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Le blog de l'information alternative et de la santé naturelle

Quelques infos utiles en cette période hivernale

16 Janvier 2018 , Rédigé par motarcs Publié dans #Medecines, Recherches, Ethique, #Cancer, Sida, maladies diverses, #Géopolitique, économie, manipulations, #Vaccinations, #manipulations, #Ethique, #Medecines, #autisme

Notre Ministre de la Santé affirme de plus en plus haut et fort que les vaccins sont indispensables, que c’est grâce à eux que les épidémies passées ont été éradiquées, qu’ils sont sûrs et efficaces…

Et pourtant ….

Sur les trois derniers arguments ci-dessus, voir mon précédent article, Trois fausses vérités sur les vaccins qui démontent que ces faux arguments, répétés, que dis-je, martelés jusqu’à l’obsession par les services marketing des laboratoires fabricants-vendeurs, et si complaisamment relayés par la personne qui devrait en tout premier lieu s’attacher à préserver notre santé, au lieu de contribuer à la détruire…. Que ces faux arguments ne tiennent pas la route. Ce sont des "fake-news" dans toute leur splendeur !

Petit retour en arrière :

Le fanatisme exacerbé des maniaques de la seringue s’est tout particulièrement développé au tout début des années 1970. Jusque-là, l’obligation légale se limitait au BCG (tuberculose), au DTP et la coqueluche qui venait d'être mis sur le marché en 1966 et qui était plus ou moins fortement "recommandée" ….

C'est ensuite que la machine s'emballe.

Pendant les années 1970, l'hépatite B, que l'on appelait jusque-là  "hépatite de la seringue", sévissait dans les hôpitaux où les externes avaient pour tâche de désinfecter les seringues et aiguilles usagées avec un stérilisateur à chaleur sèche (Poupinel). On savait pourtant que le virus pouvait résister à la chaleur de cet engin, et que cette "désinfection" était donc inefficace.

Les autorités de santé laissaient faire, elles considéraient que ce n'était pas bien grave, puisque la plupart du temps, l'hépatite B ainsi contractée provoquait une innocente jaunisse de quelques jours. Quelques rares cas se transformaient en "hépatite chronique agressive" et quelques-uns dégénéraient plus tard en cancer du foie. Mais on considérait ces cas comme étant "la faute à pas de chance", comme lorsqu'elle se transmet, bien que rarement, par voie sexuelle.

Lors de ces années, un vaccin hépatite B " HEVAC B" est proposé au personnel soignant et semble avoir été bien toléré.

Lors de la décennie suivante, à partir de 1978, le virus du sida se répand et se transmet aussi par les seringues hospitalières. Toutefois, les décès sont beaucoup plus nombreux et rapides que précédemment avec l'hépatite B. Ce qui a obligé les autorités à réagir plus énergiquement. Mais on attendra quand même 5 ans, en 1984, pour qu'on interdise au corps médical d'utiliser plus d'une fois le matériel d'injection, et qu'apparaissent enfin le matériel à usage unique et le matériel de récupération et de recyclage.

C'est ainsi que les hôpitaux et autres lieux de soins ont permis de stopper la transmission du virus de l'hépatite B d'une personne infectée à une autre. Il ne restera plus que la transmission très marginale par voie sexuelle.

C'est dans les années 1990 que les laboratoires Pasteur-Mérieux en France et Glaxo-Smith-Klein aux USA, ont commencé la fabrication de vaccins par génie génétique.

Très schématiquement, les vaccins classiques sont fabriqués avec des protéines du virus de l'hépatite B, dites "vaccinantes" et qui deviennent antigène une fois injectées dans l'organisme, ce qui va générer la production d'anticorps par le système immunitaire, qui s'attaqueront par la suite au virus de l'hépatite B pour le détruire.

Comment fonctionne la fabrication d'un vaccin par génie génétique ?

On fait synthétiser (fabriquer) les protéines vaccinantes  par des "cellules à développement continu" (CHO : Cellule Hamster Ovary) pour produire par exemple le vaccin GENHEVAC. Une cellule saine en culture ne peut se diviser qu'une cinquantaine de fois avant de mourir, alors que si elles sont "immortelles" (comme les cellules cancéreuses, d'où le raccourci de langage utilisé) elles peuvent se reproduire indéfiniment pour produire les protéines vaccinantes.

Grâce à des enzymes capables de scinder le génome du virus, on extrait la partie, qui code pour la protéine vaccinante et on utilise les mêmes enzymes pour "coller" cette partie du génome viral dans la cellule CHO qui va se prendre pour le virus et synthétiser ainsi la protéine vaccinante.

