Les débuts surréalistes de l'Empire Rockefeller et de Big-Pharma
L’histoire inconnue de la naissance du Trust Mondial qui prépare le projet du CODEX ALIMENTARIUS ;
le lobby Pharmaco-Chimie
Aux environs de 1860, “Old Bill” Rockefeller, marchand forain de spécialités pharmaceutiques, vendait des flacons de pétrole brut aux paysans naïfs, leur faisant croire que c’était un traitement contre le cancer. Il appelait son pétrole en flacon ”Nujol” (New Oil, nouvelle huile). L’affaire était prospère. Il achetait une fiole de pétrole brut de 30 grammes à la Standard Oil pour 21 cents et la revendait 2,00 dollars. Très peu cultivé, peu scrupuleux, sans connaissance ou formation médicale, avec quelques notions de comptabilité et une avidité féroce, il sut s’imposer. Le Nujol fut baptisé “cure contre la constipation”
Cependant des médecins découvrirent que le Nujol était nocif et provoquait des maladies graves, éliminant les vitamines liposolubles du corps. La Standard Oil lutta contre la chute des ventes en ajoutant du carotène au pétrole brut pour tenter de parer à toute carence. Le sénateur Royal S. Coperland de New York était payé 75 000 dollars par an pour promouvoir le Nujol.
L’Empire Rockefeller s’est construit grâce à cette formidable supercherie qui consiste à faire ingérer un dérivé de pétrole brut enrichi de carotène aux populations.
C’est ainsi que les fondements de l’industrie pharmaco-chimique furent posés.
Nous sommes bien loin des médecines chinoise, tibétaine, védique ou perse.
Le succès commercial du Nujol permit de diversifier la production pharmaco-chimique et d’atteindre des sommets en bénéfices.
En 1948, le chiffre d’affaire annuel de la Rockefeller s’élevait à 10 milliards de dollars. Le médicament Nujol a existé jusq'au début des années 2000, toujours sous forme d’huile de paraffine pure, classé comme laxatif doux. Il était recommandé pour la constipation chronique rebelle aux thérapeutiques hygiéno-diététiques habituelles. Il était fabriqué par le laboratoire Fumouse.
ROCKEFELLER et I. G. FARBEN
Le Trust de la pharmaco-chimie tel que nous le connaissons fut conçu par une association de la Rockefeller avec l’IG Farben de l’Allemagne nazie. La Standard Oil détenue alors par John D. Rockefeller prit alors une participation de 15 % dans ce nouveau trust germano-américain en 1939. L’industrie IG Farben en Allemagne ne fut pas bombardée par les Alliés pour préserver les intérêts de la Rockefeller !
Dès 1932, l’industrie pharmaco-chimique IG Farben finança Adolf Hitler à hauteur de 400 000 Deutsch Mark. Sans ce soutien, selon le Tribunal de Nuremberg “la deuxième guerre mondiale n’aurait pas pu avoir lieu...”
En 1941, IG Farben établit la plus grande industrie chimique du monde à Auschwitz, tirant profit de la main-d’œuvre du camp de concentration fabricant le gaz Zyklon B. Au procès de Nuremberg, 24 responsables de la IG Farben ont été déclarés coupables de génocide, d’esclavage, de pillages et d’autres crimes.
Le Tribunal de Nuremberg avait alors scindé la IG Farben en BASF, BAYER et HOECHST.
Tous ces anciens responsables furent cependant libérés après leur condamnation en 1952 avec l’aide de Nelson Rockefeller leur ancien partenaire commercial. Il était alors ministre des Affaires étrangères des USA. Une fois libérés, les dirigeants d’IG Farben infiltrèrent les plus hautes fonctions de l’économie allemande.
Jusque dans les années septante, les PDG des sociétés BASF, BAYER et HOECHST étaient des anciens membres du parti nazi. Ils financèrent, à partir de 1959, le jeune Helmut KOHL. Avec le support politique de ce dernier les trois filiales issues de l’IG Farben sont actuellement vingt fois plus grandes que la maison mère initiale de 1941.
L’organisation NAZIE de mondialisation associée à Rockefeller est une réussite totale.
Depuis longtemps la planète fut quadrillée, organisée et gérée pour assurer une expansion industrielle mondiale de la pharmaco-chimie.
IG Farben et le Codex Alimentarius
Suite au démentèlement du Cartel d’IG Farben, les businessmen se réorganisent sous un nouveau nom : Association de l’Industrie Chimique. En 1955, l’industrie chimique pharmaceutique mondiale s’est regroupée sous les auspices de la Chambre de commerce Internationale des Nations Unies et du Gouvernement allemand.
Leurs efforts communs furent camouflés sous le nom de CODEX ALIMENTARIUS. Un grand nombre de partis politiques européens dits de droite et de gauche furent financés par cette industrie pour assurer des législations favorables à l’industrie pharmaceutique.
Les objectifs du Codex Alimentarius
Le CODEX ALIMENTARIUS entend mettre hors la loi toute information alternative de santé en rapport avec les vitamines, les thérapies naturelles, les compléments alimentaires et tout ce qui constitue de près ou de loin un concurrent potentiel. L’état d’esprit qui préside à la mondialisation pharmaco-chimique explique en grande partie la destruction systématique de tous les novateurs scientifiques indépendants depuis 50 ans. Cette industrie emploie tous les moyens pour garder ses parts de marché en matière de cancer, sida, maladies cardio-vasculaires, etc.
Nous sommes pourtant en mesure depuis des décennies de soigner et de guérir dans bien des cas toutes ces maladies, dites de grand public.
La mise hors la loi de toute information sur les médecines alternatives bloquera l’éradication de certaines maladies assurant toujours plus de profits à cette industrie mondiale qui ne traite que les symptômes sans s’attaquer aux causes.