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Le blog de l'information alternative et de la santé naturelle

La mort par la médecine

2 Novembre 2010 , Rédigé par motarcs Publié dans #Medecines, Recherches, Ethique

La mort par la médecine

Introduction

La médecine officielle ne cesse de s'en prendre aux thérapies naturelles en les dénigrant et en accusant les praticiens de santé naturelle de charlatanisme.

Pourtant, elle essaye discrètement de les imiter par ailleurs en enseignant aux médecins des soins naturels voulus similaires (mais simplistes) sensés ramener à eux des patients "égarés".

Les remèdes homéopathiques sont traités de "poudre de perlimpinpin", alors que des millions de patients (enfants inclus) en sont très satisfaits (y compris les animaux), et la phytothérapie traitée de façon identique ou accusée de présenter des risques de toxicité.

Toutefois, et depuis des siècles, le public est satisfait des soins naturels qui continuent grâce à leur efficacité parce qu'ils améliorent nettement la vitalité et l'hygiène de vie des patients pour un coût très faible.

La France est d'ailleurs le seul pays au monde où les autorités prétendent que les suppléments vitaminiques journaliers sont dangereux sans qu'aucune étude n'ait affirmé cette assertion, alors que de très nombreuses études scientifiques étrangères démontrent exactement le contraire.

Aussi, les médecines naturelles sont montrées du doigt ou moquées parce qu'elles seraient inefficaces et/ou génèreraient des risques soi-disant mortels, et que les non-médecins qui les pratiquent ne seraient que des charlatans cherchant à escroquer les honnêtes citoyens.

Si, en effet, dans certains rares cas, le charlatanisme peut amener les médecines naturelles à balayer devant leur porte, la médecine officielle (allopathique), elle, aurait besoin de passer carrément le bulldozer devant la sienne....

 

Voici un article tiré de Life Extension Magazine est qui est assez éloquent pour illustrer cette remarque.

Quant aux lecteurs franco-français qui peuvent penser naïvement que ce document ne concerne que la médecine nord-américaine, parce que les médecins français seraient de loin supérieurs à leurs homologues américains, ils se trompent !

De nombreuses associations de patients et des milliers de malades ou familles de victimes peuvent témoigner que la médecine française, (que le monde entier nous envie, comme pour le reste), est très loin d'être meilleure que celle des Etats-Unis.

Nos autorités dirigeantes, hélas, sont passés expertes dans le camouflage et le secret afin que le public en sache le moins possible. Et si certaines statistiques négatives sont publiées, c'est parce qu'elles ne peuvent pas être occultées plus avant, même en minimisant les chiffres.

Life Extension Magazine mars 2004. Traduit de l'américain par Jean-Jacques Petit. http://www.silvergen.com/Death%20by%20Medecine.htm

Death by medecine par : Gary Null, Docteur es-sciences; Dr Carolyn DEAN, médecin; Dr Martin FELDMAN, médecin; Dr Debora RASIO, médecin; Dorothy SMITH, Docteur es-sciences. 

Il y a quelque chose de malsain lorsque les organismes d'accréditation de la santé publique affirment que les vitamines sont dangereuses, et ignorent par ailleurs les statistiques éditées (mais censurées) prouvant que la médecine est le premier vrai danger pour la santé.

Jusqu'ici le magazine Life Extension a seulement pu citer des statistiques isolées pour faire ses articles au sujet des dangers de la médecine conventionnelle. Personne n'avait jamais analysé ni combine toutes les littératures éditées traitant des décès provoqués par la médecine officielle.

Ça a changé maintenant.

Un groupe de chercheurs a méticuleusement passé en revue l'évidence des statistiques et leurs résultats sont absolument hallucinants !

Quatre de ces chercheurs ont écrit un document : "La mort par la Médecine" qui démontre que le système médical d'aujourd'hui cause fréquemment plus de tort que de bien.

Ce rapport entièrement référencé montre que :

  • Le nombre de personnes ayant eu à l'hôpital, des effets secondaires dus aux médicaments prescrits était de 2,2 millions par an.
  • Le nombre d'antibiotiques inutiles prescrits annuellement pour des infections virales est de 20 millions par an.
  • Le nombre de procédures médicales et chirurgicales inutiles exécutées annuellement est de 7,5 millions par an.
  • Le nombre de personnes exposées à une hospitalisation inutile est de 8,9 millions par an.