Problème : avec ce procédé on obtient un vaccin pur à 99%. Il reste donc 1% d'impuretés dans lesquelles il y a, entre autres, des enzymes capables grâce à leurs propriétés catalytiques, de scinder (comme si on coupait avec une paire de ciseaux) le génome de toutes les cellules de l'organisme dans lequel elles ont pénétré grâce à la vaccination. Ce qui pourra induire, on le comprend aisément, toutes sortes de dégâts….

C'est en 1993 que l'on assiste à la crise de la "vache folle". Des troupeaux entiers de vaches européennes sont atteints d'une maladie neurodégénérative dont l'agent propagateur et générateur, le PRION est une protéine qui déstructure le cerveau.

C'est ce même prion qui est responsable chez les peuples anthropophages (cannibales) de la maladie neurodégénérative de Creutzfeld-Jakob (le cerveau se transforme en une sorte d'éponge).

Le prion qui attaque le cerveau de l'homme est le même que celui de la vache, et chez l'homme il provoque le "nouveau variant Creutzfeld-Jakob". (une nouvelle forme d'expression du prion sur les cerveaux humains). On sait aujourd'hui qu'on en est arrivé là à cause des farines animales qui transforment les ruminants en omnivores cannibales (bovidophages), mais pas seulement.

A la même époque, Mérieux possède une unité de production d'aliments pour animaux… et depuis des années, Mérieux fabrique des produits dérivés du sang (albumine humaine, facteurs de coagulation, gammaglobulines, etc.) à partir de placentas humains congelés et achetés dans toutes les maternités européennes. Des tonnes de placenta débarquaient à Lyon où elles étaient pressées pour en extraire le sang nécessaire à la production de ces produits médicaux.

Une fois le sang extrait, la chair placentaire, bourrée d'hormones, était utilisée elle, en principe, en cosmétique et en médecine (pommades au placenta pour cicatriser les plaies, pommades contre les rides, etc.). En Europe, contrairement aux Etats-Unis, on a interdit aux éleveurs l'usage des hormones qui permettent d'engraisser rapidement les bêtes et de réaliser ainsi de confortables profits financiers.

On peut donc se poser la question de savoir si les hormones placentaires humaines se sont retrouvées dans l'alimentation animale fabriquée et commercialisée par Meyrieux. Ce qui expliquerait pourquoi la crise de la vache folle s'est produite, pas seulement à cause des farines animales, et pourquoi l'homme européen du 20ème siècle, sans le savoir, et sans le vouloir, serait devenu anthropophage par vaches interposées…. Et comment des hommes du 20ème siècle en Europe se sont retrouvés atteints d'une maladie neurodégénérative propre aux peuplades anthropophages…

Toujours est-il que le prion "indécontaminable"  condamne définitivement l'activité placenta de Meyrieux, qui du coup, risque de disparaître.

C'est la crise. Le président de la république d'alors, Jacques Chirac, s'empare du dossier et un beau matin, en présence du ministre délégué à la santé, Philippe Douste-Blazy et des représentants de Meyrieux il est décidé de faire vacciner toute la France avec le nouveau vaccin génétique hépatite B en ciblant les adolescents. Avec trois doses à 150 francs l'une, et 20 millions de français à vacciner, c'est le jackpot qui permettra à Meyrieux de rééquilibrer ses comptes.

Dans la foulée l'enseigne "Pasteur-Meyrieux sérums et vaccins" devient d'abord Avantis-Pasteur puis Sanofi-Pasteur.

Ce dernier sera d'ailleurs quasi le seul bénéficiaire de l'obligation étendue à 11 vaccins comme l'affirme Agnès Buzyn, alors qu'il s'agit essentiellement de vaccins dits à valences multiples, ce qui fait, si on se donne la peine de faire le calcul, 71 vaccins (donc maladies) différents injectés avant l'âge de deux ans à nos nourrissons…. Comment peut-on prétendre scientifiquement que l'organisme en construction ne nos bébés peut affronter de façon rationnelle et efficace une telle avalanche ?

Les vaccins sont toujours sûrs pour les autorités, bien que, on en a la preuve, ils l'admettent eux-mêmes, ils ne sont pas purs à 100%, et que de plus, RIEN ne prouve leur innocuité et à pis, de l'aveu même du Dr Saluzzo de Sanofi-Pasteur, "on ne sait pas comment marchent les vaccins"….

