Pilule contraceptive 60 ans de mensonges
Voici quelques extraits tirés du livre "LA PILULE CONTRACEPTIVE - Dangers, alternatives" cosigné par le Professeur Henri Joyeux et Dominique Vialard.
Celui-ci fait un état des lieux complet sur tout "l'historique" de la pilule, et sur tous les mensonges et dissimulations qui ont, depuis le début, trompé les femmes depuis plus d'un demi-siècle.
Déjà en 1963, lorsqu'elle est apparue dans les pharmacies françaises, le magazine Science et Vie pose la question de ses dangers éventuels, sans toutefois apporter de réponse.
Cinq ans plus tard, dans le brouhaha de mai 1968, la pilule profite du désir de libération sexuelle de la jeunesse en général et des femmes en particulier. Le même magazine récidive peu après un peu plus nettement, en citant le Dr Jean de Grouchy qui s'appuie sur une étude candienne "dont les implications sont d'une exceptionnelle gravité".
Une dizaine d'années plus tard, en 1977, un pharmacologue Gideon Seaman publie Women and the Crisis in Sex Hormones, où il met en garde les femmes contre les hormones de synthèse. Traduit en français en 1984, le livre ne circulera que sous le manteau. D'autre mises en garde finissent par faire tomber en chute libre les ventes de pilule. Au point que l'industrie pharmaceutique engage silencieusement sa contre-attaque. Concrètement, depuis le 31 mars 2013, les mineures peuvent accéder gratuitement à une contraception (pour les pilules de 1ère et 2ème générations), l’implant hormonal et le stérilet, mais pas pour les préservatifs masculin et féminin, l’anneau vaginal, la cape cervicale ou le patch hormonal. L’IVG est remboursée à 100% pour toutes les femmes (13.5 millions d’euros de coût pour l’Etat !)
En 2013, selon Joyeux et Vialard, 50% des femmes en âge de procréer sont sous pilule, soit environ 5 millions de femmes. Rien qu’en France il se vend 41 boîtes de pilules contraceptives toutes les minutes !
Comment se fait-il que l’on est passé à un tel « engouement » pour un produit dont on sait depuis longtemps qu’il présente de graves risques. Plus précisément depuis les années 1930, on savait que les œstrogènes donnés à titre expérimental à des lapines et des rates, provoquaient chez eux des cancers du sein en favorisant la prolifération des cellules.
Depuis le début des années 1940 des dizaines d’études sont faites pour tenter d’identifier le rôle des oestéogènes dans l’apparition du cancer. C’est pour cette raison qu’au début on les a évité pour n’utiliser que les progestatifs.
Dès le début de sa commercialisation, la pilule n’a pas été considérée comme elle aurait dû l’être (un puissant médicament à manier avec précautions), mais comme c’était la première fois qu’on mettait au point un produit pharmaceutique pour des personnes en bonne santé, un marché mondial colossal s’ouvrait, d’où le mutisme des laboratoires sur les effets réels, mutisme d’autant mieux accepté que l’idée de départ était louable.
En 1962, un peu plus d’un an après la mise sur le marché d’Enovid, le laboratoire Searle se retrouve avec 132 dossiers de cas de thrombo-embolies sur les bras, dont 11 décès.
Pour expliquer l’introduction massive de ce produit à partir de 1968, il y a eu, comme dans beaucoup d’autres domaines, l’influence de certains « experts » contrôlés par les puissants lobbies pharmaceutiques sur les services de l’Etat.
Pour se faire une petite idée de la puissance d’un laboratoire comme Bayer (leader dans le domaine de la pilule comme dans celui des OGM en Europe), il faut se rendre compte que son chiffre d’affaires global est quasi équivalent au budget militaire de la France, dissuasion nucléaire comprise. Qui pourrait s’opposer à pareil « rouleau compresseur » ?
Dans leur livre, Joyeux et Vialard recensent 50 ans de mises en garde sévères et de révélations dans le rôle de la pilule sur les cancers. Ces lanceurs d’alertes ont toujours été au moins boycottés, et sanctionnés d’une façon ou d’une autre.
La pilule contraceptive provoque 2500 accidents et 20 morts par an. http://www.viva.presse.fr/La-pilule-contraceptive-provoque_17995.html
C’est bien aux consommatrices de reprendre le pouvoir en s’informant sur les méthodes alternatives à la contraception hormonale.
Pour plus de renseignements sur les méthodes naturelles de contraception, voir ici :
et aussi ici : http://www.lady-comp.fr/utilisation-lady-comp
Enfin, il faut bien se rendre compte que dans le cas de la pilule contraceptive il s'agit d'hormones de synthèse. Les plus récentes études tendent à démontrer que les hormones naturelles produisent des effets tout aussi désastreux : l'introduction dans l'organisme d'hormones non endogènes (non produites dans l'organisme en question), produit un déséquilibre dont les conséquences ne se mesurent que très rarement tout de suite, mais qui n'en sont pas moins graves pour autant. Toucher à l'équilibre hormonal (dans n'importe quel but !) n'est JAMAIS innocent et sans conséquences néfastes.
Pour celles et ceux qui font une confiance plus ou moins aveugle à la médecine « officielle », voici quelques chiffres qui devraient faire réfléchir :
Il y a, rien qu’en France, 900 accidents médicaux graves PAR JOUR, rien que dans les hôpitaux, soit par année 328500 ! Les erreurs de prescription et/ou de diagnostic dans la médecine de ville ne sont pas comprises dans ce chiffre…. !!!.... Et on essaie de nous culpabiliser avec les accidents de la route, pour mieux nous extorquer les maigres fonds que nous pouvons gagner à la sueur de notre front….
Il n’est pas question ici de vouloir discréditer à tout prix notre système qui se dit de santé, mais devant trop d’étroitesse d’esprit et d’arrogance de beaucoup de ses « pontes » qui se trouvent bien trop près des pouvoirs politiques et financiers, (d’où les conflits d’intérêts quasi généralisés entre ceux qui prétendent nous soigner et ceux -les mêmes- qui ont tout intérêt à ce que nous soyons malades….. le plus longtemps possible), il est devenu impossible de lui accorder le moindre crédit. Au moins aussi longtemps que le Conseil de d’Ordre des médecins persistera dans ses erreurs pasteuriennes.
N.B. : Je précise, qu’étant donné que, pour conserver ma plus complète liberté d’expression, je ne fais jamais de publicité, je n’ai aucun intérêt de quelque nature que ce soit à citer cet ouvrage ou ces appareils. Les liens qui sont donnés le sont à titre purement informatif, et ne donnent lieu à aucun avantage, de quelque sorte que ce soit.