La statistique la plus renversante cependant, est que le nombre total de décès provoqués par la médecine conventionnelle est de 783936 morts par an.

Ce qui fait du système médical américain la principale cause de mortalité des citoyens américains, puisqu'en comparaison, les maladies de cœur ont provoqué 699697 morts, et le cancer 553251 morts en 2001.

Le texte entier de cet article peut être consulté (en anglais) sur le site :

http://search.lef.org/search/Default.aspx?query=death%20medicine

La médecine naturelle est sur la sellette, car les dirigeants des compagnies pharmaceutiques invitent les législateurs à empêcher les américains de bénéficier des avantages des suppléments diététiques. Les groupes des compagnies pharmaceutiques ont lancé des campagnes diffamatoires à travers les médias du pays pour critiquer les vertus d'une vie avec une supplémentation saine et naturelle. La FDA continue à mettre des bâtons dans les roues à ceux qui proposent des produits naturels et qui concurrencent les médicaments.

Ces attaques contre la médecine naturelle masquent un problème de nature bien plus grave qui jusqu'ici a été diluée dans les milliers de pages des publications scientifiques.

En réponse à ces défis sans fondements à la médecine naturelle, l'Institut de Nutrition Américain a demandé à une commission indépendante un rapport sur la qualité de la médecine officielle. Les résultats effrayants de cette étude méticuleuse indiquent que la médecine conventionnelle est "la principale cause de décès" aux USA.

L'Institut de Nutrition des Etats-Unis est une organisation à but non lucratif qui a commandité des recherches indépendantes pendant les 30 dernières années.

Pour soutenir cette terrible affirmation que la médecine conventionnelle est le tueur n°1, l'Institut de Nutrition a exigé que chaque compte-rendu dans cet "acte d'accusation" soit validé par des études scientifiques éditées et passées au crible.

En 1995, le Dr Richard BESSER du Centre Fédéral pour le contrôle et la prévention de maladies (CDC) a estimé que le nombre de prescriptions d'antibiotiques inutiles pour des infections virales était de 20 millions. En 2003, le Dr BESSER parle de dizaines de millions d'antibiotiques inutiles prescrits annuellement.

C'est le De LUCIAN qui a ouvert la boîte de Pandore de la médecine en 1994 avec son dossier "Les Erreurs de la médecine" qui est paru dans le journal de l'Association Médicale Américaine.

Il a constaté que le Dr SCHIMMEL en 1964 rapporte que 20% de patients hospitalisés ont souffert de troubles dits iatrogènes, avec un taux de mortalité de 20%.

En 1981, le Dr STEEL rapporte un nombre de 36% de cas iatrogènes chez des malades hospitalisés avec un taux de mortalité de 25%, et des réactions secondaires aux médicaments dans 50% des cas.

En 1991, le Dr BEDELL a signalé que 64% de crises cardiaques aiguës dans un hôpital pouvaient être évitées, car elles étaient dues la plupart du temps aux effets secondaires des prescriptions.

Un chercheur, L. LEAPE, s'est concentré sur "L'Etude de la pratique médicale à Harvard" éditée en 1991, et il a trouvé 4% de cas iatrogènes avec un taux de mortalité de 14% en 1984 dans l'état de New-York.

Sur 98609 patients hospitalisés et un taux de mortalité de 14%, il a estimé qu'aux Etats-Unis 180 000 personnes meurent tous les ans en partie pour des causes iatrogènes.

La raison qui a motivé le chiffre de 4% dans l'analyse de LEAPE qui est bien inférieur à la moyenne des autres études est un mystère. Si on utilise à la place la moyenne des taux trouvés dans les trois études citées (36%, 20% et 4%), on aurait un taux d'erreurs médicales de 20%. Ce qui donnerait alors, avec un taux de mortalité de 14%, le chiffre hallucinant de 1.189.576 personnes par an !!!

LEAPE a reconnu que la littérature sur les erreurs médicales ne rapporte que la pointe de l'iceberg, et si les erreurs sont spécifiquement recherchées, les taux deviennent "douloureusement élevés". Il cite plusieurs études d'autopsies qui rapportent un taux de 35 à 40% d'erreurs de diagnostique ayant causé la mort. Il a également noté qu'un service de réanimation a rapporté une moyenne de 1,7 erreur par jour et par patient, et que 29% de ces erreurs étaient potentiellement sérieuses ou mortelles.