Le résultat de cette vaccination de masse est que l'on voit apparaître très rapidement, en pédiatrie d'abord, puis chez les adultes, des effets secondaires graves comme les maladies auto immunes. Une des raisons pourrait être que les enzymes scindeuses de génome passent par la circulation sanguine des vaccinés et opèrent des scissions de génomes aléatoires, ce qui va perturber le fonctionnement des cellules où s'opèrent ces scissions, et les désignera au système immunitaire qui les attaquera, comme n'importe quel virus ou bactérie. Explosion des cas de diabète "génétique", de thyroïdite, de scléroses en plaques, de polyarthrite rhumatoïde, de Lupus érythémateux, de maladie de Crohn, etc. etc. Sur quasi toutes les analyses sanguines des personnes vaccinées on constate une élévation anormale et définitive des gamma GT... qui est la conséquence connue des pathologies énumérées, et qui signe une atteinte du foie....

Ces enzymes scindeuses de génome vont aussi opérer dans les ovocytes et les spermatozoïdes, et nombre de pédiatres voient de plus en plus d'enfants avec des maladies génétiques.

Au point que Bernard Kouchner, alors ministre de la santé, renonce à recommander le vaccin Hépatite B aux adolescents…… mais décide qu'il le sera pour les nourrissons !!! (il fallait bien ne pas tuer la poule aux œufs d'or…) C'est le point de départ d'une arme de destruction massive : le vaccin hexavalent.

Entre-temps le vaccin hépatite B n'est plus fabriqué avec des cellules "cancérisées" mais avec des levures.

Ce qui nous amène aux années 2000, où l'argent passe de plus en plus avant la  santé des populations.

Pour imposer de gré ou de force l'hexavalent, tout est fait auprès des pédiatres, chez qui la vaccination infantile représente 30% de leur chiffre d'affaires. On les aide en organisant des ruptures de stock des vaccins classiques (DTP) qui était fabriqué sans aluminium par Pasteur jusqu'en 2007.

On va également imposer le Prévenar qui contient 13 vaccins (maquillés en "valences") contre les pneumocoques qui peuvent être causés non pas seulement par 13, mais par une centaine de bactéries.

A partir de 6 semaines, les bébés reçoivent maintenant plus de 70 vaccins et les fanatiques de la seringue ne s'en offusquent pas, car pour eux, "quand un nourrisson respire il est en contact avec des centaines d'allergènes et tout se passe bien"….

Dans la majorité des cas, oui, c'est peut-être vrai, sauf que lesdits allergènes arrivent sur les muqueuses naturellement prévues et préparées pour cela, alors qu'avec les injections vaccinales, les antigènes ne passent pas par la barrière respiratoire et intestinale, ce qui change tout !

Les instituteurs n'en reviennent pas : sur 30 élèves dans leur classe, ils peuvent avoir besoin de deux auxiliaires de vie scolaire (enfant autiste, enfants hyperactifs et troubles de l'attention), sans parler des enfants en rééducation (psychomotricité, orthophonie, orthopédie, etc.) ou ceux qui ont de l'adrénaline dans le frigo car s'ils mangent par mégarde une cacahuète, ils en meurent !

Le problème du vaccin ROR (Rougeole Oreillons Rubéole), qui ne contient pas d'aluminium, mais qui est fait avec trois virus vivants, il faut savoir que deux de ces virus peuvent faire baisser la réponse immunitaire et le troisième peut provoquer des encéphalites. C'est pour cette raison que cette combinaison de vaccins a été interdite au Japon, où ils sont injectés séparément à intervalles suffisamment éloignés pour laisser le temps à l'organisme d'assimiler chaque injection avant d'en recevoir une autre. Ce que le Dr A.Wakefield avait constaté était le fait que lorsque le ROR était administré AVANT l'âge de deux ans, il y avait une très nette augmentation des cas d'autisme, contrairement à l'administration après 24 mois. De plus il a retrouvé dans l'intestin des enfants autistes vaccinés, des molécules vaccinales !!! 

Le virus de la rubéole est cultivé sur des fibroblastes humains du cancer du poumon. Pas de problème pour le labo qui le fabrique, Sanofi-Pasteur, ni aux autorités sanitaires françaises, ni à la ministre de la Santé qui clame haut et fort face aux micros et caméras que nos vaccins sont sûrs, et qu'elle ne veut que sauver la vie de nos pauvres petits enfants…. Et que pour être un expert "compétant" il faut travailler, comme elle, pour les laboratoires pharmaceutiques. Au passage, cette monstruosité lui permet, sans le dire ouvertement, de traiter tous les "autres" biologistes et experts non inféodés au lobby pharmaceutique et qui osent émettre des doutes sur ce dogme de guignols, de charlatans et d'incapables.

