les scientifiques spécialistes” l'ont alors tellement ridiculisé et insulté que le pauvre malheureux a été contraint de se terrer dans une cabane en rondins pendant deux ans, pour se faire oublier… jusqu'à ce qu'on découvre qu'il avait évidemment raison.
Dans les années 1960, le même sort a été réservé aux “farfelus” qui étaient persuadés d'une dérive des continents. Heureusement qu'on a fini par ne plus suivre “les scientifiques spécialistes” de cette époque !
On peut aussi évoquer Niels Bohr, dont on a eu bien du mal à contester la thèse des électrons tournant autour du noyau sur des cercles parfaits (alors que ce sont des ellipses et que la physique quantique nous en donne encore une toute autre "image").
Le seul novateur à avoir fait exception, est Einstein. Comme on ne comprenait rien à ses théories, on les a acceptées avec empressement pour ne pas passer pour des idiots…
Cela démontre qu'une thèse, même majoritaire, n'est pas forcément exacte, vu l'énorme inertie des scientifiques à faire des revirements déchirants. Les citoyens devraient plutôt se faire leur idée personnelle objective, sans suivre aveuglément les idées du jour, surtout si on démontre leur caractère contestable.
Le problème, c'est que les milliers de scientifiques dans le monde qui ne partagent pas les thèses officielles, sont interdits de parole, aussi bien aux COP que dans les médias. Or, leurs rapports sont bien plus crédibles qu'une position officielle qui prétend, à l'encontre de toutes les lois de la physique, que c'est l'air qui réchauffe les mers !

Si l'on est objectif, force est de reconnaître que dans ce qui précède, tout est logique, justifié et cohérent. De plus, l'explication donnée décrit la globalité des phénomènes que nous subissons depuis 300 ans : réchauffement + recrudescence du volcanisme + augmentation des tremblements de terre + destruction croissante de la couche d'ozone (et enfin pourquoi la destruction est plus forte au pôle Sud qu'au pôle Nord) + dérèglements génétiques (stérilité croissante) + les hécatombes chez les insectes et les oiseaux.
Cela fait depuis 2002 que j'avais prévu tout cela et que je clamais dans le désert. Mais à présent, je ne suis plus seul : il y notamment les chercheurs cités dans ce qui précède, membres éminents d'universités prestigieuses où on n'accepte pas le premier “professeur Tournesol“ venu, mais “la crème de la crème“.

Paul de Métairy 30760 St-Christol de Rodières

https://www.bod.fr/librairie/climat-non-coupables-paul-de-metairy-9782322022397   https://www.fnac.com/Paul-de-Metairy/ia4229178

La suite de cette saga ruineuse pour le contribuable est ici

________________________________________

Anomalie magnétique de l'Atlantique sud

 

Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article