En essayant de déterminer pourquoi il y a tant d'erreurs médicales, LEAPE a reconnu le manque de report de celles-ci. La plus grande cause de ce non-report serait selon lui que les médecins et infirmières ne seraient pas équipés pour traiter l'erreur humaine, à cause de la culture et de la formation pratique médicale. On enseigne aux médecins que les erreurs sont inacceptables. Les erreurs médicales sont donc vues comme fautes graves et donc égales à un acte de négligence. Personne ne sait que faire quand les erreurs médicales se produisent. LEAPE cite McINTYRE et POPPER, qui ont indiqué que le "modèle d'infaillibilité" de la médecine mène à la malhonnêteté intellectuelle avec un besoin de les dissimuler plutôt que de les admettre.

Il n'y a rien à gagner avec les erreurs médicales, aucun partage possible avec ses confrères médecins, et personne pour les soutenir quand leur erreur nuit à un patient.

En 1995, un remarquable rapport du JAMA expliquait que "plus d'un million de patients sont abîmés" tous les ans dans les hôpitaux des USA, et approximativement 280.000 personnes en meurent annuellement.

Ce nombre de décès est donc supérieur à toutes les autres causes accidentelles cumulées, et avec 45000 morts, le nombre de décès dus aux accidents automobiles semblerait ridiculement bas....

En fait, seulement une petite fraction des erreurs médicales, sont rapportés ! 

Médicaments et actes médicaux spécifiquement iatrogènes : 

Ce n'est pas seulement aux USA que l'on observe des décès pour causes iatrogènes. En France, aussi ! Une étude portant sur plus de 1000 médecins généralistes français a examiné leurs connaissances et pratiques pharmacologiques de base dans les prescriptions de médicaments immunodépresseurs (NSAIDS), qui se rangent dans la catégorie de médicaments les plus violents en termes d'effets secondaires.

Les résultats de cette étude suggèrent que les généralistes n'ont pas une connaissance suffisante de l'utilisation de ces médicaments et ne contrôlent pas efficacement les réactions secondaires.

Une étude sur 125 patients à Londres, dans des cliniques spécialisées de la douleur, a révélé que les facteurs iatrogènes possibles, tels que "l'information inadéquate, les conseils impropres donnés aux patients aussi bien qu'un diagnostic erroné et la prescription inadéquate du médicament étaient pratiques courantes".

 Chimiothérapies du cancer

En 1989, ABEL Ulrich, PhD, un biostatisticien allemand, a écrit une monographie intitulée "Chimiothérapie de Cancer épithélial avancé". Il a analysé plus de 3000 articles examinant la valeur de la chimiothérapie cytotoxique sur le cancer épithélial avancé. Ce type de cancer touche "l'enveloppe" des organes, tels le sein, la prostate, le poumon, l'estomac, etc.  Dans ces emplacements, le cancer infiltre habituellement le tissu adjacent et métastase les os, le foie, les poumons, le cerveau.

Avec son étude approfondie, ABEL conclut qu'il n'y a aucune évidence directe que la chimiothérapie prolonge la survie des patients présentant le carcinome avancé. Selon ABEL, "beaucoup d'oncologistes prennent pour une évidence que la thérapie prolonge la survie, une opinion qui est basée sur une erreur et qui n'est soutenue par aucune étude clinique".

Malgré tout, la chimiothérapie est toujours autant utilisée dans le carcinome avancé.

En fait, la recherche devrait être conduite pour déterminer si la chimiothérapie elle-même n'est pas responsable des cancers secondaires, plutôt que la progression de la maladie originelle. Il est permis de s'interroger pourquoi des traitements alternatifs du cancer, scientifiquement validés, ne sont pas employés.

Césariennes 

En 1983, 809.000 césariennes (21% des naissances) ont été exécutées aux USA.

La deuxième opération la plus commune en obstétrique/gynécologie (OB/GYN) était l'hystérectomie - ablation totale ou partielle de l'utérus – (673.000), suivie de la dilatation/curetage de l'utérus (632.000). En 1983 les procédures d'OB/GYN ont représenté 23% de toute la chirurgie accomplie aux USA.

En 2001, la césarienne reste toujours le procédé chirurgical d'OB/GYN le plus commun. Approximativement 4 millions de naissances annuelles, dont 24% (960.000) par césarienne.