Bravo Madame la Ministre.

J'espère que vous serez encore là pour assister à l'explosion de maladies "orphelines", "rares", et neurodégénératives provoquées par la cupidité de vos employeurs…. Et récupérées ensuite par les mêmes pour emprisonner les malades ainsi fabriqués dans des protocoles de soins toxiques aux effets dits secondaires que tout le monde connaît….. Peut-être cela entre-ouvrira peut-être votre esprit si efficacement intoxiqué par vos employeurs....

Petit rappel :

   Parmi ces vaccinations obligatoires, celles contre :

- le tétanos, non contagieux, ni immunisant, 10 cas par an, dont 3 décès (personnes âgées)…

- la polio, transmise par voie orofécale et dont il ne subsiste que quelques foyers dans de rares pays à l'hygiène insuffisante…

- la diphtérie, totalement marginale en France (cas à Mayotte seulement), depuis plus de 30 ans…

- l'hépatite B, maladie sexuellement transmissible, et contre laquelle la vaccination en bas âge n'aura plus d'effet à l'âge adulte…

- la rougeole, maladie contagieuse, sans traitement, mais généralement bénigne lorsqu'elle se produit pendant la première enfance, et rarement invalidante ou mortelle, dont le vaccin (inoffensif ?) masque la diffusion du virus et déplace l'incidence à l'âge adulte…

etc.

 

Voir aussi tous les autres articles sur ce thème ici :

 

http://infoalternative.over-blog.fr/search/vaccinations/

 

http://www.infovaccin.fr/

 

________________

 

Dans la foulée, quatre "arnaques" courantes relevées en pharmacie

1 -Le Guronsan pour les lycéens fatigués

La légende de ce produit prétend qu'une pastille contiendrait autant de caféine que 27 tasses de café. Ce serait un produit prodigieux pour aider les ados fatigués à réviser et stimuler les employés démotivés !

Sauf que ….. le Guronsan ne contient que 50 mg de caféine, (1), donc bien moins qu'une tasse de café (95-200 mg) (2)

Et les autres ingrédients sont : un petit peu de Vitamine C, du sucre de table (saccharose), du sel (sodium), 400 mg de glucuronamide, un composé chimique qui n'a aucune propriété médicale démontrée (3), de l'arôme de "Gin fizz" pour donner l'impression d'un produit "actif" (parce que ça pétille), et des additifs. Ce n'est à l'évidence pas avec ça que l'on va fabriquer un produit dopant !

2 - Désinfectants et antiseptiques pour les petits bobos

Produits phares de la vente libre en pharmacie, les désinfectants et antiseptiques sont parfaitement inutiles : aucun n'est aussi efficace et universel que l'eau chaude du robinet, au moins dans nos pays.

Le mercurochrome, toxique, (mais dont non retrouve toujours des dérivés dans les vaccins administrés dans certains pays), est interdit. Comprenne qui pourra… L'alcool ne doit jamais être utilisé sur la peau, mais seulement pour la désinfection d'instruments comme le thermomètre, aiguille, etc. L'eau oxygénée brûle atrocement les plaies, la chlorhexidine laisse persister de nombreux germes et la teinture d'iode tache et peut provoquer des allergies.

Reste le chlorhydrate d'octenidine, très efficace contre une très large palette de micro-organismes infectieux (bactéries, virus, mycoses), mais il n'est réellement utile qu'en milieu hospitalier, pour les grosses plaies et brûlures à fort risque d'infection. C'est le cas aussi des antibiotiques à appliquer directement sur la peau.

Le mieux est donc de laver la plaie abondamment à l'eau chaude…. Même si ça pique un peu. Pour les plaies qui saignent on appliquera un pansement gras pour éviter d'arracher la croûte, et une fois cicatrisé, on pourra applique de la gelée d'aloès pour parfaire la cicatrisation. Ne pas l'appliquer sur une plaie ouverte, car elle a un fort pouvoir pénétrant, qui pourrait "aider" des saletés éventuellement encore présentes à pénétrer sous le derme. En plus ça pique assez….

3 - Médicaments "contre" le rhume

Si on s'enrhume, c'est parce que le système immunitaire est affaibli, l'organisme étant déjà bien occupé à maintenir l'homéostasie, et la température corporelle à 37° malgré le froid plus ou moins intense. Sachant que virus et bactéries ont horreur du "chaud"… elles prolifèrent d'autant mieux dans un milieu froid et humide….

Toutefois, même s'il a été lent au démarrage, le système immunitaire est seul maître à bord. C'est lui SEUL qui va éliminer le rhume, et on ne pourra rien faire pour accélérer le processus qui prendra de toute façon entre une semaine et dix jours.

Par contre, on pourra prendre de la vitamine C naturelle (genre Acérola) surtout en préventif. La vitamine D conseillée par certains est beaucoup moins évidente, car du fait de ses propriétés elle s'apparente plus à une hormone qu'à une vitamine. Il y a eu aussi assez de cas de personnes ayant suivi les conseils actuels (pas assez d'exposition au soleil, principal "fabricant" de la vitamine D, donc prise de vitamine D2 ou même 3) et qui se sont retrouvés après leur "cure" avec un taux inférieur à celui constaté lors du premier dosage, avant la cure…. L'utilité pour le sujet reste donc très aléatoire, seul le bénéfice des labos est certain….

En tous cas, ne pas imaginer que les dizaines de produits (Humex, Drill, Fervex, Actifed, Nurofen, ….) exposés généreusement sur les étagères des pharmacies puissent avoir un quelconque effet positif sur le rhume !

Leur principal action consiste, grâce au paracétamol ou à l'ibuprofène qu'ils contiennent, à faire baisser la fièvre et atténuer les douleurs éventuelles. Et on a vu que baisser la fièvre, qui est une réaction "d'autosuppression" de la prolifération virale ou bactérienne anormale, et est totalement contre-indiqué. Les virus surtout ne résistent pas à une température supérieure à 38.5°C….

Pour déboucher nez et oreilles ils contiennent des vasoconstricteurs, qui pourraient favoriser les risques d'AVC, et autres problèmes cardiaques et circulatoires, sinon des problèmes neurologiques sévères. (4)

Enfin, ils peuvent aussi contenir des antihistaminiques, qui réduisent les réactions immunitaires, ce qui va atténuer ou supprimer certains symptômes, mais du coup laisser la voie libre aux virus !

Mieux vaut faire des inhalations d'eucalyptus, des frictions du plexus et du dos avec des huiles essentielles comme le Ravintsara et le Tea Tree (Arbre à thé), en préventif comme en curatif.

4 – Médicaments "contre" l'ostéoporose

Puisque les os des femmes ont tendance à se fragiliser après la ménopause, elles sont une cible de choix pour le marketing pharmaceutique.

Malgré ce matraquage, le nombre de fractures chez les femmes âgées ne semble pas diminuer….

Les biphosphonates, qui sont utilisés par les médicaments censés renforcer les os, n'ont jamais fait l'objet d'une étude démontrant leur efficacité !

Ces molécules sont issues des produits qui viennent de l'industrie de la lessive, qui les utilise pour empêcher le magnésium et le calcium de se redéposer sur le linge (5)….

Ils fonctionnent en bloquant la capacité de notre organisme à détruire les vieilles cellules osseuses. Ce qui a priori semble une bonne chose, sauf que ce mécanisme naturel est destiné à faire de la place pour de nouvelles cellules plus "solides". C'est le travail des ostéoclastes qui suppriment les cellules "usagées", et les ostéoblastes, eux, vont permettre la redéposition de cellules neuves.

Si on empêche ce processus naturel, les os se fragiliseront de plus en plus. Or, on a constaté qu'avec l'âge, les ostéoclastes continuent de faire leur boulot de nettoyage, mais les ostéoblastes ont tendance à diminuer en nombre et en efficacité…. Et jusqu'ici aucun remède n'a été trouvé pour "rééquiibrer" de façon parfaite ostéoclastes et ostéoblastes….

Les os, comme les muscles, se renforcent lorsqu'on les utilise, et au contraire ils fondent s'ils ne sont pas utilisés. L'exercice physique est donc un excellent moyen pour freiner ce processus. D'autre part, éliminer totalement TOUS les produits laitiers, je dis bien TOUS, y compris les yaourts, Mesdames, et variez au maximum votre alimentation en puisant les minéraux nécessaires à l'assimilation du bon calcium dans les légumes verts, comme le brocoli et les choux.


[1] EurekaSanté : GURONSAN

[2] Caffeine content for coffee, tea, soda and more

[3] Glucuronamide

[4] Bon usage des médicaments

[5] Les bisphosphonates qu'est-ce que c 'est ?

 

 

 

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