Aux Pays-Bas, seulement 8% des naissances se font par césarienne. Ce qui suggèrerait que 640.000 césariennes sont inutiles, entraînant une mortalité 3 à 4 fois plus élevée et une morbidité 20 plus grande que l'accouchement naturel.

Le taux de césariennes aux USA est passé de 4,5% en 1965 à 24,1% en 1986 !

Effets secondaires des médicaments 

L'étude de LAZAROU a analysé des archives de médicaments prescrits lors de 33 millions d'admissions à l'hôpital aux USA en 1994. Il a découvert 2,2 millions d'effets secondaires sérieux dus aux médicaments prescrits :

2,1% des personnes hospitalisées ont éprouvé une réaction secondaire sérieuse,

4,7% de toutes les admissions aux urgences étaient causées par les effets secondaires graves dus aux médicaments prescrits.

Enfin, des effets secondaires mortels se sont produits dans 0,19% des cas hospitalisés et 0,13% des admissions. Les auteurs ont estimé que cela représente 106.000 décès qui se produisent annuellement en raison d'effets secondaires des médicaments prescrits.

Une analyse en 2000 révèle que l'augmentation du coût pour l'hospitalisation d'un patient souffrant d'effets secondaires graves dus aux médicaments prescrits était de 5483$, soit un coût pour 2,2 millions de personnes selon l'étude de LAZAROU qui s'élève à 12 milliards de $.

Les effets secondaires sérieux dus aux médicaments prescrits sont découverts généralement bien après l'approbation de mise en vente par la FDA des médicaments impliqués. L'innocuité de ces nouveaux produits ne peut donc être connue avec certitude tant qu'un médicament n'a pas été testé sur le public durant plusieurs années.

Escarres de décubitus 

Plus d'un million de personnes développent des escarres de décubitus dans les hôpitaux des USA chaque année. Ce qui représente un coût de 55 MILLIARDS de $.

Les escarres sont évitables avec des soins de garde-malade appropriés, ce qui n'est pas toujours le cas.

Quelques références :

La liste complète peut être consultée ici :

http://search.lef.org/search/Default.aspx?query=death%20medicine

- LAZAROU J, POMERANZ BH, COREY PN. Incidence of adverse drug reactions in hospitalised patients : a meta-analysis of prospective studies. JAMA Apr 15; 279(15) : 1200-5.

- RABIN R. Caution about overuse of antibiotics. Newsday. September 18, 2003.

- Centers of Disease Control and Prevention. CDC antimicrobial resistance and antibiotic resistance-general information. Accessed December 13, 2003.

- US Congressional House Subcommitee Oversight Investigation. Cost and Quality of Health Care : Unnecessary Surgery. Washington DC : Governement Printing Office; 1976. Cited in : McClelland GB, Foundation for Chiropractic Education and Researsch. Testimony to the Department of Veterans Affairs' Chiropractic Advisory Comitte. March 25, 2003.

- US National Center for Health Statistics. National Vital Statistics Report, vol. 51, n°5, March 14, 2003.

 Conclusions :

Les soins médicaux, tels qu'ils sont pratiqués, ne présentent pas toujours toutes les garanties souhaitables.

L'opacité est de règle dans ce domaine, puisqu'il est généralement admis que les "accidents" iatrogéniques déclarés ne représentent qu'entre 1 et 5% du nombre total. Ce qui donnerait aux chiffres de ces enquêtes un relief encore bien plus inquiétant.

Tout ceci, bien entendu, en présupposant que les médicaments chimiques prescrits aient effectivement un effet de GUERISON REEL.

Ce qui, à la lumière des connaissances acquises actuellement sur ce sujet, est tout simplement impossible.

Toute substance chimique absorbée constitue une AGRESSION pour l'organisme, qui en fera.... ce qu'il pourra... !

Extraire une molécule supposée active d'une plante par exemple (pour pouvoir la breveter) est une chose. S'attendre à ce que cette molécule ait les mêmes propriétés (voire plus selon certaines affirmations) que lorsqu'elle se trouve dans son environnement naturel, est IMPOSSIBLE, car elle ne bénéficie plus de la synergie des autres éléments nécessaires à son action.

Nous constatons donc que le mensonge est double :

D'une part, le nombre "d'accidents" liés à l'utilisation des molécules chimiques est incomparablement plus élevé que ce qui est "avoué".

D'autre part, les propriétés REELLES de ces molécules chimiques ne sont PAS celles que l'industrie de la maladie organisée lui prête.

 

 

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